Marrakesh , Mille et une nuits de saveurs

            



 

 Marrakesh, par une chaude journée de printemps, nous déambulons au sein de l’activité grouillante et bruyante du souc.

  Nous avons fait connaissance dans le cadre dans le cadre d’un voyage organisé et nous profitons d’une journée de « quartier libre ». Tu devais initialement être accompagnée de ton mari mais celui ci c’est une fois de plus désisté prétextant quelques motifs professionnels.

 Je t’ai remarqué dès notre arrivée à l’aéroport, Isabelle, superbe femme de 45 ans, élégante et décontractée, toujours souriante …nos regards se sont croisés et j’ai ressenti que je ne t’avais pas laissée indifférente non plus…. mais que pouvais je espérer, moi, Lucie, trop jeune étudiante de 20 ans, gagnante d’un jeu de hasard, si ce n’est une amitié … 

 Mais j’ai vite compris que l’âge ne serait pas une barrière entre nous et que notre complicité ne se contenterai pas d’une simple amitié… Quelques jours avant notre promenade dans le souc, après un dîner un peu trop arrosé, nous avions tellement ris que je me suis oubliée dans ma culotte…personne ne semblait avoir remarqué à part toi…je me souviendrais toujours de l’expression de ton regard…j’ai porté ma main entre mes cuisses trempées pour vérifier l’état des dégâts…tu semblais captivée… Alors, faisant preuve d’une audace menaçant de mettre en péril notre belle relation je te tends ma main toute mouillée et odorante…Tes yeux toujours plongés dans mon regard, tu ouvres la bouche et me lèche les doigts…Nous savions dès lors que le reste des vacances ne se passerait pas du tout comme prévu initialement…

 Tu es occupée à fouiner parmi les étoffes colorées et soyeuses d’un marchand et je me penche vers toi pour te murmurer :

 «  -Je vais t’emmener dans un endroit très spécial.

 -ah oui ??

  -c’est une sorte de restaurant, un lieu très secret, inconnu des touristes ordinaires, tenu exclusivement par des femmes. -mmmh ouiiii -bien alors voici l’adresse, (je te glisse un papier dans le creux de la main)…mais, tu dois me promettre d’être très sage et obéissante…les règles sont très strictes ! 

-d’accord ! (je te sens curieuse et excitée comme une gamine)

 -tu t’y rendras seule, habille-toi très sensuellement, en prenant soin bien sûr de te couvrir d’un manteau afin de respecter les us et coutumes du pays. 

 -mmhh, coquine ! …

 -dernière chose, je t’interdis formellement de profiter de ton retour à l’hôtel pour faire un petit pipi ! A partir de maintenant je suis seule maîtresse de ta vessie ! » 

Discrètement, je glisse ma langue pleine de salive dans le creux de ton oreille, et je m’évanoui dans la foule… 

 Tu rentres à l’hôtel, prends une douche et commence à te préparer…de nombreuses questions assaillent ton esprit…que me réserve t’elle cette petite cochonne ? Dans qu’elle histoire suis-je en train de m’embarquer ? Surtout ma dernière recommandation, le ton autoritaire et son incongruité, provoque chez toi un mélange d’appréhension et de curiosité …L’heure du rendez vous se rapproche. Tu choisis une robe noire mi-longue, épaules dénudées, des bas noirs et une culotte grise…Tu enfiles un long manteau gris à capuche et après avoir vérifié ton maquillage dans la glace, tu refermes la porte de ta chambre et quitte l’hôtel.

 Tu traverses le souc, il fait déjà presque nuit, les ruelles sont éclairées et fourmillent toujours autant de vie. Tu sens le regard des autochtones sur toi, tu as l’impression qu’ils percent l’opacité de ton manteau et devinent l’obscénité de ta tenue d’occidentale. Tu arrives enfin à l’adresse du rendez-vous. C’est une demeure richement décorée, à l’allure de petit palais oriental. La grille de l’entrée, magnifiquement ouvragée s’ouvre devant toi. Une jeune femme vient t’accueillir, elle porte un voile transparent sur le bas du visage, de larges culottes de soies rouges et orangées, laissant apparaître son nombril, profondément encré dans son petit ventre rond.

