Karine
Je me présente, je m’appelle Lucie, je suis brune aux yeux verts et j’aime l’urolagnie, les femmes et jouer les dominas !
Ce jour là, je décide de passer à l’improviste chez une amie, Karine, qui adore m’être soumise, et être contrainte à faire des choses en feignant d’être dégouttée, ce sentiment active son excitation et son plaisir. Nous nous connaissons bien et je sais ce qu’elle attend de moi, j’aime néanmoins lui réserver quelques surprises à ma façon.
Karine est une jolie blonde naturelle, cheveux mi longs….
Je suis habillée d’un leggings saumon, une robe-tunique en cuir noire avec une ceinture cuir elle aussi, boucle métal fantaisie. A mes pieds des bottines cuir également. Je porte un imper, il pleut.
Je décide de préparer un peu mon arrivée, en marchant jusqu’à chez elle , je me laisse doucement aller dans mon leggings , je sens l’urine glisser le long de mes cuisses à l’intérieur, mon leggings trempé ne retient pas longtemps le liquide qui se fraye un chemin pour s’échapper de cette prison de tissus . je croise des gens mais je ne pense pas qu’ils fassent attention. La pluie, la luminosité réduite due au temps et à la fin de journée m’aide à passer inaperçue sur le trottoir ….
Je frappe à sa porte, elle vient m’ouvrir. Elle ne s’attendait pas à de la visite, elle est en jogging et t-shirt, assez négligée.
« Lucie ! Quelle surprise !
- kikoo ma chérie ! Tu as un peu de temps à m’accorder ?
-Bien sûr ma douce, entre et mets toi à l’aise.
-Il faut que je me sèche, je suis trempée jusqu’à l’os !
-Bien sûr, fais comme chez toi ! »
Je retire mon imper, tu remarques que ma robe tunique a été plutôt bien préservée de la pluie, par contre… des traces d'humidité et de coulures sont évidentes sur le leggings, surtout à l’intérieur des cuisses, jusqu’aux bottines.
Karine les remarque et en rougit…
« Je ne peux pas rester comme ça, ça ne sèchera jamais !
-Bien sûr...fais comme si je n'étais pas là…
-Au contraire ! Je compte bien sur ton assistance !
Retire-moi mes bottines pour commencer !
-Eeuhhh oui... »
Je m’assoie sur un fauteuil.
Elle se met à genoux devant moi, retire la bottine droite...puis la gauche, mes pieds font un bruit de succion en s’extrayant de leur fourreau, il est évident que le fond des bottines est trempé. Une petite flaque s’est même formée.
L’odeur d’urine mêlée à celle de mes pieds qui ont macérés dans cette mixture monte dans la pièce et envahit ses narines.
Je porte des petites chaussettes courtes, blanches ( à l'origine ) mais maintenant elles sont plutôt jaunasse, plus le cuir des bottines qui les a tachées un peu.
« Embrasse-moi les pieds !
-T'embrasser les pieds???
-Oui, ils sont engourdis, j'ai besoin qu'on les réveille un peu ! »
Elle rougit, et dépose timidement un bisou sur mon pied gauche trempé, la chaussette est gorgée, ça goutte, un liquide odorant et jaunâtre…
Elle referme sa bouche sur la chaussette imbibée et goutte la saveur amère et salée.
« -MMh bonne initiative ! lui dis je. Aspire moi ce jus avant que j'en mette partout ! »
Karine s’applique dans sa tache. Je sens la succion de sa bouche sur mes orteils à travers le tissu.
« Retire-la avec ta bouche ! »
Elle rougit de honte mais s’exécute. Elle mâchouille ma chaussette souillée pendant que je lui caresse le visage avec mon autre pied. Elle ferme les yeux en grimaçant, feignant le dégoût.
« Ça ira, occupe toi de mon autre pied, après tu les nettoieras tous les deux avec ta langue !
-Je ne pensais pas en arriver là suite a ta visite ! dit-elle en me retirant la seconde chaussette.
-Tu te fais prier à chaque fois, mais je sais bien que ça te fait mouiller grave ! Lui dis-je en souriant, légèrement perverse. »
Elle sourit en rougissant, la tête baissée, la seconde chaussette entre les dents.
L’odeur de mes pieds, qui ont macéré un moment dans mes chaussures, baignant dans mon urine l’indispose un peu, mais je sais que c’est ce qui l’excite. Je la connais bien ma cochonne !
