La maison des soumises

 


                                              Prologue:

    Il y a plusieurs années de cela, un dominateur prit contact avec moi sur l’un

des sites que je fréquentais à l’époque pour me proposer de me “prêter” ses
soumises.
Je lui avais bien spécifié que j’étais exclusivement lesbienne, que je n’étais en
aucune façon une ‘’soumise’’ potentielle et que je ne cherchais aucune relation
hétéros .
Après une rencontre autour d’un verre et mise au point exhaustive des règles
à respecter si j’acceptais sa proposition , il me présenta ses trois soumises via
web cam pour commencer.
Il possédait une maison de campagne à une centaine de km de chez mon amie
Isa.
Celle ci me proposa donc tout naturellement l’hospitalité . Son époux devait
s’absenter pour une semaine, je ne l’ai donc vu qu’à mon arrivée, il parti le
lendemain matin en nous souhaitant , sourire en coin, de passer un très
agréable weekend.
Si il était bien au courant de ma relation particulière avec sa femme , il ne
connaissait pas la raison particulière de ma venue cette fois ci.
Isa se montra tout de suite très curieuse et visiblement envieuse en pensant
à ce qui m’attendait.
Je lui répondis que si bien évidemment la perspective d’avoir trois femmes à
dominer pour moi toute seule m’excitait tout particulièrement ( et c’était une
première pour moi ) je restais un peu tendue et perplexe à la pensée que c’est
un homme qui m’offrait cette opportunité, que cela se passerait chez lui, et en
sa présence. Même si notre première entrevue s’était bien déroulée et qu’il
m’a semblé plutôt digne de confiance et respectueux, je restais un peu
anxieuse et je me risqua à demander à mon amie si elle accepterait de
m’accompagner. Pour la mettre à l’aise je lui précisa qu’elle ne serait bien
évidemment pas obligée de participer mais comme elle était dans l’armée et
qu’elle avait l’habitude de gérer des hommes , sa présence me rassurerait. Elle
n’hésita pas et accepta de suite .
Mais en poursuivant la conversation, je sentais bien que quelque chose la
démangeait.
Elle finit par craquer et m’avoua qu’elle crevait d’envie de participer elle aussi ,
en tant que ma soumise personnelle.
Je lui dis que j’en serais plus que ravie mais je lui demanda si ça ne poserait
pas un problème vis à vis de son mari.
Elle me répondit qu’elle n’était pas obligée de lui en parler, et qu’après tout,
ça ne serait que batifolage entre filles là aussi!
Nous rîmes de bon coeur et on s’enlaça, sa culotte était trempée et je me
laissa glisser le long de son corps pour venir respirer ses moiteurs intimes.
Je téléphona dans la journée à Antoine, le dom, et je le prévins que je serais
accompagnée d’une de mes soumises


 