 «  Bonsoir, madame, vous êtes attendue, suivez moi je vous pris. »

 Maintenant, il est trop tard pour reculer penses-tu, un peu fébrile. Tu emboîtes le pas de la jeune arabe à la démarche sensuelle, vous passez une porte sculptée de motifs entrelacés qui se referme derrière vous. Ton regard se laisse bercer par la douce ondulation des hanches de ton guide. La soie est légèrement transparente et laisse deviner le profond sillon de ses jolies fesses bien rondes. Vous empruntez un couloir au plafond voûté qui longe une cour intérieure ouverte sur la nuit étoilée. Tu frissonnes, une fontaine entourée de plantes luxuriantes au centre de la cour te rappelle que ta vessie commence à te faire souffrir. Tu aimerais demander le chemin des sanitaires mais tu te rappelles avec excitation de mon challenge et décides de continuer à jouer le jeu.

 Vous arrivez à une grande porte en arcade, fermée d’un rideau de perles. Les perles tintent à votre passage. Tu te retrouves dans une grande pièce avec un toit en coupole, le sol recouvert de tapis, des colonnes de marbres plantées en cercles. De nombreux objets en cuivre et fer forgés pour la décoration et des lampes orientales plongent le cadre dans une douce ambiance chaleureuse et sensuelle. Il y a beaucoup de monde, uniquement des femmes assises en groupes sur les tapis boivent du thé en mangeant des fruits et des pâtisseries. 

 Au centre de la pièce se trouve une grande table basse, je suis au bout, assise en tailleur face à toi. Je porte une longue robe de soirée moulante avec des motifs orientaux en filigranes, elle est largement fendue sur un côté ce qui me permettent d’être assise les cuisses écartées, laissant apparaître une de mes jambes repliées. Je porte une petite chaîne à la cheville et mes cheveux sont attachés. 

«  Tu es superbe ma chérie ce soir ! Me dis-tu en te rapprochant de moi..

 -Merci, tu es ravissante toi aussi, installe toi à côté de moi ! »

 Tu t’assoies sur le tapis, les jambes repliées sur le côté. Tu me caresses la jambe de tes yeux, finement soulignés au khôl . Je prends un petit four et je fais signe à la serveuse, habillée en danseuse orientale, de te servir un grand verre de Thé à la menthe très chaud. Je sens ta nervosité, cela ne va pas arranger ton besoin de plus en plus pressent de te soulager… A peine as tu terminé ton verre que la serveuse le remplit de nouveau.

 « les garces ! elles doivent sentir mon désespoir ! songes tu »

 je bois moi aussi depuis longtemps mais ne semble pas aussi indisposée. Je tiens toujours le petit amuse gueule entre les doigts et je le plonge discrètement sous les pans de ma robe, entre mes cuisses écartées. 

 « oh !oh ! je t’ai vue ! me fais tu.

 -j’y compte bien !

 -tu es ma salope !"

 Je ferme les yeux un instant et les ré-ouvre en me plongeant dans ton regard perçant.. Tu fonds littéralement, tes cuisses serrées te font mal… Ma main surgit de sa cachette et se rapproche de ta bouche.

 « Goûtes ! »

 Tu ouvres les lèvres et saisis l’amuse bouche tout luisant entre tes dents, suçant mes doigts au passage avec délectation. Je me lèche les doigts à mon tour et t’interroge du regard.

 « Humm, c’est doux…le miel de la pâtisserie se marie merveilleusement au parfum de ta fente, c’est comme si je te mangeais ! » 

 la serveuse apporte un grand plat de couscous.

