Les vacances particulières de Noémie

 
Prologue:

 
J’ai connu Noémie grâce à un réseau social sur internet. Elle avait 18 ans et fantasmait
beaucoup sur la soumission à une femme plus âgée . Elle est brune, cheveux mi longs, raide, joli
visage angélique et encore juvénile. 1 m 70 et 52 kg, petite poitrine, jolis mamelons très
sensibles et adorable petit cul. J’ai vite compris que son moteur à excitation était alimenté
par les humiliations, en particulier en public et qu’elle pouvait aller très loin dans ce domaine.
Ce récit est un cadeau d’anniversaire pour ses 19 ans, une fiction basée sur ses fantasmes
les plus inavouables.


XXXXXXXXXXXXX


Pour tes 19 ans, tu as eu une requête particulière. Honteuse de ta demande et du trouble
qu’elle provoque en toi, tu as malgré tout réussi à me la soumettre, non sans faire venir le sans
à tes joues ni maitriser le tremblement de ta voix.
Tu m’as donc avoué que l’idée de te soumettre entièrement pendant quelques jours à mes
désirs ainsi qu’à la volonté d’autres filles te rendait complètement folle d’excitation.
Je t’ai évidemment demandé jusqu’où tu étais prête à aller, tu m’as répondu que ça te faisait
très peur mais que tu ne voulais pas fixer de limite. Nous convenons tout de même d’un mot de
sécurité comme toujours dans mes jeux particuliers.


1-L’arrivée:

 
Le voyage en train a été un peu long , tu ne voulais pas porter cette petite robe d’écolière trop
courte mais j’avais insisté. Tu avais peur que les gens remarque ta petite culotte blanche et
surtout qu’ils devinent la présence du plug anal que je t’avais ordonné de porter depuis ton
départ, tout comme le joli collier de chienne avec un anneau qui orne ton cou . Le reste de ta
tenue consistait en une chemisette à manche courte , des baskets et petites chaussettes
courtes. Je t’avais conseillé un sac de voyage avec un minimum de change et une trousse de
toilette mais tu n’as pas pu t’empêcher de prendre une valise trop grosse pour toi et bien trop
remplie !
Le taxi est venu te chercher à la gare de cette petite ville balnéaire sur la côte atlantique.
Il fait déjà très chaud, la climatisation était en panne dans le wagon et ça renforce ton
malaise lorsque tu dois prendre place dans le taxi. Surtout que tu as eu le droit de te
désaltérer pendant le trajet mais interdiction de te soulager sans mon autorisation.
Tes pensées bouillonnent dans ton cerveau, l’idée de te retrouver à la merci de plusieurs filles
plus âgées que toi t’impressionne mais liquéfie déjà ton ventre et ton sexe.
Tu transpires beaucoup, tu n’arrêtes pas de bouger les fesses sur le cuir de la banquette,
redoutant que le plug ne reste pas en place et que le chauffeur comprenne les raisons de ton
malaise. Alors tu sers les fesses constamment et la pression de ta vessie pleine se fait
pesante.... Tu croises le regard du chauffeur dans le rétro et tu sens à nouveau le pourpre
envahir tes joues , tu fuis son regard et baisse les yeux honteuse... 

le taxi s'arrête à quelques mètres du chemin qui descend vers le gîte, en contrebas tu
constates que l'endroit est bien isolé , entouré par une forêt de pins maritimes. Le chemin qui
serpente jusqu’à ta destination se poursuit derrière elle à travers la pinède jusqu’à une
petite plage non privative mais plutôt isolée et peu fréquentée, surtout en ce début de saison,
avant l’arrivée des touristes.
Le chauffeur descend, ouvre son coffre et en sort ton bagage , tu lui demandes ce que tu lui
dois et il te répond avec un sourire complice que la course est déjà réglée par la locataire du
gîte.
