Première nuit avec Gaëlle
Je suis arrivée vendredi soir à Montparnasse, Gaëlle m'attendait sur le quai, on s'est reconnue tout de suite, je l'ai trouvé encore plus désirable que sur les photos!
J'étais en jupe écossaise, collant, culotte blanche, sous-tifs dentelle discret, bottines noires, pull moulant ras du coup avec motif en découpe sur le décolleté, petit foulard et mon manteau col fausse fourrure. mon sac de voyage avec quelques affaires de change, ma trousse de toilette et mes joujoux (sur sa demande) .
Elle, jupe cuir à frange noire, leggings bleu avec motifs dentelles en bande sur le côté, laissant visible la peau, bottines fines à talons, noires également, petit blouson cuir, haut moulant bleu pas de sous-tifs.
Je ne savais pas trop comment lui dire bonjour, je lui tends la joue pour faire la bise, mais elle me fait un smack me disant qu'après tout ce que nous nous étions dit au tel et sur le net on n’allait pas faire de chichi.
On prend le métro et elle m'emmène dans un bar branché dans le 11ème ; on boit une bière. on rigole, on parle fringue et diverses choses puis elle me fixe dans les yeux et me fais signe de regarder plus bas, elle écarte les cuisses, remonte un peu sa jupe , juste assez pour que je vois que le haut de son leggings est ouvert à l'entre jambe. elle ne porte pas de culotte, pour l'instant je n'en vois pas plus. je commence à sentir la chaleur envahir mes joues et mon ventre.
Elle me dit que nous allons passer chez elle juste le temps de déposer mon sac et qu'elle m'emmène manger japonais. on sort du bar, elle me propose d'aller jusqu'à chez elle à pied.
Nous sommes passées par la place des Vosges, peu de monde près de la fontaine. il faisait nuit et je n'avais pas très chaud, ( il faisait beaucoup plus frais que sur Angoulême)mais elle m'a proposé de nous asseoir quelques instants sur un des bancs j'ai accepté. je remarque tout de suite qu'elle a dégagé sa jupe de manière à ne pas s'asseoir dessus
Elle me parle de son travail, (elle bosse dans le design artistique) et soudain j'entends un bruit que je reconnais entre tous!
La cochonne pissait sur le banc à côté de moi.
Un peu plus loin, un couple de jeunes s'embrassait sur un banc.
Je jette un oeil sous le banc, une flaque s'agrandissait au fur et à mesure qu'elle se laissait aller.
je me sentais plus que troublée et mon ventre bouillait.
Discrètement elle passe sa main sous sa jupe
Puis elle me mets ses doigts mouillés sous le nez
Mon coeur bat à la chamade
je sens ma culotte se mouiller.
Je hume son odeur et rapidement lèche ses doigts.
Elle me sourit avec un air pervers et se lève soudainement en me disant:
"Bon fait vraiment frisquet, on y va, nous ne sommes plus très loin de chez moi!"
Je me lève à mon tour, non sans regarder là où elle était assise sur le banc, le bois était mouillé et quelques gouttes tombaient encore sur le sol en dessous.
Nous passons devant le couple.
Elle me fait remarquer que le mec nous a matées malgré sa copine.
Je n'avais même pas fait attention tellement j'étais troublée.
On arrive devant chez elle. A peine la porte d'entrée de l'immeuble passée elle se jette dans mes bras et m'embrasse goulûment! je passe mes mains sur ses hanches puis sous sa jupe
L’intérieur de son leggings est humide, malgré l'ouverture, l'urine a du couler un peu le long de ses jambes.
Je n'en peux plus d'excitation mais elle m'arrête rapidement. ''Dépêchons nous, on pose ton sac et on file au Japonais, j'ai réservé pour 21h"
je la suis dans les escaliers
Elle habite au 4ème étage. C'est une vieille maison parisienne .Il y a un ascenseur mais elle me dit qu'il est en panne.
Je regarde ses fesses en montant les escaliers
Je fixe aussi sur ses jambes les coulures plus sombres sur son leggings.
Je crève d'envie de lui remonter la jupe sur les reins pour embrasser ses fesses et lécher ses trésors humides. Malheureusement, elle ne m'en laisse pas l'occasion, elle ouvre vite sa porte et me fait entrer.
Son appart est vraiment petit, Paris oblige, mais décoré avec goût et féminité.