 « humm ! c’est un de mes plats préférés ! »

 Dans le grand plat se trouve la semoule, les légumes et la viandes disposées dans de petits récipients à côté. Il y a aussi un petit saladier avec des œufs durs entiers, sans la coquille.

 « je te sens bien nerveuse, Isa, serais tu un peu « pressée » ?

 -euh..oui..ma vessie…est sur le point d’explosée !

 -c’est normal, mais ce n’est pas encore le moment…reprends un peu de thé ! »

 Tu m’obéis, un peu résignée…

 « tu vas voir, ici, ils ont une spécialité pour que la semoule reste bien onctueuse et ne sois pas trop…sèche.. - comment ? »

 Je fais signe à une danseuse du ventre qui ondule à quelques mètres de nous. Elle arrive face à toi, de l’autre côté de la table basse. Elle monte dessus, tu es captivée par ses ondulations. Égrainant au passage les différents voiles qui constituent sa maigre tenue de scène elle se retrouve presque nue devant toi. Seules quelques parures et colliers, tatouages au henné subsistent sur sa peau brune et veloutée. Son pubis est entièrement épilé, joliment décoré de symboles dessinés au henné. Tu frissonnes d’envie devant sa peau gorgée de soleil. Tout en poursuivant sa danse lascive, elle se place, toujours face à toi, au dessus du plat de semoule, les jambes écartées. Tu sers davantage tes cuisses, tenant difficilement en place. Elle s’accroupie langoureusement tout en poursuivant ses mouvements de bassin. 

Tu écarquilles tes jolis yeux, « elle ne va tout de même pas oser ? »

.La fumée qui s’élève du plat vient lui caresser les lèvres de sa chatte lisse et brune. La musique se fait de plus en plus envoûtante , tu esquisses un mouvement de la main vers elle. Je te regarde et te fais signe de ne pas bouger ! ta main change alors sa direction pour se glisser entre tes cuisses. Tu comprends à mon regard réprobateur que je veux te faire languir. Tu t’immobilises. La danseuse, le visage voilé, est toute à sa danse, comme en transe, mais ses mouvements se font plus précis, plus lents et mesurés. Elle s’immobilise un instant, son entre jambes suspendu à quelques centimètres des grains de semoule fumants. Elle a autour de ses hanches, une ceintures de perles assez fine sur laquelle sont fixés de petites chaînes descendant vers son sexe. A l’extrémité de ses deux chaînettes dorées deux petits anneaux fichés dans ses lèvres intimes les maintiennent bien ouvertes. Tu passes ta langue sur tes lèvres. Tu as la chair de poule ! Son sexe ainsi exposé aux regards , tu distingues nettement le minuscule orifice de son urètre se dilater pour laisser échapper un mince filet doré qui arrose délicatement la pyramide de semoule. 

 « Ouiiiiiiiiiii ! » laisses tu échapper. 

Le parfum de son nectar se marie avec les odeurs savoureuses du repas. Elle reprend son mouvement de bassin, doucement. L’urine coule en une trajectoire circulaire, comme on verserait une sauce sur le plat 

 « Je veux goûter !!

  -très bien, je t’autorise à l’essuyer de ta bouche quand elle aura terminé. 

 -merci, Lucie ! »

 le flux se tarit rapidement et elle se rapproche de toi. Son sexe, encore tout trempé, est au dessus de ton visage. Ton nez se tend vers ses lèvres fripées et chaudes, ta langue dardée vers sa liqueur de femme. Quelques gouttes dorées perlent encore de sa chatte, tu n’en perd aucune, poursuivant ta quête avec avidité dans les replis de ses chairs. Je ne rate rien du spectacle… 

 « tu ne trouves pas que ces beautés orientales ont une saveur et un parfum inimitable ?

 -Oohh sii ! me réponds tu en lapant son puit d’amour. »

 Je me penche vers toi et glisse une main sous tes fesses.

