Promenade en forêt avec Maud,



La journée est ensoleillée et en ce mois d’août 2013, la chaleur se fait étouffante, je te propose une balade au bord de l’eau ou en forêt. Tu me parles d’un endroit très agréable et pas trop loin de la ville, une charmante forêt ou nous devrions être tranquilles.
Nous enfilons chacune une petite robe estivale légère, je porte une petite culotte blanche et toi rien sous la tienne. Je fixe à tes poignets et chevilles des bracelets en tissus sur lesquels sont fixés des anneaux et tu portes ton collier de soumise. Je prépare un petit sac à dos avec quelques accessoires et je te demande d’aller chercher ton écuelle, celle avec ton nom inscrit en gros dessus. Tu me l’apportes à quatre pattes ; entre tes dents et me la tend. Elle sent encore la pisse. Je la glisse dans le sac et nous sommes prêtes.
Tu nous conduis avec ta voiture à l’entrée de la forêt. Nous sommes en semaine, la première quinzaine d’août, avec les départs en vacances, nous ne devrions pas croiser grand monde.
Nous marchons un moment, tout en buvant du thé au jasmin glacé. Je te fais signe de t’arrêter et te déshabiller. Te voici nue, je range ta robe dans le sac, te fixe la laisse et te montre deux paires de pinces. Je te connais, je sais qu’un frisson de plaisir et d’appréhension remonte le long de ta colonne vertébrale. Je place la première paire sur tes mamelons, délicatement, mais je vois à ta grimace que la morsure est assez vive. Pour les lèvres de ta minette, les mâchoires des pinces se font plus cruelles encore et tu laisses échapper un râle …. Puis, nous poursuivons notre balade. Tu commences à te dandiner, il y a les accessoires qui martyrisent et étirent tes chairs intime et je sens que tu as très envie de pisser, probablement depuis avant notre départ de la maison, mais tu n’as rien dit, je ne t’avais pas proposé de te soulager avant de prendre la route et tu ne voulais pour rien au monde contrarier ta maîtresse. C’est aussi pourquoi tu as bu tout le thé que je te proposais, augmentant inexorablement la pression sur ta vessie meurtrie. De mon côté aussi les vertus diurétiques de notre breuvage ne tardent pas à titiller mon bas ventre. Je décide de lâcher un peu la pression en marchant et je pisse dans ma culotte. Je sens le liquide chaud inonder la petite étoffe de tissus qui cède rapidement et laisse échapper des petits filets odorants le long de mes cuisses. J’adore cette sensation…
Je décide que l’endroit est très agréable, il y a un petit cours d’eau avec de petites cascades sur les rochers et ce qu’il faut de rayons de soleil pour nous réchauffer.
« Baisse ma culotte, elle est trempée et je risque d’attraper un rhume de chatounette !
- Tout de suite ma Lucie chérie, elle sent si bon , mmmmhh
- Son parfum te plaît ? alors mets la dans ta bouche et mastique la.
- Très bien Maîtresse, mmmmhhh chhcchhmm MMerchiii Maîtressshhh »
Je te demande de te pencher en avant, mains sur les pieds. Je fixe un gros mousqueton à chacune de tes chevilles et je les relie à tes poignets.
Te voici dans une position plutôt inconfortable..
« Sors mieux les fesses que ça !!! Allons !
_MMMouiichh maîtressshhhh. » Tu tends ton cul, jambes plus droites et buste tombant vers l’avant, entièrement pliée en deux.
Je malaxe tes fesses, les écarte, crache sur ton sillon culier, enfonce sans ménagement un doigt dans ton anus profondément, je te fouille. J’enfonce un second doigt puis un troisième, crachant de nouveau pour lubrifier ton rectum.
Je claque une première fois tes fesses, puis une seconde, bientôt le rythme s’accélère, je joue de la batterie sur ton cul. Ton postérieur à la carnation d’ordinaire si pâle se met à rosir, puis la teinte s’intensifie et vire au rouge.
Quelques gouttes de cyprine m’éclaboussent, tu mouilles comme une folle malgré la douleur de tes chairs meurtries. Mais bientôt il n’y a pas que de la mouille, tu as de plus en plus de mal à retenir la pression de ta vessie distendue.
« Alors ? on ne sait plus se retenir grosse cochonne ?
CHHeee, …Cheee chuis déshholée maîtressshhh chériehhh…mais je vais explosheeerr , je dois faire pipichhh !
-Ok, comme tu voudras, (je fouille dans le sac et en sors ta gamelle) »
Je te claque à nouveau les fesses d’un coup sec pour t’obliger à maintenir la position et j’enlève délicatement les pinces qui mordent tes lèvres intimes.