Ton imagination fertile se met en branle et tu me visualise en train de lui parler de toi et
toutes les cochonneries que tu es prête à faire pour me satisfaire . Hypothèse totalement
invraisemblable mais que tu n’arrives pas à chasser de ta tête, tes joues virent au cramoisi!
Tu lui dit merci et que maintenant ça ira, d’autant qu’il lorgne sans vergogne ton décolleté et tu
redoutes qu’il ne s’aperçoive que la pointe de tes seins se dresse sous le tissus.
Ta valise est bien lourde et avec ta vessie pleine , tu as bien du mal a la porter, il t’interpelle:
"vous êtes sûr de ne pas avoir besoin d'aide mademoiselle?”
Tu rougis de rechef "heu... non, non, ça ira, merci"
l s'en va, non sans jeter un dernier regard à ton petit cul lorsque tu descends péniblement le
chemin sableux qui va jusqu'au gîte.
Tu arrives essoufflée et transpirante a la porte et tu sonnes.
La porte s'ouvre, une jeune femme , la trentaine, grande, brune métisse, longues jambes,
vêtue simplement d'un tshirt ample qui ne couvre que partiellement ses fesses rondes
t’accueille:
“bonjour, tu dois être Noémie, moi c'est Samia, entre, Lucie t'attend!
- Merci mademoiselle, enchantée!
- Avant d'aller la rejoindre, je dois faire une petite inspection, à la demande de ta
maîtresse!
- "heu... p... pardon?!?" les joues à nouveau empourprées
-Allons! ne fais pas ta mijaurée, tu sais bien à quoi t'attendre ici!
- Heu... en fait pas vraiment mademoiselle...
- Remonte ta jupe!”
Tu obéis timidement
“Tu vas vite le découvrir! “dit elle en souriant! “Mmmmouai... cette culotte me semble un peu
humide!”
Tu rougis encore plus...
“ Retourne toi et montre ton cul!”
Tu obéis et te retourne baissant timidement ta culotte.
“ Non! Enlève la entièrement!
- Mais.. pourquoi mademoiselle?... je l'ai le plug, vous le voyez la, n'est-ce pas...?
- Ne discute pas! Obéis ! “Dit elle sèchement
Tu es très impressionnée: "Ou... oui mademoiselle !"
Et tu la fait glisser jusqu’à tes chevilles
- Donne la moi!
Tu la lui tends sans la regarder dans les yeux "s’il vous plait, mademoiselle"
Elle la prend sèchement et la porte à ses narines, l'inspecte.
“ Mmmouai, c bien ce qui me semblait! ça pue la pisse et la mouille, tu t'es un peu oubliée jeune
fille!
Tu rougis d'un coup très fort et baisse les yeux jusqu’à ses pieds, sans répondre...
“Cochonne! tu avais pourtant comme consigne de ne pas te soulager!!
Tu es tétanisée et tu fixes ses pieds sans bouger...
“Nous verrons ça plus tard, ta maîtresse t'attend! ouvre la bouche!
- Mademoiselle, je dois vraiment faire pipi...
- ça attendra! ouvre la bouche!!
- Vraiment mademoiselle, je ne tiens plus...”
Elle t'enfonce ta culotte en boule dans la bouche comme bâillon : " comme ça tu ne te plaindras
plus!"
Tu sursautes mais tu la laisses faire bien entendu!
Elle fixe maintenant une laisse à l'anneau de ton collier. Tu frissonnes et n’oses pas bouger.
"Allez! suis moi, on a déjà perdu assez de temps!"
Tu obéis en silence.
“ Tu peux laisser ta valise ici, on verra ça plus tard!
Hep!Hep! Non mais, à quatre pattes !! ! Mais c’est pas possible ça, je dois tout te dire!!”
Honteuse, tu descends lentement sur tes genoux et pose tes mains à terre.
Tu remarques des vêtements qui traînent ici et là, une boîte de céréales sur ta table basse ,
des mugs et une valise ouverte dans un coin.