  « Oouiiiiiiiiiii ! »

 Je sens l’humidité de ta culotte, elle est trempée à tordre ! Je porte ma main à mon visage, la sens et la lèche :

 « attention ! Je crois que tu as commencé  à t’oublier un peu ma cochonne ! Dois je te rappeler que c’est moi qui décide pour ta vessie, ma grande !

 -pardon, Lucie..

 -reprends une tasse de thé pour te faire pardonner !

 -encore ? Mais, je vais éclater ! 

 -pas tout de suite !

 -bien , Lucie me réponds tu en buvant un peu péniblement ton thé. »

 La danseuse, son sexe scrupuleusement nettoyé par tes soins, redescend de la table et reprend sa danse un peu plus loin. La serveuse brasse la semoule et fait le service. Visiblement tu te régales de ce met raffiné et original. 

« alors, que penses tu de ce couscous ?

 -Mmmmhhh…vraiment délicieux, ma belle ! 

-je trouve aussi…maintenant, déshabille toi !

 -là ? maintenant ? tu veux que j’ôte tout ?

 -allons, dépêche toi !!

 -bien, j’obéis… »

Timidement, tu regardes autour de toi, gênée, scrutant les regards des autres convives 

«j’attends...

 -je le fais…mais pour toi seule… »

 Tu remontes ta robe, descends lentement ta culotte le long de tes jambes. Tu as toujours tes escarpins et tu fais glisser l’étoffe par dessus .

 « donne la moi ! »

 Tu me la tends, baissant les yeux. Je suis toujours assise en tailleur, je remonte ma robe, dégageant mes cuisses . Tu vois que je ne porte aucun sous vêtement et ma vulve glabre et humide te provoque : 

« continue à te déshabiller ! »

Je respire ta culotte, enivrée par son odeur. Tu laisses maintenant tomber ta robe à tes pieds.  

«  c’est une culotte de cochonne, ça ! » 

Tu baisses un peu plus les yeux, honteuse… tu es debout au milieu d’une salle de restaurant pleine de convives, presque nue…il ne te reste que ton soutiens gorge que tu dégrafes lentement, faisant coulisser les bretelles le long de tes bras. Te voici comme au premier jour. Je lèche un peu ta culotte et la place entre mes cuisses écartées, juste devant ma chatte. Je laisse échapper quelques jets dorés sur la précieuse étoffe déjà souillée.

 « Mets toi à quatre pattes et approche !

 -oui, Lucie…»

 Tu t’exécutes et te rapproche en ondulant. 

«Cambre bien ton cul, mieux que ça !

 -Mais tout le monde regarde ! voilà, comme ça ?

 -Oui, tu as une certaine classe comme ça ! » 

 En te rapprochant tu observes entre mes cuisses et aperçois une cordelette avec un anneau à son extrémité qui sort de mon anus. Tu devines qu’il s’agit de boules de geisha.

 « Lève la tête et ouvre ta bouche en grand ! 

-oui, j’obéis, maîtresse ! »

 Je prends ta culotte trempée, elle pèse son poids ainsi lestée ! elle goutte partout…Je me place au dessus de ton visage tendu vers moi et je l’essore dans ta bouche. 

 « oh ouiiiiiii,merci maîtresssllllllll 

-avale ! »

 Tu déglutis, non sans un plaisir évident et tu ouvres de nouveau la bouche, je te fourre le bout de tissus dedans sans ménagement. 

 « que chest bon d’être à toaachhh, mâchonnes tu . -reste à quatre pattes et présente moi ton postérieur ! »

  Tu me tends ton cul au maximum, comme pour me dire : « mes fesses te sont offertes ! »

 Elles sont belles, si blanches en comparaison de ton bronzage, mettant encore plus en valeur le profond ravin qui les sépare….je les prends à pleine main et je les écarte. Ton petit trou palpite et ta chatte salive de désir… Autour de nous, tu vois les femmes te regarder, à quatre pattes et le cul dressé vers moi, une culotte souillée de pisse dans ta bouche. Tu pourrais en apercevoir certaines commencer à se caresser, mais tu es toute à ton plaisir, cette humiliation publique révèle en toi une vague d’excitation intense et tu mâchouilles, tu aspires ,devinant leur propre émotion…. 