So lit est adossé sur sa longueur au mur, elle a disposé de nombreux coussins de diverses tailles dessus, il lui sert également de canapé.
Sol en lino, bureau en face du lit, ordi portable, bibliothèque avec pas mal de livres sur le design, l'art. Pas mal de cd de musique, quelques photos de famille. Des plantes.
Un miroir assez grand sur le mur, en face du lit.
Un petit débarra où elle range ses vêtements, ses chaussures.
La cuisine est toute petite, en ouverture sur la pièce principale.
Salle de bain pas très grande non plus; baignoire / douche. Encore du lino sur le sol. Juste le temps de poser mon sac et elle est déjà à la porte en m'enjoignant à la suivre. Un peu frustrée, je prends mon sac à main et je sors sur le palier. Elle ferme sa porte et se retourne pour m'embrasser sur les lèvres, elle me dit " impatiente? T’inquiètes, on a tout le weekend pour nous et la soirée ne fait que commencer!" Elle me propose une sucette, je refuse poliment, je préfèrerais d'autres saveurs et gourmandises. Elle gobe la sucette ronde et nous redescendons les escaliers. avant de sortir sur la rue, elle me jette un regard très suggestif et sort la sucette de sa bouche. Debout devant moi, elle remonte sa jupe, jambes écartées elle me donne la sucette et me dit de la lui introduire dans la chatte. Je souris et m'accroupis devant elle. Je constate à cette occasion que sous sa fente humide et entre ouverte, un joli petit bijou orne son petit trou ! Je suce un peu la sucette à mon tour elle écarte les lèvres de sa chatte. Je sors la sucette de ma bouche et pose un baiser sur sa minette poisseuse et parfumée. Elle a le goût salé de son urine et la saveur de sa mouille. Je fais glisser la sucette entre ses lèvres quelques instants et elle pénètre facilement dans son vagin. Seul le petit bâton de plastique sort de sa chatte elle me remercie et redescend sa jupe. on reprend le métro pour aller dans le 5ème là il y avait pas mal de monde dans les rues, il y a pas mal de restau entre la seine , le boulevard st Michel et St Germain. Dans une petite rue, elle me conduit dans un restau japonais on a bu du thé au jasmin toute la soirée.
mangé des sushis, poisson cru et riz à l’apéritif, en attendant les plats , elle a récupéré la sucette et me la donnée pour que je la savoure Je ne pensais qu'à une chose, me jeter sur elle, ou qu'elle le fasse elle même. Mais elle restait calme et contrôlait semble t il parfaitement la situation quelques morceaux de nos sushis ont suivis le même chemin que la sucette.. je me sentais frustrée avec mon collant, impossible de lui rendre la pareille discrètement, elle le savait mais je pense que ça l'amusait; c'est elle qui m'avait demandé de mettre un collant et pas des bas.... je crevais d'envie de me rendre aux toilettes et de déchirer mon collant à l'entre jambe. Elle me l'a interdit.... ni l'une ni l'autre n'avait le droit d'aller se soulager la vessie. elle jouait à faire monter mon excitation tout au long du voyage en train, j'avais préparé ma culotte blanche en laissant échapper quelques petits jets,,, pas trop forts, juste histoire de sentir ma culotte mouillée et l'urine me picoter les lèvres de ma chatte. J’étais impatiente de lui montrer le résultat. Après le repas, on a marché un peu le long de la seine, jusqu'à Notre Dame là elle m'a demandé de faire pipi dans ma culotte nous regardions la façade ouvragée je suis restée debout, jambes un peu écartées elle c assise pas très loin, en face de moi de manière à ne rien louper du spectacle il n'y avait plus grand monde j'avais tout de même un peu peur d'être découverte... Me suis tout de même lancée, impossible de me dégonflée devant elle qui s'était soulagée un peu plus tôt sur le banc, place des Vosges. J’ai senti mon méat s'ouvrir et le flot d'urine se frayer un chemin entre les lèvres de ma chatte, le tissus de la culotte .Mais le collant faisait barrage lui aussi alors mon petit ruisseau doré s'échappa d'abord par les côtés coulant en minces filets le long de mes cuisses sous le collant qui ne résista pas longtemps. Mon pipi traversa assez vite le carcan de tissus pour venir se répandre en cascade sur le sol en dessous de moi, m’éclaboussant les mollets et mes bottines elle me dit soudain : " stop! Ça suffit, gardes en pour plus tard!" Avec tout ce que