Après l'entrée, il y a une cuisine américaine sur ta droite, une jeune asiatique cherche quelque
chose dans le frigo, en te jetant un regard hautin . Samia te fait traverser la pièce principale,
une sorte de salon, avec un canapé convertible, une table basse, une table à manger, des
chaises, sur la gauche un escalier en bois qui monte à l'étage , et au fond de la pièce une baie
vitrée , ouverte sur une terrasse.
Il y a des petites culottes sales par terre, des chaussures qui traînent ...
En arrivant sur la terrasse , tu m'aperçois allongée sur un fauteuil bain de soleil , je porte un
paréo rouge avec des motifs indiens. J’ai les cheveux attachés et porte des lunette de soleil.
Tu progresses toujours à quatre pattes vers moi, silencieuse , culotte en bouche.
Je sirote un cocktail et je jette négligemment un oeil vers toi.
Samia: ''Lucie , regarde qui voilà! "
- Enfin! tu as pris ton temps pour venir ma petite chienne!
tu baisses les yeux...
- qu'a t’elle a dans la bouche? ( je m'adresse à Samia)
- Eh bien ta protégée a déjà commencé par faire du zèle! figure toi qu'en dépit de tes ordres,
elle a laissé échapper quelques jets de pissoux dans sa culotte, et elle répondait la garce! Du
coup , pour la punir , je l'ai bâillonnée avec!
-Tu as bien fait!
Mais viens ici, petite pisseuse! Viens dire bonjour à ta maîtresse!
Tu viens tout près de moi, tête baissée...
Je me redresse un peu pour te gratter derrière les oreilles et te flatter la croupe comme si tu
étais un animal de compagnie.
Je te prends le menton délicatement.
“Allons allons, on va commencer par retirer cette vilaine culotte de cochonne!”
Tu ouvres la bouche,je retire l'étoffe souillée.
“ Garde bien la bouche grande ouverte,ma chérie!
-je vous en prie maitresse, il faut vraiment que je fasse pipi...
- Te te teuh ... ( je te caresse tendrement les cheveux et les joues ) , mais non mais non, tu
peux encore attendre, j'en suis sûre! Ouvre la bouche!
Tu obtempères mais c’estclair que tu te tortilles de plus en plus ! Je crache dans ta bouche
ouverte.
Tu sursautes , étonnée de ce que je viens de faire et recraches à terre dégoutée.
“Quoi??? c'est comme ça que tu réagis à mes offrandes??
Une claque vient sèchement frapper une de tes fesses.
"Je... je ne sais pas mademoiselle... je ... j'ai été surprise... c'est... c'est la première foi que ça
m'arrive"
CLACK! "aaaaaaaaaïehhhhhhhhh"
-Je vais te faire rougir un peu le postérieur , petite ingrate! Ou plutôt Yuriko s'en chargera,
elle adore ça!
Mon amie nipone arrive à ce moment là, vêtue d'un kimono de soie.
Son visage est comme un masque, mais un léger sourire de satisfaction se dessine
Tu la regardes approcher, en frissonnant. Je t’ordonne:
“Visage contre le carrelage vite! Tu vas lécher ce que tu as osé recracher et fesses
dressées! vite!! en position!! “
Tu obéis précipitamment sans émettre la moindre objection.
Yuriko se place derrière toi et elle commence par de petites claques vives mais sur un rythme
lent. tu sursautes à chaque impact sur la peau tendre de tes fesses.
Les claques se font plus vives et précises à mesure que le rythme s'accroit.
tu commences a me mordre tes lèvres pour contenir la douleur qui enfle. Ton visage se crispe.
Bientôt c'est une pluie de claques qui s'abat sur ton postérieur de plus en plus brulant
"AAaaaaaaaaahhhhhhhhhhhh s’il vous plait arrêteezzzz!
- Ce n'est pas à toi d'en décider, tu risques juste de l'encourager davantage!
