Sortie en boîte de nuit avec Karine
Je vous ai déjà parlé de mon amie Karine, c’est une fille adorable et discrète.
Nous avons souvent passé de très agréables moments ensemble, mais le plus souvent chez
elle car elle ne sort pas beaucoup .
J’adore danser et je lui ai souvent dit qu’un soir, je ne lui laisserai plus le choix et qu’elle
n’aurait pas d’autres options que de m’accompagner et d’être très obéissante!
Je porte une robe moulante, bleu nuit, des bas dim-up , petites bottines à talons .
Karine , quant à elle, porte une robe blanche , assez moulante elle aussi, petites
chaussures à lanières, talons pas très hauts, pratiques pour danser.
Je ne veux pas que nous arrivions trop tôt, nous mangeons quelques plats chinois chez
elle, buvant énormément de thé au jasmin préparé à ma façon, infusé dans nos urines et
un peu d’eau bouillante.
Le club où je l’emmène est plus un bar branché avec piste de danse, ambiance latino.
En arrivant nous commandons deux mojitos pour nous mettre dans l’ambiance et je
l’entraine sur la piste!
Elle semble un peu timide et maladroite face à moi, sa vessie déjà pressante et ses
interrogations sur ce que je peux bien lui réserver pour le reste de la soirée!
Les danses s’enchainent , l’atmosphère monte entre nous et je lui propose qu’on en
rajoute encore dans le spectacle pour faire baver les mecs qui nous reluquent depuis que
nous sommes arrivées. Elle n’est pas très rassurée, elle craint que ça ne dérape, mais je lui
dit de ne pas s’inquiéter , que je savais très bien gérer ce genre de situation.
Nos corps se frôlent de plus en plus , nos ventres se touchent, nos hanches se balancent
en symbiose, répondant aux ondulations l’une de l’autre. Une de mes cuisses se glissent
entre les siennes. je me frotte contre son corps transpirant , bassin contre bassin,une
jambe glissée entre les siennes. Mes lèvres entre ouvertes, lui susurrant des choses
salaces qui la font rougir, mon souffle sur sa nuque. Ma langue glisse derrière son oreille,
je peux sentir sa peau frissonner, ma bouche suit sa peau, le contour de son visage jusqu’à
se coller sur sa bouche en un profond baiser gourmand. Je me sers davantage contre elle,
mes mains sur ses fesses, nos ventres pressés l’un contre l’autre, la pression s’intensifie
sur nos vessies gonflées. Je sens mon sexe se liquéfier, je sais que sa culotte doit être
trempée à tordre.
Je lui demande: “ ouvre la bouche!”
Sans même répondre elle ouvre son bec comme un oisillon affamé.
Je laisse couler un long filet de salive dans cette bouche avide. Ses yeux brillants me
remercient et elle savoure mon offrande avant de l’avaler.
Je sens la moiteur de son entre jambes sur ma cuisse.
Sa respiration s’accélère, elle ne semble plus faire cas de ce qui nous entoure, elle oublie
le lieu public, la gêne, elle n’est plus qu’une brindille flottant sur le fleuve de ses
sensations qui l’entraine vers un tourbillon d’extase. Et C’est moi qui la guide et qui l’y
entraine.
Évidemment quelques mecs, n’ayant probablement rien loupé de notre petit spectacle
saphique, ne tarde pas une approche plus frontale et viennent carrément se coller à nous
en dansant!
Je les envoie chier mais ils ne veulent rien savoir les gros pénibles, je la prends donc par
la main et l’entraine vers le bar.
je sais que sa vessie la fait déjà souffrir mais je commande deux bières
Elle me chuchote à l’oreille: “Je ne tiens plus, Lucie... Il faut que...
-oui je le vois bien , tu te tortilles sur place!” Je suis moi même déjà pas mal indisposée.
Mais je prends encore plus de plaisir à la laisser mijoter. La serveuse, blonde , cheveux
courts , belle poitrine sous son t shirt , la vingtaine,nous donne les deux verres. Je crache
dans celui de Karine sous ses yeux. Elle me regarde un peu surprise , jette un oeil à Karine,
rouge pivoine mais elle me sourit d’un air complice. Je lui rends son sourire et lui propose
de cracher elle aussi dans le verre.
“je peux , vous êtes sûres?
-Faites donc! Elle en sera ravie, je vous assure!” Dis je en fixant ma tendre soumise droit
dans les yeux.Les joues de Karine virent au rouge cramoisi.