1ère partie:l’arrivée


 
Je n’ai pas beaucoup dormi cette nuit, nous ne nous étions pas vues depuis
longtemps et nos retrouvailles furent orgasmiques et digne du déluge. Qui
plus est , j’étais nerveuse en pensant à la journée qui m’attend , je devrais dire
qui nous attends!
J’avais tout de même réussi à m’assoupir vers le matin et c’est sous la douce
caresse humide d’une langue experte entre mes lobes fessiers , sur des draps
encore humides et odorants que je me réveille.
Je gémis mais je te laisse dévorer mon petit trou, je mouille déjà comme une
folle .
J’aimerais laisser s’éterniser cet instant mais ma vessie est pleine et
douloureuse.
À regret donc, je te demande de faire une pause car je dois rapidement me
soulager!
“Ah non, Lucie! Tu ne vas pas aller gaspiller ton précieux nectar dans la cuvette
des toilettes , pour une fois que je t’ai dans mon lit un matin je ne veux pas en
perdre une goutte!
-Comme tu voudras, mais je te préviens, ça sera beaucoup plus corsé et épicé
qu’hier soir!
- j’adore les alcools forts et épicés!
-Alors tu vas te régaler ma chérie!”
Tu t’allonges sur le lit, je te chevauche en 69 et lorsque je te sens prête, tes
mains sur mes fesses pour les écarter, la bouche grande ouverte, je me
concentre pour pisser sans trop ouvrir les vannes, utopie éphémère car après
un ou deux jets raisonnables , un flot d’urine odorante et colorée déferle en
cascade sur ton visage!
Tu redresses la tête et vient coller ta bouche contre ma chatte. Mais tu
manques de suffoquer, avale de travers et te mets à tousser en recrachant .
Je parviens à stopper le torrent , le temps de te reprendre et de recoller ta
bouche à ma source, je reprends ma miction en parvenant cette fois ci à la
contrôler, je fais des pauses pour te laisser déglutir et tu parviens à tout
avaler jusqu’à la dernière goutte. Ta langue nettoyant ma vulve ne s’arrête que
lorsque je suis prise de spasmes de jouissance!
Je te demande si toi , tu a déjà pissé ce matin. Tu me réponds que non, pas
encore.
je te dis alors que je veux ta pisse pour mon thé au petit déjeuner!
Tu me souris et nous descendons en vitesse à la cuisine.
Tu prends la cafetière, jette le reste de café et devant moi, les cuisses
écartées , la chatte bien en apparence , tu remplies le récipient avec une urine
très colorée et au parfum envahissant. Je te demande de t’approcher de moi
pour lécher les dernières gouttes qui perlent encore de ta minette .
La cafetière est bien remplie, je te conseille de la passer au micro onde et je
choisis un thé vert avec lequel je remplie une boule à infusion.
Lorsque tu ouvres à nouveau le four, une odeur de pisse chaude envahit la pièce,
bientôt enrichie par le parfum du thé qui infuse lentement dans ta miction.
On y ajoute du miel, puis on se prépare des biscottes suédoises tartinées de
beurre et confiture.
Mais il faut qu’on se dépêche car il y a tout de même un peu de route à faire
même si une partie du trajet bénéficie de deux fois de deux voies .
Donc nous passons rapidement sous la douche, non sans quelques caresses et
attouchements, nettoyages en profondeur et tendresses.
Lavements par précaution en prévision des jeux qui nous attendent, surtout
pour toi.
Tu m’introduis un chapelet anal en prenant bien ton temps et une paire de
boules de Geisha. Pour toi je choisis un rosebub avec un anneau, relié à une
chainette elle même fixée à une chaine dorée à gros maillons portée en
ceinture à la taille.
Puis tu m’aides à m’habiller, string, jupe en cuir, corset ,chemisier blanc,
bottes hautes en cuir également .
Pour toi ce sera plus succinct, chaussures à talons, bas , la chaîne autour de la
taille et ton collier de soumise et rien de plus, le tout uniquement dissimulé par
ton manteau de fourrure.
Je porte moi une longue veste en cuir.
Tant que nous ne sommes pas encore sorties de la ville, tu ne peux t’empêcher
de redouter de croiser quelques connaissances à chaque feux rouge ou
ralentissement.
Bien entendu, le manteau masque ta nudité mais conduire en manteau fermé en
ce début de printemps peut sembler un peu étrange et suspect me dis-tu !
Tu finis par te détendre au fur et à mesure que nous nous éloignons de Vannes,
l’atmosphère est même plutôt torride à l’intérieur de l’habitacle , je te raconte
les choses obscènes que je t’ ordonnerais de faire avec ces femmes que tu
n’a jamais vues auparavant. Ce faisant, je défais la ceinture de ton manteau,
j’ouvre les pans et je joue avec ta poitrine. Je malaxe tes seins, les tritures,
pinces les mamelons qui se dressent encore davantage, je tire dessus, te
crache dessus . Je te fais boire régulièrement le thermos de “Pee Tea” que
nous avons préparé avant de partir, j’en bois également mais moins que toi.
D’autant plus que si je t’ ai interdit de te soulager avant que je ne t’en donne
l’autorisation. De mon côté, je ne me gêne pas pour libérer un peu ma vessie
d’une pression trop importante en pissant dans la bouteille thermos juste à tes
côtés , alors que tu te concentres comme tu le peux sur ta conduite.
Je joue aussi avec ta chatte , je tire sur les poils de ton pubis, tu mouilles
comme une folle! La house de protection du siège est trempée!
Nous nous approchons de la destination. Nous traversons le petit village