Je passe ma langue sur mes lèvres, une main se glisse sur mon entre jambe. Je la regarde me sucer les pieds avec application. Je frotte un doigt entre mes grandes lèvres à travers le tissu du leggings.
« Lèche bien la plante, dessus aussi, qu'ils soient tout propres ! »
Sa langue agile parcours entièrement la surface de mes pieds, je gémis, frissonne et ris.
Mon doigt s'active entre les lèvres de ma chatte poisseuse à travers le tissu.
« Ouvre la bouche ! En grand ! »
Elle obéit, docilement, je me redresse et me penche vers elle. Je crache un long filet de salive gluante dans sa bouche. Elle garde un moment la bouche fermée avec mon offrande, je souris tendrement et mes yeux pétillent en la regardant avaler ma salive.
« Ce leggings tout collant me gêne, ça pique un peu et c’est froid maintenant. Enlève-le-moi tout de suite ! »
Je soulève le bassin pour qu’elle me déculotte, elle voit tout de suite que je ne porte pas de sous vêtements. Le collant trempé colle à mes jambes humides et elle doit tirer pour me libérer .Je me trémousse, relève les jambes, penchée en arrière. Mes cuisses serrées dévoilent mon abricot juteux et un bijou Plug qui orne mon petit trou. Elle semble hypnotisée par cet objet.
Je suis enfin libérée du vêtement souillé.
« Déshabille-toi ! »
Elle baisse son jogging et enlève son t-shirt, elle se retrouve en culotte blanche et petites socquettes.
« Donne-moi ta culotte ! »
Je la lui prends et je m’en sers pour m’essuyer l’intérieur des cuisses et la chatte. Elle m’observe tête baissée et tjrs empourprée.
« Enfile mon leggings ! »
Elle s’exécute et se glisse non sans difficultés dans le vêtement humide. Elle frissonne…
Je me caresse toujours la chatte avec sa culotte. Je l’introduis doucement dans mon vagin. Il ne reste plus qu’un petit bout d’étoffe qui sort de ma minette.
« Viens me nettoyer les cuisses avec ta langue ! »
Elle pose ses lèvres sur mes chevilles, m’embrasse et commence à lécher du plat de sa langue en remontant doucement le long de mes jambes, surtout l’intérieur des cuisses où le goût salé et caractéristique témoigne de mon incontinence volontaire.
Je me caresse le clito en la regardant .Elle se rapproche de mon entre jambes. Je me penche pour lui cracher dessus de temps en temps, ou bien sur ma peau pour lui indiquer la voie à suivre.
Sa langue suit le tracé de ma salive comment autant de petits galets semés par le petit poucet. Son visage est couvert de mes crachats, elle en a aussi sur les cheveux, les sourcils, ça dégouline un peu sur ses yeux. Elle remonte en passant sa langue sur ma salive et les traces d'urine jusqu'en haut de mes cuisses
Je crache sur mon pubis, les filets de bave coulent de mon mont de venus jusqu'à mon abricot juteux de désir. Sa langue étale ma salive sur mon pubis, je remue le bassin, ronronne de plaisir et d'impatience, elle glisse maintenant sur les lobes charnus de ma vulve, effleurant mes lèvres intimes. Elle me lèche tendrement la fente qui s'ouvre comme la corolle d’une fleur au soleil à son contact. Elle titille un moment le petit orifice de mon urètre, je gémis et ondule sous sa caresse.
"Retire doucement ta culotte de ma chatte avec ta bouche!"
Délicatement, elle saisit du bout des dents le petit morceau de tissus qui sort de mon vagin. La sensation est divine, autant que le spectacle, voir son doux visage entre mes cuisses reculer doucement, sa culotte trempée de ma mouille entre ses dents ! Elle recule et libère ma minette luisante d'excitation.
Je me redresse, te caresse les cheveux et le visage avec tendresse.
"Merci Lucie!
-De rien ma chérie, ouvre bien la bouche!"
J'ai la bouche pleine de salive et je fais couler un long filet gluant sur son visage, de son front à sa bouche. Je prends la culotte et lui place sur la tête, laissant ressortir ses
cheveux de chaque côté par les ouvertures des cuisses. Son visage s'empourpre sérieusement, elle baisse les yeux.
"Occupe toi de mon petit trou maintenant, il a bien besoin d'être cajolé et libéré! Je porte ce bijou depuis que je suis partie de chez moi!"
Elle se rapproche de mes fesses, toujours coiffée de sa culotte.
"Je le retire avec mes doigts?