Tu ne peux réprimer quelques cris, le sang pulse douloureusement dans tes lèvres meurtries.
Je place ton écuelle sur le sol, en dessous de tes fesses.
« Accroupie toi comme tu peux et tu pourras te libérer un peu, tu as le droit de remplir ton auge mais ne gaspille rien en mettant à côté ou la faisant déborder !! »
Ta position est plutôt obscène, tu es toujours repliée vers l’avant, les mousquetons ne te laissant que très peu de marge. Tu as tout de même réussi à t’accroupir tant bien que mal et ton anus s’ouvre lorsque tu pousses sur ton urètre pour libérer le barrage qui menaçait de céder à tout moment.
Ton urine bien jaune et au parfum enivrant remplie rapidement le récipient qui a pourtant une bonne contenance ! Evidemment tu en mets un peu à côté et en réponse je te cingle les fesses avec une baguette !
«ça suffit maintenant ! Ferme les vannes, je t’interdis de te vider entièrement !
-oui maîtressss !
-Retourne toi , et débrouille toi pour boire ta gamelle comme la bonne chienne que tu es !( je te retire la culotte de la bouche et la glisse dans le sac)
-avec plaisir maîtresse adorée, j’aime tant vous plaire !
Tu es sur le sol, penchée vers le liquide chaud et parfumé qui envahit tes narines.
Tu commences par laper, puis tu aspires pour en prendre davantage en bouche. Ton cul est dressé, tes mains toujours reliées à tes chevilles, tu sens mon souffle sur ton intimité. Je caresse doucement tes fesses brulantes. J’embrasse délicatement tes chairs souffrantes, un baiser sur tes lèvres, un sur ton clito, un autre encore sur ton petit trou palpitant…. Puis ma langue glisse entre tes lobes, s’enfoncent dans les profondeurs de tes orifices intimes. Tu gémis de plaisir et de contentement en aspirant la pisse dorée.
Ma langue profondément fichée dans ta rosette, je fouille tes entrailles tandis trois de mes doigts s’activent dans ta chatte, mon pouce stimulant énergiquement ton clitoris. Tes gémissements se transforment en râles seulement interrompus par les gargouillis de déglutition. Je pince soudainement ton clito en feu et tu hurles ta jouissance avant de t’effondrer sur le sol, jonché de feuilles et de mousse.
Je te libère de tes entraves, tu t’étires et t’allonges confortablement sur le dos sans me perdre des yeux.
Avec tendresse, je redresse ta tête pour t’aider à finir ton breuvage. Tu lèches les dernières gouttes dans le fond de la gamelle.
Je me redresse, remonte ma robe sur mes hanches et écartent mes jambes au dessus de toi. Je commence une danse lascive, tu me regardes amoureusement.
Je commence à te pisser dessus, tout en dansant, ne délaissant aucune partie de ton corps. J’arrose tes jambes, ton ventre rond, tes seins lourds, ton mont de vénus, ta
vulve encore ouverte, ton cou, ton visage et tes cheveux. Je finis ma danse en m’asseyant sur ton visage, t’offrant une ou deux gorgées de mon précieux élixir avant que la source ne vienne à tarir. Ta langue me nettoie avec application, ton nez enfoncé dans mon petit trou du cul. Tu étouffes presque mais tu continues ton oeuvre avec abnégation et amour. Je jouis en me frottant sur ton visage.
Je me redresse, reprends la laisse et te dis :
« A quatre pattes ma chienne ! Il est temps que tu fasses une petite toilette ! «
Tu me souris, même si tu redoutes une nouvelle morsure, celle de l’eau glacée du cours d’eau qui cascade à quelques mètres de nous.
Tu remues les fesses en avançant vers ton bain vivifiant. Je te regarde entrer avec difficulté dans l’eau froide. Tu te laves en grelottant, je te regarde tout en cherchant quelques nouvelles surprises dans le fond du sac.
J’en sors une serviette ainsi qu’une culotte très particulière en latex.
Tu te sèches alors que je déplie la culotte et te montre ses particularités originales. Celle-ci est munie en son intérieur d’un double gode, un qui doit faire au moins 18 cm avec un bon calibre et l’autre un tout petit peu plus petit et fin.
Tu l’enfiles, la remonte jusqu’au sommet de tes cuisses et je t’aide à introduire les phallus factices l’un après l’autre. Le plus gros se loge dans ton vagin accompagné de quelques gémissements et le plus modeste se fraye un chemin dans le puits étroit de ton cul.
Tu remets ta robe et nous rejoignons la voiture. Arrivées au parking nous tombons nez à nez avec un petit bonhomme d’une cinquantaine d’années qui devient écarlate en nous croisant, il baisse rapidement le regard et la tête et repars dans l’autre sens en manquant de se cogner contre un arbre.