dont Antoine m’a parlé, le ciel est gris et il commence à pleuvoir. Enfin! Voici le
panneau indiquant le lieu dit où se trouve la maison, la voiture s’engage dans la
petite route de campagne et au détour d’une succession de virages pendant
près de deux km nous apercevons les murs qui encerclent le jardin. Le parc
serait plus approprié si l’on en juge par ce que nous distinguons à travers les
grilles du portail . Je me penche sur toi pour me rapprocher de l’interphone et
je sonne.
Une femme me répond, je me présente et demande si nous sommes bien chez
Monsieur Antoine B.... . . Elle me répond que oui et que Monsieur nous attend,
elle nous invite à venir nous garer devant la maison. Le portail s’ouvre et
quelques instants plus tard , après t’avoir aidé à réajuster ton manteau, nous
descendons du véhicule . J’accroche aussi une laisse à l’anneau de ton collier.
Il mouille toujours et nous nous précipitons en haut des escaliers qui montent
vers la porte d’entrée sous un porche.
La porte s'ouvre, une des soumises nous accueille , entièrement nue, collier
de soumission, pinces aux seins et apparemment aux lèvres de sa chatte ,
lestées de petits poids qui lui étire les chairs.
C’est une femme d’une trentaine d’années, mince, petite poitrine, petites
fesses , pubis totalement glabre , cheveux courts, brune.
Elle nous propose de retirer nos manteaux, je lui donne le mien mais je lui dis
que tu vas garder le tiens pour le moment. Elle nous invite à la suivre ,,, elle est
à quatre pattes devant nous, nous montrant le chemin à suivre. Le sol est
carrelé , elle dandine des fesses , tu me chuchotes “ humm joli petit cul elle
me fait mouiller la chienne!” Je te lance un regard sombre et je tire sur la
laisse : “ n’oublie pas que tu es une soumise!”
Je te précède et tu me suis au bout de ta laisse. Nous montons maintenant un
escalier en pierre, le spectacle de la soubrette nue montant les marches à
quatre pattes devant nous nous liquéfie le ventre . Nous entendons de la
musique classique qui provient du premier étage.
Nous arrivons dans une grande pièce, le salon probablement, sol carrelé là
aussi, des tapisseries au mur, style classique, très beau mobilier en bois,
beaucoup de miroirs, des chandeliers , décor de maison bourgeoise du 19ème
siècle .
Notre hôte se trouve au centre de la pièce , il se tient debout, appuyé à son
bureau , il est habillé d'un costume strict mais élégant, anthracite , ses deux
autres soumises à ses pieds , nues elles aussi . L'une d'elles porte une sorte de
cagoule, en latex, l'autre à une boule dans la bouche .
“humm il est tres sexy! Si tu veux tu peux m'offrir a lui!” Me chuchotes tu.
“Dis donc toi? Et Jean?
-Euuuh.. Me réponds tu en rougissant un peu, aujourd’hui je ne suis pas la
femme de Jean, je suis ta chose!
-Soit, nous verrons!
-Bonjour Lucie, voici donc ta soumise! Jolie... Mais vous devez avoir soif!
Prenez donc un verre de champagne pour fêter le moment exceptionnel qui
nous attend!”
Je le remercie, prends un verre sur le plateau que porte la première soumise
qui nous a accueillies à notre arrivée. Mais je décline l’offre pour toi:
“ c’est très gentil de votre part mais elle préfère une autre boisson!”
Tu me regardes , l’air un peu déconcerté, en pensant: “ ça y est! Ça va
démarrer sur les chapeaux de roues!”
“Bien entendu me répond il, tout est prévu!” Il claque dans ses mains et fait un
signe à celle qui a la boule ds la bouche en lui montrant une gamelle sur le sol au
centre de la pièce.
Celle-ci se déplace à quatre pattes jusqu’au récipient et s’accroupit au dessus .
Un jet doré remplit la gamelle . En dépit de la musique environnante, le doux
sifflement de sa miction et son parfum enivrant démontre une fois de plus sur
nous son pouvoir quasi hypnotique . La fille est plus jeune que la première,
je dirais qu’elle a moins de 30 ans, un peu ronde mais avec une taille marquée ,
un petit ventre rond, des seins lourds , de belles fesses bien rondes .ses
cheveux sont noirs, attachés en queue de cheval . Elle aussi à le sexe glabre.
La troisième soumise quitte son maître pour rejoindre sa complice , elle aussi
à quatre pattes.Elle vient nettoyer le postérieur de sa comparse avec sa
langue.
C’est une femme plus grande, seins moyens mais grosses aréoles , une
cicatrice évoquant une césarienne, tatouages celtiques sur un bras, le creux de
ses reins et le pubis sans poils lui aussi . Du sommet de la cagoule un trou par
lequel sort une longue tresse blonde à l’extrémité de laquelle est fixée une
chaîne tendue jusqu’à un crochet fiché dans son anus.
Le maître des lieux flatte la croupe de sa soumise pisseuse pour la féliciter .
Je le remercie pour cette attention et je te fais un signe . Tu te mets à ton
tour à quatre pattes et te dirige un peu tremblante vers la gamelle pleine.
Tu te penches vers la surface miroitante , respire à pleins poumons l’odeur
du breuvage chaud et doré dont la couleur est sublimée par les parois
métalliques du récipient. Je m’approche pour remonter ton manteau sur son
dos, dégageant ta croupe.
Tu remues les fesses comme pour me dire “mon gros cul est à toi, fais en ce
que bon te semble!”
“Allons , fais honneur à notre hôte , ne laisse pas perdre ce précieux
nectar!”
Tu plonges ton visage vers la gamelle et y trempe tes lèvres , lapes comme une