-Bien sûr que non! Avec ta bouche évidemment, ne fais pas ta cruche!
-Pardon Lucie...
-Commence par lubrifier le tour avec ta langue et ta salive!"
Sa langue se rapproche timidement et commence son ouvrage avec application en caressant le contour de mon anus. Elle ressent la tension de ma peau due à la présence du Plug dans mon rectum. Sa langue est si douce à cet endroit si sensible, si intime... Je pousse un peu, mon anus se dilate sous la pression du Plug. Karine continue à me lécher, à mesure que l’objet étire mes chairs pour s’extraire de mon cul.
« Prends la partie extérieure entre tes dents et tire doucement !
-Oui Lucie ! »
Elle assure sa prise et commence à tirer sur l’objet, ma rondelle s’ouvre largement, écartelée, épousant la forme conique du jouet. Elle recule son visage, ça résiste un peu..
Puis d’un seul coup le Plug sort brutalement, comme expulsé avec un bruit de « FLOP » !
Le trou béant de mon cul ne tarde pas à se refermer.
« Nettoie-le avec ta bouche ! Commence par le Plug puis tu t’occuperas de mon petit trou ! »
Tu enfournes le cône de silicone dans ta bouche, il a un goût un peu âcre mais doux, tu le fais tourner entre tes lèvres, sur ta langue et le suces un moment. Tes joues se déforment au gré du passage du jouet.
« Très bien ! Retournes toi maintenant, à quatre pattes et montre-moi ton cul, bien dressé ! » Je fais glisser le leggings odorant et poisseux sous la ligne de tes fesses pour les dégager. J’écarte tes fesses et léchouille ton anus, le dilate un peu avec un doigt. Je crache dessus et place l’extrémité du cône contre ta rosette joliment plissée. Je l’enfonce doucement, ton sphincter résiste un peu lorsqu’arrive le diamètre le plus important du Plug. Je pousse plus fermement, tu laisses échapper un cri
« OOoooohhh ! » et son cul le gobe comme le ferait une bouche avide ! La présence envahissante de l’objet la trouble et lui donne comme une bouffée de chaleur.
« Reviens à mon cul maintenant ! Tu comprends maintenant à quel point il a besoin d’une langue câline et experte pour l’apaiser. » Lui dis-je en souriant. Je m’allonge sur le dos, sur le canapé, jambes repliées sur moi, dégageant bien mes fesses que j’écarte aussi largement que possible. Karine a un accès direct à mon anus palpitant, encore un peu ouvert. Elle commence par le laper de grands coups de langue comme le ferait une chatte avant de se faire plus précise et intrusive. Sa langue agile s’enfonce sans difficulté en moi, je la sens frétiller dans mes fesses, j’en miaule de contentement ! Ce n’est pas une simple enculade, elle embrasse mon cul avec passion comme un baiser d’amour, faisant tourner sa langue dans mon rectum comme elle ferait dans la bouche de son amoureuse !
Ça me rend folle ! j’ai très chaud, je transpire et ma respiration se fait haletante.
A regret, je lui demande de faire une pause et d’aller chercher le sac plastique qui se trouve à côté de mon sac à main.
« J’ai apporté quelques friandises, ça devrait te plaire ! Donne-moi le sac. »
Ses yeux s’écarquillent lorsque tu découvres ce que j’en sors .Une énorme sucette ronde, au bout d’un bâton. Parfums fruits jaunes, pêche, abricot, mangue… Elle sourit en rougissant.
« Maintenant que tu t’es aussi bien occupée de mon cul, elle devrait entrer sans difficulté, tu veux essayer ?
-Ouiii ! » Crie-t-elle avec l’impatience et l’enthousiasme d’une enfant.
-Je peux m’allonger sur ton lit ? Ça sera plus confortable !
-Bien sûr Lucie ! »
Je me lève et me dirige vers la chambre, Karine me suis toujours à quatre pattes, elle est belle à voir, mon leggings poisseux toujours retroussé sous ses fesses toujours à l’air, comme une chienne fidèle et docile.
Je m’installe sur le matelas, cuisses remontées autant que possible sur mon buste, fléchies et écartées, fesses surélevées par un oreiller.
Je la regarde sucer la sucrerie, elle me sort soudain :
« Je rêve d’une sucette au goût « anus » !
-Tu vas bientôt pouvoir la savourer ! » Lui répondis-je en riant.