- "AAAaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhhh"
- Mais rassure toi , c bientôt terminé, j'espère que ça te servira de leçon !
- Oui maitresse!"
Les mains expertes et fines de Yuriko te démontrent rapidement qu'elles sont aussi douée
pour les coups que pour la douceur, elle te caresse délicatement les fesses , avec une crème
apaisante. Tu fermes les yeux ...
“ Voyons si tu as retenu la leçon! Ouvre la bouche à nouveau!
Tu te redresses sur les genoux et ouvres grande la bouche. Je crache dedans, tu sursautes
mais ne bouges pas.
“ c’est mieux , garde la ouverte!”
Chacune leur tour , Samia et Yuriko viennent cracher dans ta bouche. Tes yeux écarquillent
de sidération. Tu nous fixes intensément , cherchant mon regard.
“ Ferme la bouche maintenant!”
Tu exécutes ... Avec une grimace de dégoût.
“ j'espère que tu y prendras vite goût parce que dorénavant tu ouvriras la bouche à chaque
fois que nous le déciderons et tu ne devras en aucun cas refuser nos offrandes, quelles
qu'elles soient!”
tu ne bouges pas, tête baissée,résignée .
“ Bon, venons en à ton séjour parmi nous!Tu devras t'occuper du rangement et du
ménage,comme tu as pu le constater, c’est pas trop notre truc en vacances!
Samia: -Tu feras aussi la cuisine!
Yuriko: -Et satisfera chacune de nos exigences!
Moi : -en contre partie , tu vas découvrir des plaisirs que tu ne soupçonnes même pas
, le premier étant de nous être soumise!”
Tu restes toujours sans bouger ni parler comme tétanisée.
Je t’ordonne: “déshabille toi entièrement maintenant!”
Tu te lèves lentement et enlèves tes chaussures, puis tu fais descendre ta jupe.
“Tu m'as tout à l'heure demandé l'autorisation de te soulager un peu , n'est ce pas?
Tu me fais un signe d’acquiescement de la tête en retirant ta chemise.
“ Bien, je vais te donner la permission! Samia, apporte moi la bassine!”
Samia revient avec une bassine qu'elle place devant toi sur la terrasse
Moi:” Retire ton sous tifs ridicule et mets toutes tes affaires dans la bassine!”
Tu nous lances un regard implorant. Tu n’as toujours pas retiré ton soutiens gorge.
“ Dis donc, tu ne sembles plus si pressée de pisser , ton envie ne doit pas être si terrible que
ça après tout! Tes affaires dans la bassine, vite! Le sous tif aussi , petite impertinente!”
Je sais que tu complexes sur ta poitrine, que tu juges trop petite. Tu nous regardes avec envie.
Je n’ai pas des seins énormes mais je ne me plains pas, ils me conviennent comme ils sont,Samia
a une belle poitrine , plus grosse que la mienne , 95 d ou E et yuriko a une petite poitrine
mais joliment formée.
Tu gémis en trépignant sur place...au bord des larmes...
“ si maitresse, je n’en peux plus , laissez moi me soulager...
-Bien sûr, pas de problème! Une fois que tu auras mis ton sous tif dans la bassine, tu
t'accroupiras au dessus !”
Tu gémis encore plus en tenant ton précieux sous tif . En fait tu geins comme une
gamine.
“ Si tu veux pisser , obéis!
tu commences à pleurer.
“ Tu veux un autre traitement de Yuriko pour te donner du courage?”
Tu fais un signe négatif de la tête.
“ Alors arrête de pleurnicher et obéis!”
Tu pleures et renifles en retirant enfin ton sous tif et en cachant pudiquement tes seins
avec ton autre bras.
Yuriko dit : “regardez ça comme elle est mignonne! elle nous ferait presque croire que c'est
une petite fille modèle et prude! Lucie, permets moi de m'occuper de ses petits seins , j'en
meurs d'envie!”
Tu nous regardes terrorisée en faisant des grands NON de la tête.