La fille ne se fait pas prier, et elle crache abondamment dans la bière .
“ Santé ma Pissounette !” dis-je en lui tendant le demi. Gênée, elle trinque avec moi et
porte le verre bien mousseux à ses lèvres. La serveuse ne la perd pas des yeux, assez
bluffée par la scène, malgré les clients qui la presse pour le service. Karine boit son verre
à pleine gorgées, ma main remonte le long de sa cuisse et passe sous sa robe blanche. Elle
frissonne à mon contact, mais continue à déglutir.
“ Ooooh mais c très humide par ici ma coquine!”
Elle baisse son regard, regardant le sol... ma main remonte jusqu'à sa culotte .... encore
plus trempée. Je continue à boire ma bière en me délectant de son embarra. Un de mes
doigts glisse sous la couture du sous vêtement trempé.
”C’est la forêt tropicale ici! Cochonne!” Elle est tremblante et marque un arrêt, tête
penchée, fixant le sol. “ Allons,qu'attends tu pour finir ta bière? regarde mon verre, j'en
suis à plus de la moitié !
“Je n’en peux plus,maîtresse, pitié! Il faut vraiment que j’aille aux...
-Allons,allons ! On lève le coude, Mlle!”
Elle obéit, désespérée, se trémoussant de plus en plus nerveusement, et mes doigts qui
maintenant fouillent son intimité ajoute encore à son tourment!
“Et glou et glou!
La bière coule de ses lèvres, elle me supplie du regard. Je la force à finir son verre.
“ Tu vois, c’était pas si terrible que ça!”
Elle se lève, larmes aux yeux, me supplie de la laisser passer.
Mais je me colle contre elle, presse son ventre de ma main et lui susurre à l’oreille:
“PPppsssss Ppssssseeeeh!
"Je tiens plus, Lucie! Je vais me faire dessus ..."
Je souris , une main sur ton ventre , l’autre toujours dans sa culotte, je titille d’un doigt
inquisiteur son petit trou maintenant, lui aussi tout chaud et tout humide. Ma langue glisse
dans le creux de son oreille, à bout de résistance, elle succombe et malgré elle, lâche les
vannes! Un flot odorant inonde sa culotte, son entre jambes et ma main pour tomber en
cascade sur le sol!
“Eehhh! Mais que se passe-t-il? Crie une femme assez forte à côté de nous.
Mais elle pisse par terre cette dégueu !”
Karine est au comble de la honte, elle ne sait plus où se mettre.
“La ferme! Grosse vache! Retourne à tes bigoudis! Vous voyez pas qu’elle est
suffisamment mal à l’aise comme ça! Lui crie-je à mon tour.
Karine parvient à se maitriser et à arrêter le massacre. Je la prends par la main et
l’arrache à la scène du scandale, la guidant vers les sanitaires. Ce faisant, je porte la main
que j’avais glissée sous sa robe à mon nez :
“ MMmmmh ! J’adore ton parfum ma chérie!” Je suce mes doigts trempés en me délectant
de leur saveur salée.
Les gens la dévisagent à notre passage, malgré la lumière tamisée, on ne peut pas louper
la tache d’humidité sur ta robe au niveau de ses fesses et sous son entre jambes. Nous
arrivons aux escaliers qui descendent vers les toilettes. Je la fais passer devant moi, je la
regarde descendre, la tache sur ses fesses les mets en valeur et donne un peu de
transparence à la robe .
Une femme, la quarantaine, sort des sanitaires et regarde mon amie bizarrement en
faisant la grimace, ce qui ne manque pas de la faire rougir , l’odeur de pisse est assez
forte et ne vient pas que des toilettes. Nous passons la porte des wc “ femmes” et je
ferme le verrou.
La pièce est assez large, équipée comme il se doit pour recevoir des handicapés .
Il y a un miroir assez grand devant le lavabo, et le trône dans le fond avec une rampe.
La lumière crue dévoile sans détour l’étendue des dégâts, les taches bien jaunes sur sa
robe si blanche. Je suis derrière elle, détaillant le moindre détail sur sa tenue:
“ remonte ta robe sur tes hanches!
-Oui Lucie, voilà!” Me répond elle en dévoilant ses fesses rougies par le sel et l’acidité
de l’urine, toutes humides.