Un petit sourire pervers se dessine sur son visage d’ordinaire si innocent (faussement innocent bien entendu !). Elle frotte maintenant la boule de sucre contre mon cul. Je sens le sucre couler.
Elle la presse sur mon petit trou pour l’enfoncer doucement dans mes entrailles. Je tente de m’ouvrir au maximum mais elle n’entre pas si facilement, il faut forcer un peu et je l’encourage à le faire. Elle pousse davantage, j’ai l’impression que ça va me déchirer le cul.
« Je pousse moi aussi pour ouvrir mes sphincters, vas y plus fort !
-Ohhh… je te sens pousser, ça y est ! Ça entre, ton cul gobe la friandise en se dilatant au maximum !
-Ouch ! En effet, et je peux dire que je me sens remplie à fond ! » Le bâtonnet sort fièrement planté dans mon fondement !
« Huuumm , je tourne la sucette dans ton cul ma Lucie chérie ! Ouiii ! Un peu de sucre orangé coule de ton petit trou ! Ça coule !!
- Lèche !
- Oui, tout de suite ma Lucie, mmmmhhh tu dois en avoir plein dedans !
-Oui pour être pleine, je suis pleine ! J’ai l’impression d’avoir un énorme œuf à pondre dans le cul !
- Huummm ! »
Je me retourne sur le ventre, visage sur un oreiller et jambes repliées sur le lit, cul dressé vers sa bouche affamée. Elle lèche le sucre qui coule de mon anus au rythme des mouvements de torsion et vas et viens de la sucette dans mes fesses. Le sucre coule sur ma chatte et elle la lèche également. Je sens mon cul s’ouvrir et se déformer à chaque fois qu’elle tire sur le manche avant de l’enfoncer encore plus avant dans mes profondeurs viscérales. J’imagine la vue qu’elle doit avoir, mon trou qui s’ouvre sur la boule qui disparait à nouveau lorsque mon sphincter se referme sur le bâtonnet. Le jus sucré qui s’échappe et sa bouche gourmande qui n’en laisse rien perdre !
« Sors la de mon derrière quelques instants pour la lécher !
-Tes ordres sont mes désirs les plus cachés ! Tu me connais si bien ! »
Elle se met à tirer doucement sur le manche, je sens mes chairs s’étirer à rompre, je pousse pour aider l’extraction. Mélange de souffrance et plaisir, je m’inquiète soudain d’une chose ; certes j’avais pris mes précautions avant de venir avec des lavements mais…. Si jamais je n’étais plus si propre que ça ?? Je me sens mal à l’aise mais il faut bien que ça sorte !
La partie visible de la sphère de sucre grossit à mesure que la sucette sort de mes fesses, ça y est ! je sens que le cap décisif du diamètre maximum arrive enfin, mon trou du cul est tout déformé et me fait mal, ça passe d’un coup, elle se trouve expulsée bruyamment accompagnée
d’un abondant jus sucré et collant. Karine semble surprise de l’abondance du sirop , elle applique sa langue réconfortante sur mon anus meurtri et luisant , il ne s’est pas totalement refermé, il reste béant. Sa langue m’apaise, douce, chaude, souple et agile. Elle aspire même la mélasse directement de mon cul.
Après son traitement tout en douceur, elle se force à mettre la boule entièrement dans sa bouche déformée par le volume de la sucrerie qui bien qu’amoindrit par son passage dans mes entrailles reste conséquent. Ouf ! Je n’ai pas pu voir l’état de la sucette mais apparemment rien ne l’a dérangé si j’en juge par le plaisir gourmand qui émane de son visage.
« Alors ? Cette sucette au goût d’anus ?
-mmmmmlllccchh goût étrange, un peu âcre au début mais le sucre a vite pris le dessus !
-Mon cul aussi a envie de sucre ! Remets-la dans mes fesses ! »
Elle pousse à nouveau la sphère contre mon trou, j’écarte bien les fesses de mes mains, ça glisse presque tout seul, beaucoup plus aisément que la première fois et je retrouve le plaisir de me sentir pleine !
« Viens sur le lit, allonges toi sous moi en 69. »
Elle obéit et se retrouve rapidement sur le dos, juste au dessous de moi. Je l’aide à faire glisser le leggings trempé le long de ses jambes. Elle porte toujours son charmant couvre chef parfumé de ma mouille. Mon odeur est sur elle, ses jambes, son sexe partout.
Au parfum de mon urine se mêle ses effluves personnels de sueur et de sécrétions intimes.