 Je me penche vers tes fesses et je crache en haut du sillon qui creuse ta vallée intime. Je regarde ma salive visqueuse glisser doucement le long de ta raie. Je crache plusieurs fois, tu es recouverte de salive. De mes doigts j’effleure ta fente aux lèvres trempées, te voici parcourue d’un puissant frisson . Je fais signe à une serveuse de nous rejoindre. C’est une petite brune aux cheveux frisés, assez typée. Elle retire sa robe, sa peau est brune et soyeuse, ses seins assez petits mais fermes aux auréoles très prononcées elle a une ceinture de perles sur les hanches. Elle se place à califourchon par dessus ta croupe. Je maintiens toujours tes fesses bien écartées et ma langue s’aventure sur le chemin poisseux de ma salive pour arriver à ton anus. Il cède très rapidement à sa pression experte et tu sens ma langue se lover en toi avec vice. Il s’ouvre encore et je me sens comme aspirée dans tes entrailles . j’aime tant le goût de ton cul… 

 Soudain, tu sens un liquide chaud couler dans le creux de tes reins, débordant vite sur les côtés, se frayant un passage jusque dans ton cou, tes cheveux …la serveuse pisse sur ton dos comme un torrent déchaîné, tu gémis d’aise et de plaisir, m’écrasant tes fesses sur le visage. Elle dirige maintenant son jet intarissable vers le haut de ta croupe et le torrent doré se déverse en cascade entre tes lobes ouverts, m’aspergeant le visage et les cheveux. Je ferme les yeux en continuant mon ouvrage , forant de ma langue ton puits le plus étroit. Puis, je retire ma langue, ouvre ma bouche pour récolter cette pluie odorante avant qu’elle ne s’achève . ma bouche pleine, je te fais signe de te retourner, tu obéis, mais ta vessie torturée rend tes mouvements de plus en plus inconfortables. Tu me regardes implorante, je te retire le chiffon souillé qui fut ta culotte , laissant ta bouche ouverte quémandant son offrande…  

« aaaaaaaaaahhhhhh…. »

 Je crache l’urine contenue de ma bouche à la tienne , tu savoures ce don avec délectation. Je craque et sors un instant de mon rôle de dominatrice. Je t’embrasse à pleine bouche, notre baiser se fait tendre et passionné . C’est maintenant la serveuse qui se charge de ton cul, le léchant avec application pour le nettoyer un peu de la pisse. 

 « maîtresse, puis je te demander une faveur, laisse moi faire mon petit pipi, juste un peu pour me soulager…

  -Bientôt, patiente encore un peu, dis-je en t’embrassant sur le front. »

 La langue souple de la jeune femme, experte et fine se glisse presque entièrement dans ton rectum. Aussi agile qu’un petit animal, elle s’agite en toi , tu fermes les yeux et gémis…

 « j’aime tant être enculée…

  -Tu vas être servie, crois moi, ma chérie, te dis-je en te caressant les cheveux . »

 Deux doigts remplacent à présent la langue, puis un troisième…

 « j’adore, Lucie ! Je suis une véritable chienne en chaleur pour toi ce soir ! »