petite chienne salope que tu es pour moi et montre bien que tu avales.
Tu fixes notre hôte et tu dis un peu bravache :
“ Elle est bonne mais je préfère celle de ma maîtresse Lucie!”
Je te fesse violemment!
“ allons! Ce n’est pas une façon de remercier notre hôte!”
Il sourit , me donne les laisses de ses soumises et s'assoit sur son fauteuil .
Tu arrives au fond de la gamelle, tu lèches les dernières gouttes , l’urine te
coule sur le menton, tu passes la langue sur tes lèvres et me regarde fière de
toi.
Je me penche vers toi, lèche l’urine sur ton menton et t’embrasse
profondément.
“Caresse moi Lucie, je suis bouillante,je t’en prie, je vais devenir folle , j’ai
tellement envie!”
Je t’aide à te débarrasser de ton manteau et je fais signe à l'une des
soumises de venir derrière toi. Celle avec la cagoule. Elle vient renifler tes
fesses comme le ferais une chienne.
Je lui donne l’ordre de te lécher la raie. Sa langue glisse sur le sillon, tourne
autour du rosebud et vient se perdre entre les lèvres de ta vulve trempée.
J’écarte tes fesses de mes mains , crache sur le sillon , lui demande de
prendre l’anneau du plug entre ses dents et de tirer dessus pour l’extraire .
Elle enveloppe le rosebud avec sa bouche, tu sens ses lèvres contre tes chairs
intimes , ses dents se referme sur l’anneau et elle commence doucement à
tirer .
Tu sens la partie interne du jouet attirée vers l’extérieur et tes chairs
s’étirer, tu gémis . Tu pousses même un peu pour faciliter l’extraction.
L’objet sort avec un bruit humide et ton petit trou se referme .
Je demande à la fille qui nous a accueilli de venir sucer le plug tout juste sorti
de tes entrailles, elle regarde son maître un instant mais celui ci lui jette un
regard ferme et sombre. Elle n’hésite pas plus longtemps et vient rejoindre sa
complice toujours à quatre pattes. Elle gobe le jouet toujours tenu par la
mâchoire de son amie masquée , elles sembles collées l’une contre l’autre ,
bouche contre bouche en un baiser passionné. La petite brune suffoque et
recrache une grande quantité de salive. Je récupère la bave qui coule de sa
bouche , sur son menton et je t’en badigeonne le cul .
Je fais signe à la “cagoule” qu’elle peut lâcher le rosebub, celui ci étant
toujours relié à la chaîne qui ceint ta taille , il pend maintenant sous tes fesses.
J’écarte à nouveau tes fesses en grand, crache à nouveau sur ton cul et je
l’invite à s’occuper de ce petit orifice palpitant en profondeur.
Sa langue ne tarde pas pas à s’insinuer en toi , puis poursuit son forage en
profondeur.
J’ordonne à la petite brune de se glisser sous toi en 69.Elle s’allonge sur le
carrelage froid, vos corps se frôlent et tu sens sa chaleur.
Sa bouche se colle à ta minette trempée pendant que sa copine te pénètre
toujours plus loin l'anus de sa langue. Tu gémis de plus en plus mais tu me
regardes suppliante :
“Lucie, je n’en peux plus, ma vessie me fait atrocement souffrir! Je dois
pisser!”
Je fais mine de ne pas tenir compte de ta supplique , je prépare
tranquillement l'autre femme, je lui retire la boule de sa bouche mais je la
remplace par un gode fixé par un harnais que j’ai déniché dans une grande
malle à jouets divers mise à ma disposition.
Antoine reste silencieux et n’intervient pas, comme convenu, mais sa présence
me perturbe un peu, je sais qu’il ne manque rien du spectacle qui se joue devant
ses yeux et ça me met un peu mal à l’aise.
Je poursuis la mise en place du harnais, parfait! On dirait qu’un phallus énorme
lui sort de la bouche! Je la guide, laisse en main jusqu’à ton postérieur et je
fais signe à “Cagoule” de lui laisser la place. Cette dernière vient devant toi
pour coller ses fesses sous ton nez.
L’autre quant à elle a placé l’extrémité du gode contre ta rosette .
Celle qui se trouve sous toi suce et aspire toujours les sucs de ta minette .
Quelques gouttes de pisse t’échappent par intermittence mais ça ne perturbe
en rien la bouche affamée qui s’active sur ton intimité.
J'écarte bien tes fesses en crachant de nouveau sur ton cul et sur le gode
pour facilité la pénétration.
Elle commence à s’enfoncer en toi. La pénétration est un peu douloureuse, la
fille n’a sûrement pas l’habitude de pénétrer quelqu’un de la sorte et le
volume de l’objet est plutôt conséquent mais petit à petit, ton anus se
détend et ton rectum accepte l’invasion qui progresse inexorablement dans
tes entrailles. Tu pousses pour faciliter le passage de l’envahisseur mais ce
faisant tu ne contrôles plus tes sphincters urinaire et un geyser de pisse
explose au visage de la petite brune qui te dévore la chatte.
Te voir ainsi fait grimper ma température et mon ventre dégouline , je sers les
cuisses, les boules roulent dans mon vagin et j’ai envie de tirer sur le chapelet
qui occupe mon rectum mais je n’en fais rien, je me contente de frotter mes
cuisses l’une contre l’autre et de contracter mon vagin, mon string doit être
trempé à tordre!
Ton urine éclabousse tout, le jet est trop puissant pour que tu ne le maitrises.
L'odeur est forte et envahit la pièce. Tu ne t’arrête pas pour autant de
lécher les fesses de la troisième, passant ta langue autour du crochet planté
dans son cul, aspirant les lèvres percées et pleine de cyprine.
La femme se retire de ton anus ,,, j'écarte tes fesses dilatant encore plus ton