J’embrasse sa chatte, d’une main, j’appuie sur le Plug, elle gémit. J’aspire le jus de sa minette.
« Mange moi et touille bien la sucette dans mon cul ! » le sucre coule de ma rosette encombrée, sa langue le réceptionne avec gourmandise.
Je lèche ton clito, doucement, glisse ma langue entre tes lèvres poisseuses de mouille. Je tire à présent sur le joujou enfoncé dans ton cul, je le sors entièrement puis le renfonce ! Je répète mon geste plusieurs fois, elle respire de plus en plus fort, gémit et crie son plaisir. « J’ai envie de pisser, ouvre la bouche !
-ohh noon ! » Un premier jet, bien jaune et odorant, éclabousse son visage en guise d’avertissement. Elle ferme les yeux et grimace un peu mais ouvre largement sa bouche.
« Ahh tout de même ! J’ai cru que j’allais devoir sévir ! Petite hypocrite ! »
La peau de son visage ruisselle de perles d’urine, ses cheveux sont trempés et une petite flaque s’est formée dans le creux de son cou et une auréole jaunasse sur le drap blanc s’est formée sous sa tête.
Je recommence à pisser, j’entends le bruit de mon pipi remplir sa bouche. PPPPSSSSSssssss
Ça mousse et déborde, je m’arrête.
« Avale donc petite cruche ! Sinon ton lit va être inondé !
-GGGgglllluups…
- Deuxième service ! Ouvre bien grand et pense à déglutir ! » Je poursuis ma miction, ma bouche collée à sa chatte qui mouille à fond ! Malgré ses grimaces et protestations, je sais à quel point elle y prend du plaisir ! Le bruit de ma pisse qui cascade au fond de sa gorge résonne. Elle avale à grande gorgées, mais le flux se poursuit sans interruption et l’urine lui coule encore sur le visage et forme maintenant une flaque sous sa tête. J’asticote son bouton d’amour et mordille ses lèvres. Ma fontaine semble intarissable et elle baigne dans la pisse. Je tire à nouveau sur le Plug,, il fait un « flop ! » en sortant de ses fesses. Je lèche un peu son petit trou et remets le jouet en place !
Mais tout a une fin et mon gros pipi est terminé, il ne reste que les dernières gouttes perlant de ma chatte luisante de pisse et de mouille. Elle s’empresse de me nettoyer avec application, je frémis ….
« Je vais expulser la sucette ! Aide moi en tirant doucement sur le bâton et tiens toi prête, tu es juste en dessous et je pense que le sucre a bien fondu dans mes fesses ! » Elle se saisit du bâtonnet et commence à tirer, je pousse pour dilater mes sphincters, Je pousse si fort que quelques gouttes d’urine s’échappent de mon urètre et tombent sur son visage. Elle voit mon petit anus s’ouvrir, mon plancher pelvien gonfle sous la pression de la sphère qui apparaît à mesure que mes chairs s’ouvrent à son passage. Je me sens étirée, déformée, distendue. Ma rondelle s’élargit, s’élargit, la boule grossit, dégoulinante de sirop. J’expulse la sucette, bruyamment avec un flot de mélasse liquide qui dégouline à son tour sur ton visage. Mon anus reste béant, et ça coule toujours , plus doucement. Elle passe sa langue sur ses lèvres et colle sa bouche contre mon cul pour le nettoyer. Elle aspire le jus sucré et un peu amer. Puis sa langue s’aventure dans le gouffre que fut mon anus et elle se retrouve comme aspirée à l’intérieur. Je suis tellement ouverte que je la sens très profondément dans mes entrailles.
Je m’assoie sur son visage, sa langue toujours fichée en profondeur dans mon postérieur. Elle cherche son souffle, je ne la laisse pas respirer, je me branle la chatte et savoure sa langue frétillante dans mes fesses. Je ne tarde pas à jouir très bruyamment et je m’effondre sur le lit , tout juste à ses côtés.
Je la regarde avec tendresse, elle a le visage et les cheveux défaits, trempés… je sais qu’elle se sent honteuse… les draps autour d’elle complètements souillés et détrempés, une forte odeur d’urine flotte dans l’atmosphère, mêlée aux parfums intimes de nos chattes en chaleur.
« Ne me regarde pas comme ça, je me sens sale et affreuse !
-Ne dis pas de bêtises, tu es ravissante ! Soumise et marquée de mon odeur.
-Merci, Lucie, toi seule me comprend aussi bien. » Ses yeux brillent et elle me sourit.