   Les doigts se retirent, laissant en place de ton petit orifice un gouffre béant et humide. Soudain, un liquide froid et épais fait intrusion dans ton conduis dilaté. Il s’écoule doucement et profondément en toi. La serveuse déverse le contenu d’une jarre remplie d’une crème dessert blanche, parfumée à l’anis dans ton cul ouvert. Une autre serveuse arrive avec un plateau garni d’objets sexuels plus ou moins volumineux et biscornus. Elle pose le plateau sur la table et saisit un gode ceinture de bonne taille, noir comme l’ébène, très nervuré. Elle prend la place de la première serveuse et commence à frotter le gland factice autour de ton anus qui s’ouvre encore davantage laissant échapper la crème qui déborde. L’autre te présente ses doigts pour que tu les nettoies. Tu les prends dans ta bouche et les sucent avidement. Le gode se fraye un chemin entre tes chairs, la crème dégouline de ton cul comme si c’était une quantité phénoménale de sperme. Ton impatience et ton excitation sont telles que tu t’empales délibérément en donnant un grand coup de reins. Tu cries, de douleur et de plaisir et tu laisses échapper malgré toi un puissant jet d’urine qui vient éclabousser les coussins de la tablée voisine! Tu t’arrêtes brusquement et me regarde honteuse… 

« pardon, maîtresse, je n’ai pas pu résister ! 

 -Et bien, pour te faire pardonner tu vas devoir t’excuser au près de la femme que tu as malencontreusement arrosée.

 -ouioo..ouii, maîtresse ! Réponds-tu au rythme des coups de boutoir qui te pilonnent les reins. »

 La jeune femme, une européenne, vraisemblablement la trentaine, corpulence moyenne, très élégante avec de longs cheveux roux frisés se lève de table et nous rejoint. Sa belle robe verte pale est tachée de marques plus sombres, ton tir ne l’a pas loupé !

 « mahh madame, queee..puis-je faire pour me faire,,hunnn ! pardonner ? Huuunnn ! 

- Il y aurait bien une chose…mais , je ne sais pas…après tout ! J’ai grand besoin de me soulager moi aussi, et me rendre aux sanitaires me priverait à coup sûr d’une partie du spectacle !

 -Tu as entendu ? ouvre la bouche et n’en perd pas une seule goutte ! »

 Tu ouvres toute grande ta bouche en redressant ta tête au maximum, tel un oisillon affamé. La rousse relève sa robe, et fais descendre sa culotte de soie, dévoilant son pubis fourni d’une toison aussi incendiaire que sa crinière. Elle se rapproche de toi, jambes légèrement fléchies et cuisses écartées en ouvrant ses lèvres rose foncé à quelques centimètres de ta bouche. Son urine très colorée et odorante commence à te remplir . Elle essaie de contrôler le flux en marquant des poses afin d’être sûre que tu puisses tout avaler mais la tache n’est pas rendue aisée par les assauts répétés de celle qui te sodomise.  

  Tu reçois quelques gouttes sur le front, même dans tes yeux que tu fermes pour te concentrer , néanmoins tu parviens à en boire un maximum. Son goût est très fort, amer et salé mais tu le dégustes comme un grand cru. La source finit par se tarir et elle te frotte son sexe sur le visage pour l’essuyer. Tu la lèches , suçant chaque perles encore accrochées à ses poils ou à ses lèvres. 

 Une autre serveuse arrive avec le dessert, quelques pâtisseries orientales. Je te prépare une assiette. La femme te flatte comme on le ferait avec une chienne et retourne à sa place. Les coups de boutoir continuent leur ouvrage dans ton cul , provoquant un séisme qui irradie tout ton corps jusqu'à la racine de tes cheveux. je place ton assiette entre tes cuisses et un pichet contre ton sexe. 

 « Tu peux te soulager maintenant! » 

Tu ne te fais pas prier et un flot d'urine jaillit de ton sexe pour s'écraser en cascade dans le fond du pichet qui se remplit rapidement. Tu jouis à ce moment précis, la serveuse poursuit ses vas et viens en les accélérant même pour prolonger ton plaisir. Le pichet ne suffit pas , je le remplace par mon verre qui se remplit lui aussi rapidement et déborde à son tour. Tu trembles sur tes jambes et une flaque se forme sur le tapis en dessous . Le rythme ralenti et elle fini par s’immobiliser .