Nous nous regardons interloquées, serait il possible qu’il nous ai vues dans la forêt tout à l’heure ? J’hésite entre le malaise et le fou rire, celui-ci l’emporte et nous rions toutes de bon coeur en repensant à sa réaction ridicule et inoffensive.
Nous reprenons la route et je te demande de nous emmener en ville, je tiens à faire un peu de shopping avant de rentrer et je te réserve encore quelques surprises à ma façon !
Une demi-heure plus tard nous sommes dans le centre ville, il fait toujours aussi chaud et tes cheveux sont presque secs. Je te trouve à croquer dans ta robe, pleine, orifices comblés, vessie pressante, belle dans ton supplice.
Je prends mon temps, essaie diverses robes et puis de la lingerie, je ne manque pas de t'exciter au passage, je te fais également essayer de jolies robes, sollicitant l'avis de la vendeuse pour savoir laquelle te met la plus en valeur....Sans oublier de te faire boire régulièrement...
Au début tu cherches à conserver une tenue digne, cachant le plus possible ton embarra... mais ça ne dure qu'un temps.
Bientôt tu as l'impression que ton ventre est sur le point d’éclater... je te masse un peu, mais la moindre caresse peut devenir un supplice dans ce genre de situation.
Avant de rentrer à la maison, nous nous arrêtons à la terrasse d'un café pour prendre un thé. Moi aussi je veux boire beaucoup, je veux être prête pour toi à notre retour.
Nous rentrons finalement, je te demande de me déshabiller et d'enlever tes vêtements, à l'exception de ta culotte godes bien entendu!
tu reprends ta position de chienne, à quatre pattes, et t’empresse d’aller chercher nos joujoux.
« Apportes aussi ta laisse ainsi qu'une petite cravache !
-tes désirs sont mes plaisirs, mon amour de maîtresse ! »
Je te souris tendrement et t’embrasse sur le front et sur la bouche. Puis je te demande de te coucher sur mes genoux, je me suis assise sur une chaise.
Je commence par te fesser un peu.
Je souffle tendrement de temps en temps sur tes fesses cuisantes.
Nous changeons de position, je me relève et tu restes couchées en travers de la chaise, croupe tendue vers moi, réclamant mon attention .Je passe à la cravache, tes fesses ont sûrement virées au rouge écarlate, bouillantes de fièvre. Mais elles restent masquées par la culotte de latex, et chaque coup enfonce plus encore les godes dans tes trous de cochonne lubrique.
Tu retires maintenant mes bottines et tu lèches longuement mes pieds, suçant mes orteils.
Je te présente mes fesses ; les écarte pour te faciliter l'accès à mes orifices trempés.
Tu t'occupes avec dévotion et amour de mon petit trou. Le léchant ; le lubrifiant de ta salive abondante, ta langue dardée contre ma rosette me pénètre comme un petit phallus agile et gourmand.
Je te sens tournoyer en moi, dans mes fesses, dans mes entrailles.
Mon plaisir monte crescendo, tu délaisses maintenant mon cul pour t'occuper de ma chatte dégoulinante de mouille et ouverte de plaisir.
Tu aspires mon clito, pénétrant mon vagin et mon anus de tes doigts habiles, tendres et experts.
Tu prends un petit gode vibrant pour me sodomiser, introduis un oeuf vibrant dans ma chatte et colle ta bouche contre mon clito.
J’explose dans une folle jouissance, et tu bois ma cyprine.
et bientôt une autre saveur envahit tes papilles, mon nectar doré coule à flot sur ton visage, dans ta bouche, dégoulinant sur tes seins.
Je t'embrasse et te caresse doucement.
Je t'aide à retirer ta culotte pour libérer tes orifices meurtris.
« Nettoies les godes avec ta bouche ! »
Pendant que tu t’exécutes avec application, je m'occupe d’apaiser ton intimité blessée de ma bouche tendre et délicate.
Je te lèche longuement, te demandant de libérer à ton tour ta vessie sur moi ta maîtresse, ton amour, qui t'appartient autant que tu m'appartiens.
Je te bois à mon tour avec délectation et ivre de tes saveurs de femme et d’amante je t’enlace fiévreusement. Nous échangeons de longs baisers parfumés de nos intimités respectives et des saveurs acres et salés de nos pipis d'amour.
Nous nous coucherons ainsi, sentant l’amour, le sexe et la lubricité, chattes sauvages aux senteurs musquées, nos draps vite trempés de nos liquides intimes rêvant que ses instants magiques jamais ne se conjuguent au passé ..... 



Merci à Mia Michaels pour son autorisation d'utiliser certaines de ses images pour illustrer mes récits.


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