orifice béant, je crache dedans à plusieurs reprises.
Mes doigts se glissent dans ce gouffre humide.
La femme au masque phallique vient à ton visage.
Je t’ordonne:
“suce le gode ma chienne !”
J’ai maintenant quatre doigts dans ton fondement, la fille allongée sur le sol se
trémousse dans la flaque de ton urine ,,, en te suçant le clitoris
Je retire mes doigts et la femme enfonce sa langue dans ton cul ouvert
“OOooouiiiiiiiiiiiii iiiiiiiiiiiiiiii iiiiiii” cries tu!
la femme au gode revient prendre sa place au creux de tes reins
Tu ondules des hanches.
Je me place à cheval au dessus de toi , je remonte ma jupe, écarte mon string
et commence à te pisser sur les cheveux.
“Cagoule” devant toi vient t'embrasser à pleine bouche sous la douche de mon
pipi tout chaud. L’urine coule sur le latex, tes cheveux trempés te collent à la
peau, sur ton visage, vos langues se mêlent sous ce déluge parfumé et épicé.
la femme au gode , sort de ton cul , l'autre le suce et elle te pénètre la chatte
elle alterne maintenant de ta chatte à ton cul.
Le flic-floc de tes orifices trempés et tes cris couvrent à présent la musique.
j'ai fini de pisser , je me retire et me place sur un fauteuil devant vous
je remonte ma jupe et retire mon string
je place mes jambes sur les accoudoirs, cuisses bien écartées
j'enfonce le string dans ta bouche.
mon bassin est en bordure du fauteuil, mes fesses et mon sexe parfaitement
accessibles
les cordelettes des boules de geisha ainsi que du chapelet dans mon cul
sortent de mes orifices. Je me caresse en vous regardant.
tu es souillée, trempée,, ton manteau est tout plein de pisse, tes cheveux
dégoulinent ,collés à ton visage et ton cou.
la femme te le lèche puis elle descend sur le décolleté,te caresse les seins .
Tu sers les dents sur mon string, tu es dans un état second , proche de
l’orgasme.
La petite brune sous toi enfonce trois de ses doigts dans ton vagin, sa bouche
toujours en ventouse sur ton clito.
Tu hurles ta jouissance au prochain coup de boutoir de celle qui t’encule avec
la prothèse.
Tu es prises de spasmes et tu t’effondres sur la petite brune . La fille au
gode , après s’être dégagée de ton cul revient te présenter l’objet qui a fouillé
si profondément tes entrailles, légèrement maculé de traces suspectes. Tu
recraches mon string et commences à le lécher . Tu passes ta langues sur
toute sa longueur, jusqu’à glisser sur la peau de la soumise qui a mis tant
d’ardeur à te défoncer.
Puis tu gobes le phallus factice jusqu’à la garde, fixant dans les yeux ta
tortionnaire .
Tu manques de suffoquer, le gode ressort couvert de salive épaisse et gluante.
La petite brune toujours allongée sous ton corps , apaise de sa langue ton petit
trou martyrisé.
Je demande à “ Cagoule” de venir s’occuper de moi, elle ne se fait pas prier
pour laper goulument ma chatte trempée.
Tu me jettes un regard de frustration, je sais que tu voudrais être à sa place.
Je n’ai pas fait attention tout de suite mais alors que je cherchais la fille à la
prothèse des yeux, je remarque qu’elle a rejoint Antoine à sa demande , qu’il l’a
libérée de son harnachement et qu’elle le gratifie d’une gâterie à gorge
profonde!
Je reviens au spectacle qui m’intéresse le plus, tu as plongé ton visage entre
les cuisses de la petite brune et vous vous dévorez mutuellement la chatte et
le cul dans une belle marre de pisse .
La langue de “Cagoule” se montre presque aussi experte que la tienne, elle fait
merveille sur mon clito . Puis elle love sa bouche contre l’entrée de mon vagin
et elle aspire ma mouille, cherchant à gober les boules qui sont toujours en moi.
Je pousse pour l’aider et elles se retrouvent bientôt transférées dans sa
bouche. L’anneau qui dépasse de mon anus l’intéresse aussi vivement et je
l’encourage à s’en occuper .
Elle lèche avec application et gourmandise le tour de mon petit trou plissé, puis
elle prend l’anneau entre ses dents et commence à tirer.
Je me caresse la chatte, débordante de cyprine. Je sens les boules du
chapelet bouger dans mon rectum et faire pression sur mon sphincter. Je sens
mon cul s’ouvrir et se libérer de la première ! Elle s’empresse de la gober et
recommence à tirer.
Je sais que tu ne peux t’empêcher de redresser la tête régulièrement pour la
regarder faire ce que tu aimes tant me prodiguer. Tu enfonces trois doigts
dans le cul de la brune, un peu brusquement, elle se contracte et étouffe un
cri , mais se laisse faire. Par réaction néanmoins elle te rend la politesse et à
son tour te pénètre le cul en enfonçant deux doigts de chaque main et elle
écarte ton orifice déjà bien préparé avec le traitement que tu as subi depuis
un bon moment!
A cet instant, j’ai presque envie de l’encourager à te fister le cul mais je sais
que tu ne l’as jamais fait et je n’ose pas aller jusque là. Et puis je suis dans un
état second sous la langue de “ cagoule”, celle ci a entièrement retiré et
nettoyé le chapelet et sa langue me fouille maintenant le cul en profondeur.
Ma main s’active sur mon clito et je sens l’orgasme monter en moi, deux doigts
remplacent maintenant sa langue et sa bouche vient prendre le relais de mes
doigts sur mon petit bouton , elle me branle le cul et aspire mon clito avec tant
d’énergie que ma jouissance explose à son visage!