nous avions bu, pas trop de risque pour la pénurie j'ai eu les plus grandes difficultés à m'arrêter tellement ma vessie me faisait mal. Elle me rejoint et m'embrasse à pleine bouche passant une main entre mes cuisses elle remonte sous la jupe, caressant ma chatte à travers le tissu détrempé et dégoulinant. quelques mecs nous apostrophent, ils sont assez loin , je ne suis pas sûre qu'ils aient vraiment pu voir quelque chose mais on s’éclipse rapidement histoire de ne pas les provoquer de trop. On court comme des folles. Gaëlle arrête un taxi et nous nous engouffrons à l'intérieur mes fesses sont toutes trempées et même si le tissus de ma jupe est épais, je suis sûre que la banquette gardera un souvenir de mon passage. On n’avait pas long de trajet jusqu'à chez elle. Au départ, on avait prévu d'aller danser. Mais je crois qu'elle ne tenait plus elle non plus et s'impatientait autant que moi de se
retrouver seules toutes les deux. Elle paye le taxi et nous montons en courant les escaliers jusqu'à son appart. A peine le seuil franchit, elle se jette à mes pieds, relève ma jupe et blottit sa jolie tête entre mes cuisses elle lèche le collant trempé, le suce au niveau de la culotte, là où le liquide est resté un peu prisonnier. Je tremble de plaisir, mes jambes ont du mal à me tenir Je l'aide à descendre mon collant et ma culotte. Je me laisse tomber doucement avec elle sur le lino on s'embrasse à pleine bouche en s'enlaçant, cherchant à se déshabiller mutuellement. On envoie bouler les vêtements au fur et à mesure à travers la pièce elle me retourne sur le sole et me dévore les fesses avec frénésie. je sens sa langue parcourir mon sillon, descendant entre les lèvres poisseuses de ma chatte et remonter jusqu'à mon petit trou tout humide de pipi. Elle me le lèche comme une folle, je gémis, je crie elle me pénètre de sa langue, elle est déchainée elle me doigte la chatte en même temps. Je jouis! Elle vient m'embrasser. Je lui montre que je veux à mon tour m'occuper d'elle elle me dit d'attendre un peu. Qu’elle a un dessert pour moi. Lors de l'une de nos conversations je lui ai parlé de ma recette de salade de fruits au champagne intime. elle sort un saladier de son frigo elle a préparé une grande salade; avec des fruits frais, pommes , bananes raisins, quelques morceaux d'ananas en boîte etc.. Elle pose le saladier sur la table basse devant le lit elle se place au dessus, jambes bien écartées de part et d'autre du saladier elle écarte les lèvres de sa minette je suis juste à côté, je peux bien voir le petit trou de son méat urinaire s'ouvrir. Le jet ne se fait pas attendre, doré à souhait, parfumé et violent. Il se déverse comme un torrent dans le saladier Il se calme un peu et je viens récupérer les dernières gouttes directement sur sa chatte dégoulinante.je la nettoie un peu, elle gémit. Elle prend une louche et commence le service dans de petits bols. Nous nous asseyons par terre jambes entremêlées, face à face et nous donnons à manger mutuellement, partageant par moment des baisers avides. la suite se passe sur le lit, à se pisser dessus, trempant les draps, nous roulant dedans amoureusement. Je bois à sa source, elle en fait de même entre mes cuisses. Son petit bijou anal m'attire et je le lèche, glissant ma langue autour. Je le prends entre mes dents et joue avec. Elle gémit de plus en plus, je le retire avec ma bouche, il ne semble pas souillé et je le suce. je lèche ensuite son petit trou libéré et ma langue remplace le bijou dans ses entrailles. La première partie de la nuit nous nous contentons de nos langues, doigts et saveurs intimes pour se faire jouir.
Vers deux heures du matin vendredi soir j'ai voulu prendre une petite douche, elle m'a suppliée de m'abstenir, elle voulait qu'on s'endorme enlacées et parfumées de nos sécrétions intimes, dans les draps trempés.
Je suis revenue dans le lit, me suis blottie contre elle, je commençais à avoir froid, les draps mouillés avaient commencé à refroidir, elle s'est relevée pour attrapée sa couette, qui n'avait pas subit nos arrosages.
Nous nous sommes embrassées pendant de nombreuses minutes , mon ventre recommença rapidement à bouillir et à se liquéfier. elle m'a caressée doucement le clito jusqu'à ce que je jouisse et nous nous sommes endormie collées l'une à l'autre.