Moi: “plus tard peut être Yuriko, tu vois bien qu'elle va gentiment obéir!
Toutes tes affaires sont maintenant dans la bassine mais tu t’obstines à garder tes mains
sur les seins.
Moi: “accroupie toi!”
Tu exécutes
“Vas y! tu as le droit de pisser! Mais attention! Ne vide pas entièrement ta vessie!
Tremblante, tu as l’impression que tu n’arriveras jamais à ouvrir les vannes... Les secondes te
paraissent interminables et douloureuses, puis le soulagement, tu exploses en geyser dans la
bassine. Ton visage se détend au fur et a mesure, tu pousses même un petit gémissement de
satisfaction. Nous te regardons,tu remarques que j'ai glissé une main sous mon paréo.
Ton jet est fort pendant très longtemps
Moi: “STOP!”
Mon ordre te pétrifie, le flux s’arrête net!
“ très bien, approche! “Je tire sur ta laisse t'entrainant entre mes jambes. Tu retombes à
genoux à mes pieds , mais tu réussi la prouesse de garder tes mains vissées à tes petits nénés.
“ Voyons si tu te rappelles comment te servir de ta bouche autrement que pour te plaindre.
Tu me fais signe que tu as toujours la bouche pleine...
“ Quoi? tu n'as toujours pas avalé ton offrande???”
Tu fais un signe négatif de la tête.
“ Toi! Tu as pris goût aux caresses de Yuriko!
Sur cette phrase, tu avales prestement les crachats et tu te précipites de répondre:
"C'estque.. Vous ne m'aviez pas dit d'avaler maitresse!
“Tu te rattrapes bien c’est un fait! Occupe toi de moi maintenant, je n'ai pas encore pris
le temps de faire ma toilette intime ce matin!”
Je vois à ton expression, yeux écarquillés, que tu appréhendes un peu ...
J'écarte les cuisses et tu vois que je ne porte rien sous mon paréo,je tire à nouveau sur la
chaîne de la laisse et ton visage se retrouve au contact ma vulve parfumée! La chaleur
n’arrange rien et la sueur non plus! Je te maintiens fermement entre mes cuisses, sans que tu
ne puisses reprendre ta respiration.. Ça te semble durer une éternité, tu étouffes...
Je lâche un peu la tension sur la laisse , tu recules un peu , suffisamment pour avoir une
meilleure vue d’ensemble de mon intimité.
Ma chatte est toute offerte, luisante et un plutôt poisseuse. De mon anus , sort une
cordelette , avec un anneau à son extrémité.
“ Dépêche toi de me nettoyer! je veux être toute propre avant que nous partions pour le
village!
-oui maitresse !"
Tu poses tes mains à l’intérieur de mes cuisses puis tes lèvres sur celles de mon sexe. Tu
lèches d’abord autour puis les grandes lèvres.Ta langue commence timidement à chercher
mon clitoris sous les replis de chair . Mes grandes lèvres s’ouvrent , des traces blanches un
peu épaisses maculent mon intimité et l’entrée de mon vagin. Un goût amer et un peu acide,
salé .Tu passes des coups de langue du haut vers le bas sur ma vulve ouverte sans chercher
pour le moment à pénétrer mon vagin.. Je mouille rapidement et de plus en plus , caressant tes
cheveux, tes coups de langue se font de plus en plus appuyés et profonds, je sens ta langue
profondément dans mon vagin. Je cramponne fermement tes cheveux et je remue mon bassin ,
me branlant carrément sur ta langue et ton visage, ton nez frottant mon clito.
“Mmmmh, tu te débrouilles pas trop mal! Voyons comment tu t'occupes de mon cul
maintenant!
De nouveau ton regard de chien battu effrayé de ce qui l’attend! “Que t'arrive t il? ne me dis
pas que tu n'as jamais fait ça ma cochonne?
Tu baisses les yeux :
"Non maitresse effectivement...