Seconde partie: le repas


 

Notre hôte lui aussi semble avoir pu satisfaire son plaisir dans la bouche de sa
soumise. Il me laisse reprendre mes esprits et me propose de faire une pause
le temps de passer à table.
Le couvert est dressé pour nous trois, il me demande si je souhaite que tu
manges à nos côtés où avec ses soumises à nos pieds dans une gamelle pour
chiennes.
Je réponds que tu mangeras avec nous, mais que je le remercie de me le
proposer.
Les soumises d’Antoine se relèvent pour reprendre leur rôle de soubrettes et
elles nous invitent à nous assoir. Cagoule place une serviette sur la chaise
avant que tu n’y poses tes fesses nues et encore humides.
Quand à moi je suis toujours en jupe mais je n’ai pas remis mon string, hors
d’usage de toutes façons.
Les filles commencent le service, une salade de gésiers pour commencer, avec
un morceau de fois gras. Le tout accompagné d’un vin blanc doux et sucré.
Pendant le repas je t’autorise à t’exprimer normalement, tu n’es plus une
soumise mais mon amie et nous discutons librement et cordialement avec
Antoine. Je lui raconte comment je t’ai connue et ma découverte de la
domination et du plaisir que j’en retirais.
Pour plat de résistance, il a prévu du magret de canard, il s’est rappelé que
j’étais originaire du Périgord et j’appréciais volontiers la gastronomie.
Je lui demande quand ses soumises mangeront, il me répond comme les
chiennes après nous , lorsque nous en serons au café et digestif.
Pour le dessert , de la glace aux fruits, il avait pensé à un fondant au chocolat
initialement mais il a pensé que ça serait peut être un peu trop lourd après le
repas copieux et qu’il ne voulait pas nous indisposer pour le reste de la journée!
La petite brune arrive avec un plateau et le café .
Cagoule quant à elle revient de la cuisine avec une grande gamelle dans laquelle
on distingue ce que je crois deviner être de la pâtée pour chiens ( je me sens
un peu gênée, mais ne dis rien ) .
Antoine se lève et nous dit: “ vous permettez?”
Ce faisant la troisième soumise descend la braguette de son maître et sort son
pénis . Il se met à pisser dans le plat que tient “Cagoule” en nous précisant
“ vous comprenez, ce pâté est tellement sec qu’il faut bien l’arroser un peu!”
Les filles répondent en coeur : “merci maître!”
La fille qui tenait son sexe le prend en bouche pour les dernières gouttes et le
remet dans son pantalon, puis à l’aide d’une grande spatule en bois elle touille la
mixture.
“Gagoule” dépose la gamelle au sol un peu plus loin et les filles se retrouvent
toutes les trois à quatre pattes, cul dressé à manger dans le plat comme des
chiennes .
Je suis partagée entre un sentiment de répulsion car je déteste voir les
hommes humilier les femmes et l’excitation de les voir jouer le jeu de petgirls
jusqu’au bout.
Je te regarde et je vois bien que ce spectacle ne te laisse pas indifférente, je
glisse une main entre tes cuisses et l’état de ta minette ne laisse plus de place
au doute, tu es en chaleur!
Antoine te pose des questions, en restant prévenant et courtois, tu lui réponds
que tu es mariée , et que ton mari et toi avez un accord , il connait ton goût
pour les femmes et qu’il te laisse la liberté de vivre certaines expériences.
Je te caresse pendant que tu réponds à ses questions, et si au début tu
parviens à donner le change, je sens ton poux s’accélérer, ta voix moins claire ,
un peu hésitante et la sueur qui commence à perler sur ton front.
Les filles font du bruit en mangeant leur bouillie mais semble se régaler , à ma
grande surprise .
Antoine nous précise que si l’une d’entre nous a envie de pisser , inutile de se
rendre aux toilettes, les soumises sont là pour ça et elles sont à notre
disposition.
J’ai bien bu depuis le début du repas et la tentation est forte de profiter de la
situation.
J’appelle la petite brune et elle accourt à quatre pattes jusqu’à moi. Son visage
est dégoulinant de pisse et pâté mélangés.
Je recule et pivote un peu ma chaise, place mes fesses bien au bord et
remonte ma jupe; elle approche sa bouche grande ouverte de ma chatte , juste
à quelques centimètres , j’écarte mes lèvres pour dégager mon urètre et après
un petit moment pour me détendre , je commence doucement à pisser, elle
colle alors sa bouche contre ma source et j’envoie un second jet plus puissant
qui remplie sa gorge, je marque une pose à chaque fois que je la sens pleine et
je la laisse déglutir avant de reprendre ma miction.
Ça dure un moment , car je ne me presse pas, elle ne fait aucune grimace et
semble plutôt se régaler. J’en suis heureuse et je lui caresse les cheveux.
Je ne m’occupe plus de ta chatte mais je constate que tu as pris le relais et je
vois à ton visage que tu es proche de la jouissance.
Ton orgasme arrive alors que mes dernières gouttes de pisse sont aspirées de
mes lèvres par la jolie petite brune.
Antoine applaudit et nous propose de visiter son donjon .