Je viens poser mes lèvres sur les siennes, caressant ses cheveux trempés.
« Tu dois avoir envie de pisser toi aussi ?
-oui Lucie, (elle rougit à nouveau), je n’osais pas en parler…
-Va chercher un saladier en verre transparent !
-oui Lucie, tout de suite ! »
Je suis toujours allongée sur le lit, sur le côté, tête appuyée sur une de mes mains, jambes croisées.
« Tu es si belle, ma Lucie chérie (dit-elle en revenant de la cuisine avec le saladier)
-Tu es trop mimi ! Pose le saladier là, bien en vue ! Très bien ! Maintenant montre moi ton cul ! »
Elle se tourne et m’offre sans pudeur la plus belle vue sur ses fesses. Je les caresse, délicatement, tendrement. Elle ronronne de plaisir. J’attrape l’extrémité du Plug et le retire.
« Ouvre la bouche ! »
Elle obéit sans protestation et accepte le joujou comme un bébé sa tétine. Elle suçote et tète la sucette insolite au goût amer et âcre.
« Accroupie toi au dessus du saladier et soulage ta vessie ! » Elle acquiesce d’un signe de tête et se place, cuisses fléchies et bien ouvertes au dessus du saladier, bien face à moi. Elle pisse un long jet dru, couleur intense aux reflets d’or. Ça mousse et je vois le niveau monter dans le récipient. Elle le remplit aux deux tiers.
« Très bien ! Maintenant tu vas pouvoir faire un peu de toilette ! Penches toi au dessus du saladier (Je la regarde intensément en lui souriant.) et sers toi de ta pisse pour nettoyer ton visage, ton buste, tu es toute collante de sirop au parfum cul !
-Mais Lucie… non, je ne vais quand même pas…
- Dépêche-toi ! Je vais me laver les dents ! » Je me lève, me dirige vers la salle de bain, prends sa brosse à dent. Du coin de l’œil, je la vois se pencher au dessus du saladier. Elle plonge ses mains dans l’urine et commence par humidifier son visage. « Frotte bien ! Je ne veux plus voir de traces suspectes sur ta peau ! »
Elle frotte son visage, le sucre a séché et colle à sa peau, le pire ce sont les cheveux. Elle se sent honteuse mais son ventre fond du plaisir généré par cette humiliation. Je viens me brosser les dents à côté de toi. Je me gargarise un moment après avoir bien frotté et au moment de cracher, je lui retire le Plug et le plonge dans le saladier. Je lui fais signe d’ouvrir la bouche. Elle obéit spontanément et je crache le contenu de ma bouche dans la sienne.
« Rince-toi la bouche avec ça ! Après ça sera ton tour de te brosser les dents ! Elle se gargarise quelques instants et je lui fais signe d’avaler. Elle le fait en grimaçant. Je trempe la brosse à dent dans l’urine et verse une noix de dentifrice dessus et je lui colle dans la bouche. Elle se brosse les dents avec application, je lui fais signe de recracher dans le saladier.
« Prends une bonne rasade de pipi pour te rincer !
-Oh non ! Tu exagères ! (je te claque vivement les fesses !) AAAaaïïïee !
- Dépêche-toi ! Je suis vannée et j’ai besoin de dormir !
Tu aspires une bonne quantité de liquide, te gargarise un long moment et je te fais signe d’avaler.
Tu déglutis avec un haut le cœur.
« récupère le Plug et remets le dans ton cul après l’avoir nettoyer un peu avec ta bouche ! (elle le regarde flotter dans la mixture de pisse et dentifrice avec un certain dégoût, le prends entre ses doigts, le suce à nouveau et le replace au fond de son cul) Viens te coucher maintenant ! »
Elle s’allonge près de moi, je me serre contre elle, avec tendresse, lui embrasse le bout du nez, le front, le cou…
« Merci ma Lucie chérie, j’aime ta douceur ! »
Je finis par ses lèvres, ma langue pénètre sa bouche et je l’embrasse fougueusement. Je la serre contre moi. Une de mes mains descend le long de sa colonne vertébrale pour finir entre ses fesses, appuyant sur le Plug. Elle pousse un cri.
« Bonne nuit ma chérie !
-Bonne nuit amour…
Nous nous endormons comme ça, enlacées, enivrées par les parfums de sexe et urine…
Encore un grand merci à Bruce Morgan pour son autorisation à illustrer mon récit avec son magnifique dessin.
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