- Eh bien , je suis flattée d'être ta première dans ce cas! Applique toi! je suis très exigeante
sur les soins portés à mon petit trou!”
Tu sembles toujours hésiter...
“ Dépêche toi, sinon , Yuriko se fera une joie de s'occuper de l'élasticité de tes orifices!”
Je remonte mes cuisses pour mieux exposer mon cul à tes soins.
Ton visage se rapproche lentement , je peux sentir ton souffle nerveux sur ma rosette .
“Je l'ai déjà vue introduire ses deux mains dans le cul d'une soumise un peu récalcitrante!
Ta langue se colle d'un coup à mon petit trou toujours occupé par le chapelet anal.
"Maitresse... il y a... il y a quelque chose...
- Oui , bien sûr! tu aimes les surprises?
- Heu... pas toutes mademoiselle..
- Mais si mais si, prends l'anneau entre tes dents... et tire doucement sur la cordelette
Mmmh je sens la corde se tendre. Tu tires lentement et de plus en plus fort, quelque chose
pousse derrière mon orifice plissé qui s’ouvre progressivement.
Une première boule apparaît.
FLOP! je l'expulse!
Tu continues à tirer, une autre suit bientôt.
“ Prends la première dans ta bouche et continues à tirer!”
Encore une hésitation...
“Dépêche toi! nous n'allons pas y passer la journée!
- Ooh... heu... oui maitresse"
La boule ne semble pas souillée, ça te rassure mais ça sent le cul , y a pas à dire!
Tu la prends entre tes lèvres.
“ N’oublie pas que tu es tout de même là pour ma toilette intime ma chérie !” Tu ne la tiens pas
assez fermement et elle glisse de tes lèvres.
Tu sens soudain une douleur vive cingler tes fesses
“AAAIIIIIEEEE !!!!” Tu te redresses .
Yuriko: " Permets moi chère Lucie, de lui donner un peu le tempo à cette petite pisseuse!Avec
ma baguette!
- Tu vois ma chérie, Yuriko ne peut s'empêcher de t'encourager! Alors applique toi!”
Comme tu tardes à te remettre à la tache,un autre coup claque tes fesses, laissant une marque
rouge comme signature,ça te brûle.
“ Tu veux vraiment qu'elle continue?
- N..non mademoiselle"
Et tu replonge entre mes fesses , saississant la boule à pleine bouche cette fois ci. Le gout est
un peu amer, mais tu sers les dents dessus et recommence à tirer sur la cordelette mais un
peu trop fort du coup les deux suivantes sortent coup sur coup ! FLOP! FLOP!
“Oooh doucement ! pas trop vite!!!
Tu te figes, tremblante ...
Les boules sont un peu plus suspectes, quelques traces brunes les macules.
“ Nettoie les!”
Tu t’exécutes sans broncher, malgré leur aspect douteux. Tu prends même les deux en bouche,
le goût est plus fort, tu as un peu la nausée mais tu les suces et nettoies. Tu reprends la
tension sur la cordelette mais plus lentement, je sens une autre boule glisser dans mon
rectum . Mais je résiste volontairement, tu me regardes implorante.
“Viens la chercher avec ta langue dans mon cul! Utilise ta main pour tirer sur la cordelette ”
Ta langue tourne autour de mon petit trou, glisse à l’intérieur et cherche avec un peu
d’appréhension . Tu touches la surface lisse de la sphère, le goût amer est plus fort à
l’intérieur. Tu tires sur la ficelle comme je te l’ai demandé. La boule suivante est plus grosse
que les précédentes , les premières avaient le gabarit d’oeufs de caille , celle ci ressemble plus
à une balle de Ping Pong !
“Colle ta bouche contre mon anus , je vais pondre la boule dans ta bouche , ne bouge pas!