Troisième partie: le donjon

 
Antoine nous précède , tenant en laisse ses trois chiennes qui avancent
nonchalamment à quatre pattes, balançant leur cul dressé vers nous.
Nous descendons maintenant un escalier qui mène vers la cave.
Celle ci est assez grande et haute de plafond, en passant la porte d’entrée
nous dominons la pièce du haut de l’escalier en pierre.
Plusieurs projecteurs éclairent l’ensemble, il y a bien sûr une croix de St
Andrée, mais aussi trois cages, un siège de gynécologue (!!) un chevalet , des
chaînes qui pendent du plafond, une cage qui semble reliée par une grosse
chaîne à un ensemble de poulies qui doit certainement pouvoir être hissée
jusqu’au plafond. Au sol du carrelage blanc. Dans un coin, le sol forme une
cuvette en pente déclinante avec des trous d’évacuation munis de bouchons
comme dans une baignoire.
Une étagère avec toute une batterie d’accessoires, dont certains font plus
penser à des instruments de torture qu’à des jouets au service du plaisir.
Il semble aussi avoir bricolé une machine avec un gode monté sur vérins
pneumatiques , comme on peut en voir sur certaines vidéos.
Je suis partagée entre un certain malaise et un peu de fascination.
Je me demande si ma réaction négative aurait été la même si il avait été une
femme.
Je sais qu’il est dominateur SM, et je sais que certaines femmes sont très
masochistes, et que bien entendu si ces trois femmes sont là , c’est parce
qu’elle l’ont choisi et même recherché mais c’est la première fois que je suis
confrontée à cette réalité de l’univers BDSM que je viens récemment
d’intégrer.
Toi, tu sembles moins perturbée que moi, mais tout de même sur ta réserve.
Il nous propose que les filles nous fassent une démonstration de ce qu’elles
attendent des séances lorsqu’elles viennent ici.
“Cagoule’’ sera la domina , la petite brune détache la chaîne qui relie ses
cheveux au crochet puis elle retire délicatement celui ci de l’anus de la blonde.
Je ne suis pas toute proche mais je vois bien que le crochet, qui se termine par
une boule n’est franchement pas très propre , pourtant la brune n’hésite pas à
la gober et elle la nettoie avec application.
“Cagoule” équipe maintenant “queue de cheval”, allongée sur le ventre sur le
dos du chevalet, avec un bâillon sm avec un anneau pour maintenir la bouche
grande ouverte . Elle fixe la chaîne du crochet à l’extrémité de la queue de
cheval et introduit la boule du crochet dans le cul blanc et bombé de la jeune
femme. Elle sangle de chaque côté les poignets et les chevilles de la suppliciée
ensemble puis elle passe les sangles dans un des maillons de la chaîne et fixe le
tout à une autre chaîne suspendue au plafond et munie d’un crochet. La
tension supplémentaire sur la première chaîne se fait instantanément
ressentir , contraignant par là même la soumise à se cambrer et maintenir
sa tête en arrière.
Cagoule va s’occuper à présent de la petite brune aux cheveux courts. Elle
l’installe sur la croix de St Andrée , attachant poignets et cheville . La femme
est de dos face à nous et Gagoule prend un fouet .
Elle caresse d’abord le corps de sa future victime avec , remontant l’intérieur
de ses cuisses maintenues grandes ouvertes jusqu’à son intimité.
Celà dure quelques minutes, puis elle prend un peu de recul et le fouet claque
une première fois sur les reins de la brune. Pas de cri, elle doit serrer les
dents.
Deuxième coup cinglant, puis un troisième, au début le rythme est lent entre
les claquements de fouet, mais elle accélère le rythme, et la brune commence
à gémir tout en serrant les dents.
Sans la blesser profondément, des marques bien rouges ne tardent pas à
zébrer sa peau si pâle.
Antoine me regarde, il remarque certainement mon malaise.
Il fait signe à “Cagoule” de faire une pause, et m’invite à venir vérifier l’état
de l’entre jambes de la pauvre suppliciée . Je m’approche et passe ma main
tout en douceur en longeant l’intérieur de ses cuisses, elles sont trempées et
plus je remonte vers son sexe , plus l’humidité est présente.
Sa chatte est ouverte et dégoulinante de cyprine, c’est la première fois que je
suis confrontée à ça, je ne peux que constater que la douleur va de paire avec
le plaisir chez certaines personnes!
Mes doigts , après être remontés par le sillon de ses fesses s’attardent sur
les marques rouges et un peu enflées sur sa peau.
Antoine me propose de prendre moi même le fouet mais je décline poliment.
“Cagoule” reprend son office, pendant plusieurs minutes encore, même en
sachant que la victime est consentante et y trouve ce qu’elle cherche , je ne
me sens toujours pas à mon aise et ne ressens aucune excitation.
Puis, une fois terminé , elle la détache et la conduit jusqu’au siège de gynéco.
Elle l’aide à s’installer, puis lui sangle chevilles et poignets, elle fixe un bâillon
boule avec un tuyau qui traverse la boule. Le tout étant relié à un réservoir
transparent fixé en hauteur au dessus du siège. Elle pisse devant nous dans un
pichet et elle verse le contenu dans le réservoir. Elle ouvre très légèrement le
robinet à la base et on peut voir le liquide jaune descendre doucement dans le
tuyau transparent.
Elle place la machine à piston ( qui se trouve sur un chariot à roulettes et
freins pour la stabiliser ) devant le siège , juste au niveau de l’intimité de de la
brunette . Elle enduit le gode de lubrifiant ( il me paraît énorme, beaucoup plus
gros que le pénis d’un homme normal en tout cas!). Et pénètre l’anus de la
soumise. Elle actionne le piston grâce à une télécommande et le phallus
commence un mouvement de vas et viens lents mais profonds.
La femme gémit mais son bâillon et la pisse qui coule inexorablement dans sa
bouche l’empêche de parler et même de crier .
Le rythme s’accélère et prend sa vitesse de croisière, les gémissement mêlés
à des gargouillis s’intensifient également.
Elle la laisse ainsi et retourne vers sa première victime, elle place des bougie à
plusieurs niveaux de la chaîne au dessus du dos de la jeune femme et les
allume.
Elle se badigeonne maintenant les mains et remonte même l’avant bras droit
jusqu’au dessus du coude.
La voici maintenant qui s’occupe de la chatte de son amie, j’échange un regard
avec toi, nous comprenons aisément qu’elle s’apprête à la fister .
On voit bien qu’elles sont habituées à ce genre de pratiques, il ne faut pas
beaucoup de préparation à la blonde pour faire disparaître son poing entier
dans le vagin de “queue de cheval”
Celle-ci gémit comme elle peut, la bouche écartelée par l’anneau du bâillon, et
une salive abondante qui coule sur son menton pour pendre en filets gluants
dans le vide.
La cire commence à couler sur son dos, et ses fesses, elle pousse des cris
informes à chaque fois que le contact brulant la saisie !
Je te regarde à nouveau, te parlant à voix basse:
“Nous sommes un peu loin de nos jeux habituels qui paraissent bien inoffensifs
à côté du spectacle auquel nous assistons!”
Tu acquiesces et me souries avec complicité.
La fille sur le chevalet se contorsionne comme elle peut sous les gouttes
brulante qui forment des plaques de cire sur sa peau , mais chacun de ses
mouvements lui rappelle cruellement la tension exercée par la chaîne entre sa
tête et son cul .
Au bout de plusieurs minutes de ce traitement, elle crie davantage et se
trouve prise de spasmes caractéristique d’un puissant orgasme!
L’autre femme sur la chaise gynécologique est toujours pilonnée sans répit par
la machine, je plains l’état de son cul demain matin!
Soudain elle jouit dans un geyser qui éclabousse tout devant elle, expulsant le
gode de son fondement en se cambrant!
La machine pilonne toujours dans le vide mais “Cagoule” finit par l’éteindre et
le calme revient dans la pièce.
Antoine nous demande ce que nous en pensons et si j’ai pris du plaisir à voir cet
exemple de séance , en me précisant que cela pouvait être plus “corsé”! Il dit
également que la salle et tous ces accessoires sont à ma disposition et que je
peux si je le souhaite poursuivre ma domination sur ses soumises et il te
regarde comme pour te questionner sur ton envie de subir pareil traitement.
Je le remercie, mais je lui rappelle ce que je lui avais déjà spécifié lors de nos
premières conversations: je ne suis pas attirée par la souffrance, ma
domination est plus cérébrale et ludique , je comprends les besoins
masochistes de certaines ( ou certains ) mais je ne me vois pas en domina
cruelle et infligeant de tels traitements, pour l’instant du moins.
Il me dit qu’il comprend, même si il regrette un peu, qu’il aurait tellement aimé
me voir à l’ oeuvre avec fouet , cravache et pinces!
Nous remontons au salon prendre un thé et des petits fours.
Une de ses soumises fait le service pendant que les deux autres se lèchent en
69 sur un tapis devant nous.
Une heure plus tard nous donnons congé à notre hôte et à ses soumises.