 «  Elle va s’extraire de ton cul mais débrouille toi pour garder le maximum de crème à l’intérieur!

 - Oui, maitresse, je ferais de mon mieux mais je ne sais pas si j’y arriverai...»

 Lentement , le gode se retire, accompagné de crème un peu moins blanche et plus liquide qu’à l’origine. Tu sers les fesses comme tu peux et parviens à ne pas tout projeter de manière explosive derrière toi.

 « Tu peux t’accroupir et te vider dans ton assiette! .»

 Tu rougis mais t’exécutes et tu commences à pousser . La crème sort en saccades et recouvre vite les friandises . Quelques gaz te font rougir davantage . La serveuse te présente le gode qui a ramoné tes reins quelques instants au par avant et tu le nettoies avec application avec ta bouche. Je te sers un verre de ton urine, le mien est déjà rempli et je te propose de trinquer à nous. Les yeux dans les yeux, nous savourons ton nectar comme le meilleur des millésimes. 

  Puis je te propose de passer au dessert, moi toujours en tailleur et toi à quatre pattes, cul dressé et tête dans ton assiette recouverte de crème. Je passe une main entre tes fesses, récupère la crème qui a coulé de ton anus , glissant deux doigts à l’intérieur puis je la porte à mes lèvres , la lèche et me sucent les doigts en te regardant manger, le visage recouvert de crème. Je me caresse en profitant du spectacle et en savourant les petits gâteaux. Puis nous nous embrassons , toi la bouche encore pleine . Puis je prends le reste de gâteaux et crème dans ton assiette et me tartine le sexe avec , en prenant bien soin de me fourrer l’intérieur du vagin avec. 

“Viens finir ton dessert entre mes cuisses et fais moi jouir!”

 Le cul toujours dressé , tu avances jusqu’à ma fente garnie et je sens ta langue commencer son ouvrage. J’empoigne tes cheveux et presse ta tête contre mon intimité. Ta langue lape la crème , fouille mes chairs , aspire mes sucs mélangés aux restes de ton dessert. Je mouille abondamment , le plaisir monte en moi partant du bas ventre, s’infiltrant le long de ma colonne vertébrale jusqu’à mon cerveau en ébullition. D’une main tu joues avec les boules de geisha lovées dans mon rectum et ton habileté me fait exploser d’un orgasme puissant en quelques minutes.

  Je jouis et libère ma vessie sur ton visage. Après la surprise de la première explosion , tu colles vite ta bouche à ma chatte pour avaler le maximum de mon nectar doré. Puis tu saisis entre tes dents la cordelette qui sort de mon anus et commence à tirer. Ma rosette s’ouvre comme une fleur au printemps et la première boule fait son apparition. Je l’expulse en poussant un cri de plaisir et elle termine dans ta bouche toujours aussi affamée. Tu tires encore et la seconde étire à nouveau mes chairs pour venir rejoindre sa complice dans l’alcôve humide et chaud de ton palais. Tu les nettoies bien puis les recraches et ta langue prends la place qu’elles occupaient au sein de mes entrailles. 

 Le plaisir gonfle comme une seconde vague, je me caresse le clito et j’explose rapidement en un nouvel orgasme prodigieux. Puis tu viens te lover dans mes bras, nous nous enlaçons et nos lèvres se scellent en un baiser aussi tendre que sauvage.

 Le reste de la soirée s’écoulent en profitant du spectacle érotique que nous offres les danseuses orientales , accompagnée de nombreux autres orgasmes mutuels.

  Mais l’heure de rejoindre notre hôtel finit par sonner , ton mari doit t’attendre et même si il connait et tolère tes escapades saphiques il ne faut pas non plus que nous abusions de sa générosité et je t’embrasse une dernière fois en te complimentant sur tes parfaites aptitudes à la soumission. Tu me remercies de cette soirée des plus exotique et inattendue et me promets de me surprendre à mon tour la prochaine fois.

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