C'est le doux contact de sa langue entre mes fesses qui m'a sortie agréablement de mon sommeil, vers 6 ou 7h du matin ...
je l'ai laissé faire un moment, contentant de gémir et m'étirer lascivement comme une chatte. Ma chatte était déjà trempée et ma vessie pleine du pipi du matin.
Je l'ai prévenue de mon envie pressante, elle a redoublé de coups de langues entre les lèvres de ma minette, insistant sur mon urètre. elle enfonça son index dans mes fesses, j'ai laissé échappé un petit cri de plaisir et lâché les vannes!
Elle m'a bu la bouche collée à ma chatte, ça coulait un peu sous mes fesses. Son doigt s'activait dans mon petit trou et redoublait mon plaisir de l'abreuver ainsi. Elle m'a léché et sucé le clito jusqu'à ce que j'explose en un puissant orgasme.
Le temps de reprendre mes esprits et je lui dis que c'est à mon tour de m'occuper d'elle.
Elle me sourit, m'embrasse sur la bouche , le goût de mon urine et ma mouille sur les lèvres.
Elle monte sur le lit, s'accroupit au dessus de mon visage et écarte les lèvres de sa chatte.
Sa chatte sent fort, mais elle m'attire comme un aimant. Elle me fait signe de ne pas la toucher, d'ouvrir juste la bouche en grand.
Je fixe sa chatte et le petit trou de son urètre qui s'ouvre.
Son jet tombe tout droit au fond de ma gorge. Le goût est fort , beaucoup plus prononcé que la veille ( nous avions beaucoup bu de thé et d'eau ) . Je laisse son urine remplir ma bouche et j'avale goulûment son nectar.
Elle a du mal à contrôler sa miction (elle a du se retenir depuis son réveil) et ça coule sur mon visage sur l'oreiller et mes cheveux.
Je la laisse pisser sur ma gorge et mes seins, attrape ses fesses à pleines mains et colle ma bouche sur ses fesses
Je la lèche; passe ma langue sur son anus, le titille, le pénètre, frotte mon visage contre sa chatte qui coulait toujours. J'aspire les dernières gorgées de son pipi doré et odorant.
J’enfonce ma langue dans son vagin, je suis déchaînée, super excitée.
Après quelques minutes ou je la dévore avec avidité elle crie sa jouissance et ses cuisses tremblent, elle se couche sur moi, je la serre dans mes bras, embrassant l'intérieur de ses cuisses et sa chatte.
Après plusieurs minutes sans se parler, nous nous endormons.
Nous nous sommes levées vers 9h15 , J'avais très faim .
Elle se lève, enfile un leggings, un gros pull et un manteau, elle me dit qu'elle revient tout de suite.
Je profite d'être seule pour aller aux toilettes (pas très glamour mais faut bien tout évacuer). Je nettoie bien mes fesses mais évite de trop nettoyer ma chatte.
Je prépare l'eau dans la bouilloire pour nous faire un thé.
Elle revient au bout de 10mn avec des croissants, quelques chouquettes et une baguette.
Je lui demande si les gens se sont rendu compte de l'odeur de pipi et de sexe qui se dégageait d’elle.
Elle a explosé de rire et m'a dit que lorsque la boulangère la servait, une vieille femme est entrée avec son petit chienchien à sa mémère.
Il n'arrêtait pas de venir sentir ses jambes; la dame a dit : '' allons ! As tu fini d'embêter la demoiselle '' mais elle a fait une drôle de tête en se penchant pour prendre la saucisse sur pattes dans ses bras.
On explose de rire toutes les deux, elle se débarrasse de ses vêtements et on s'installe sur la table basse, nues toutes les deux, face à face pour boire notre thé et manger les viennoiseries.
A un moment, elle prend un croissant et fait mine de se branler avec, faisant pénétrer une extrémité dans sa chatte.
Elle me le tend pour que je le croque.
A mon tour de lui assaisonner nos petites douceurs
Je sens que ma vessie a eu le temps de se remplir à nouveau, pas énormément, mais suffisamment.
Je lui prends le reste de croissant, le frotte sur ma chatte
Et laisse couler quelques gouttes d'urine dessus.
Elle s'en régale et le reste du petit déjeuner finit en 69 sur le lit.
Tous mes remerciements les plus chauds à Mia pour son autorisation à utiliser ses délicieuses photos en illustrations de mes récits.
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