Tes lèvres se love autour de l’orifice plissé, ton nez dans ma chatte. Je pousse et je sens la
boule étirer mon sphincter. Tu trembles un peu mais ne bouge pas , bouche ouverte , prête à
accueillir ce qui va sortir. Je pousse plus fort et FLOP! elle est maintenant toute entière dans
ta bouche . Tu as un haut le coeur mais tu gardes la bouche pleine, tu la maintiens ferme dans
ta bouche et tu recules la tête, les deux dernières boules , de la même taille que les premières,
sortent à leur tour, beaucoup plus sales que les premières.
Tu me regardes implorante , toujours bâillonnée par la plus grosse boule.
“ Nettoie les bien!!! Et puis tu finiras de bien nettoyer mon cul après avec ta langue!”
Résignée tu obéis. Yuriko qui a passé ses doigts entre tes fesses et sur ton intimité :
Ta langue est toujours bien fichée entre mes fesses et tu sens soudain quelque chose
t'asperger. Je te pisse dessus en gémissant. Tu as de nouveau un mouvement de recul.
“Allons! Avec cette chaleur tu as bien besoin d'une douche! Tu en as plein les cheveux , le
visage et dans le nez... tu tousses.Yiuriko te repousse la tête sous le jet.Tes cheveux sont vite
trempés et dégoulinants. Tu as recraché les boules, tu tousses toujours. Avec la chaleur,
l’odeur d’urine est encore plus forte. Le flot finit par se tarir.
Tu reprends peu à peu ta respiration.
“Nettoie moi bien, je ne veux pas sentir la pisse quand nous partirons!
Tu t’y appliques méticuleusement, léchant consciencieusement toute trace d’urine sur ma
peau .
“ C'est très bien! Je vois que tu retiens vite les leçons, tu es une bonne soumise!
- merci maitresse"
sur ce ; je me redresse , te caresse le visage, pose un baiser sur ton front et sur tes lèvres, tu
es toujours à genoux et trempée.
Je me lève:
“ Maintenant , habille toi, nous partons dans 5 minutes!
- Oui maitresse, ma valise est dans la hall d’entrée...
- Non! remets tes affaires
- Mais... elles... elles sont sales maitresse...
- Et alors?
- Et toutes mouillées en plus... Et l’odeur ....
- Dépêche toi avant que je ne perde patience, je vais m'habiller, à mon retour tu dois être
prête!
Tu exécutes, sous les yeux terrifiants de Yiuriko et le regard amusé de Samia.
Tu tris es vêtements un par un pour les essorer avant de les enfiler.
Samia: “ Inutile de remettre ton sous tif ni ta culotte par contre!”
Tu baisses la têtre résignée et tu t’habilles.
Ta chemise colle à ta peau , la jupe à tes fesses... Tu regardes avec désespoir l’état de tes
soquettes quand Yuriko intervient:
“ laisse tomber! Tu resteras pieds nus!
Les deux filles ne perde pas une miette du spectacle en se caressant.
Une forte odeur d'urine se dégage de toi, avec la chaleur l'odeur se fait encore plus intense.
Je vous rejoins, je suis habillée d'une petite robe d'été rouge , petites sandales à talons
rouges elles aussi.
Les filles se sont elles aussi habillées. Samia porte un short moulant en lycra , un débardeur
et Yuriko une minuscule petite jupe noire avec une chemise courte nouée sous la poitrine.
Nous te retirons provisoirement la laisse mais tu gardes ton collier .
“ Dépêchons nous! Un bus passe d'ici 5mn , il nous emmènera au village! Tu vas marcher
quelques mètres devant nous!
- Maitresse, je n'ai pas encore de chaussures !
- Samia! Donne lui des tongues!
- Merci Maitresse “
Avec le soleil, tes vêtements et tes cheveux sèchent assez vite mais l’odeur quand à elle
s’intensifie aussi rapidement.

                                                                                                               à suivre...


Un grand merci à Mia Michaels et Bruce Morgan pour leur autorisation à utiliser leurs images et dessins pour illustrer mes récits.

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