Epilogue: le retour


 

Un de mes regrets c’est qu’à aucun moment nous avons pu avoir une
conversation “normale” avec ses femmes,
“Nous ne connaissons même pas leur prénom!”te dis-je .
“Oui, c’est assez dérangeant, on dirait qu’il les maintient dans un rôle d’objet .
-J’ai discuté un peu avec deux d’entre elles à la web cam, mais elles étaient
masquées, elles semblaient tout à fait enchantée de leur relation avec Antoine
après tout!”
On poursuit notre discussion mais rapidement tu me rappelles les moments
torrides qui ont suivis notre arrivée et nous revoici rapidement autant excitée
l’une que l’autre.
Tu prends un chemin de campagne et nous nous isolons derrière un bosquet.
Je passe mes mains sous ton manteau et caresse tes seins, et nous nous
embrassons à pleine bouche.
Je plonge mon visage entre tes seins, ta peau est encore toute imprégnée des
parfums sauvages de la journée, mélange de cyprine, urine et sueur.
Je lèche ta peau , et suce tes seins je te dis que tu es ma salope, ma chienne
lubrique et que je t’adore.
Tu me le rends bien et nous nous amusons à nous cracher mutuellement dans la
bouche, sur le visage , pour aller en suite récupérer la salive avec la langue et
tout recracher dans la bouche l’une de l’autre.
Je te demande si tu as envie de pisser, tu me réponds “ tu parles! Avec tout ce
thé qu’il nous a servi avant de partir, plutôt deux fois qu’une !”
“Sortons de la voiture alors!” tu prends un pled qui était plié dans le coffre et
nous l’étendons sur l’herbe humide.
Il fait un peu frais, mais notre désir est plus fort.
Je m’allonge sur la couverture, remonte ma jupe pour que tu vois ma chatte , je
veux dégrafer mon chemisier mais tu me supplies de le garder ainsi. Tu
ouvres en grand ton manteau, tes bas ont pris un sacré coup, je pense que tu
pourras les jeter! Je te trouve belle , sentant la luxure et la pisse, je regarde
ton sexe que tu ouvres en grand au dessus de moi, et le liquide tant espéré
jaillit avec force pour venir m’arroser la poitrine!
Le chemisier prend une couleur jaunâtre mouillée et on distingue rapidement la
couleur de ma peau et mon corset par transparence!
Le flux continu continu son ouvrage et tu me douches maintenant le cou et le
visage , ton urine chaude laisse s’envelopper une brume de chaleur très
agréable! Je cherche de la bouche avide à en capturer le maximum pour
savourer toutes les nuances de son parfum musqué .
Tu t’assois progressivement sur mon visage , à mesure que la fontaine se tarit
et que j’avale tout ce que je peux . Je lèche longuement ta vulve , aspirant le
moindre suc et m’en délectant . Puis je passe à ton cul que j’adore visiter lui
aussi et tu jouis en te masturbant pendant que je t’encule avec ma langue.
Tu te baisses vers mon bassin et ta bouche gourmande se colle à ma minette
trempée.
Nous serions restées ainsi plus longtemps si la pluie n’avait pas décidé de jouer
les troubles fêtes et interrompre nos ébats.
Pendant tout le trajet du retour, l’odeur de sexe et de pisse a totalement
envahit l’habitacle de la voiture et nous nous en amusons comme des folles!
“Il va y avoir du nettoyage en perspective ma chérie!”

 


Toujours un immense merci à Mia et Bruce Morgan pour leurs images!!!!

Commentaires

  1. Très agréable à lire , bien écrit . jolie dessin et belle photo , merci ma chérie 💋💋💋 que du bonheur.

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