Je m’accroupie derrière elle et j’embrasse ses lobes fessiers. Je fais glisser sa culotte
trempée sous son cul, puis le long de ses jambes. Je lui demande de lever les pieds pour la
lui retirer entièrement. Je me relève avec le morceau de tissus tellement gorgé de pisse
qu’elle dégouline sur le carrelage.
“ Retourne toi vers moi et mets toi à genoux, regarde moi! ”
Je lève la culotte souillée au dessus de ta tête, quelques gouttes perlent sur son front.
Elle tremble, autant d’excitation que d’inquiétude, c’est la première fois que nos jeux vont
si loin dans un lieu public . Je la connais suffisamment bien pour savoir que ce malaise
contribue à son plaisir et j’en joue sans modération.
“Ouvre toute grande ta bouche de cochonne ma pissounette!
- Mais Lucie, non,, pas ici... Lucie....” me supplie-t-elle mais j’ajoute!
“ tu préfères que je te rince les cheveux avec?” Les yeux rougis et avec une mine de
dégout, elle s’exécute enfin . Je la tord et l’essore au dessus de son joli visage inquiet.
Ça coule abondamment dans sa bouche mais pas seulement, tout son visage se met à luire
du liquide odorant.
“ Ferme la bouche maintenant!” Elle obéit .
Je fais mine d’essuyer son visage avec la culotte mais pour résultat elle se retrouve
encore plus souillée d’urine.ça coule dans son cou et son décolleté . Je lui fais signe qu’elle
peut avaler, je la vois déglutir et je la flatte pour la féliciter avec une caresse sur la joue.
“ c’est bien ma chérie!”
Et je me penche pour lui poser un délicat baiser sur le bout du nez, puis j’embrasse
doucement et tendrement ses lèvres. Elle me rend mon baiser en fermant les yeux.
Elle sent la pisse et ça m’excite de plus en plus.
Je lui enfile sa culotte sur la tête en guise de couvre chef, laissant sortir ses cheveux par
les ouvertures. Puis , je me retourne face au miroir, m’appuyant sur le meuble du lavabo.
“remonte ma robe sur mes hanches !” toujours à genoux derrière moi, elle se rapproche et
je sens ses mains un peu tremblantes remonter doucement le tissus soyeux au dessus de
mes fesses, dévoilant ma nudité, je ne porte aucun sous vêtement, juste un joli rosebud
qui brille entre mes lobes fessiers, ornant comme un bijou mon petit trou.
Je sens assez fortement la femelle excitée, mélange de cyprine et d’urine car
contrairement à elle et forte de mon expérience, j’ai lâché un peu de pression au cours de
la soirée en laissant couler quelques petits jets de temps qui ont glissés le long de mes
cuisses, laissant de nombreuses trainées humides sur mes bas.
“Lèche moi pour me nettoyer! Commence par les pieds! Retire mes bottines!”.
Elle obéit docilement et libère mes petons l’un après l’autre. L’urine a coulé jusqu’au fond
de mes chaussures, mes pieds sont donc mouillés et assez odorants après avoir macérés
plusieurs heures dans ce marécage sans parler de la transpiration ! Elle joue les
dégoutées mais je sais ce qu’elle attend, je ne me fais prier et je frotte mon premier pied
déchaussé sur son visage, contre ses narines puis forçant sa bouche. Ses lèvres n’offrent
qu’une résistance symbolique et mon orteil se love entre elles . Sa langue joue avec et elle
commence à sucer le jus qui imprègne le tissus de mes bas. Chacun de mes orteils subit le
même traitement avec toute la dévotion dont Karine est capable .
“Je compte sur toi pour tout bien nettoyer et aspirer , je ne voudrais pas remettre mes
bottines dans cet état!
C’est bien! Retire moi les bas et mastique les!”
À l’extérieur, on s’impatiente et on s’acharne un peu à forcer la porte .
Ça paralyse instantanément Karine, qui n’ose plus rien faire!
Je la menace:
“ Tu veux finir avec la tête dans les chiottes?
-Non , Lucie, pas ça!
- Alors obéis!”
Je me retourne et la saisi par les cheveux, lui arrachant mes bas souillés des mains :
“Ouvre la bouche!”
Les yeux implorants elle obéis à mon ordre.
Je lui fourre mes bas dans la bouche sans ménagement.
“Miam!Miam! Allez! Mâches bien! C’est bien, oui, comme ça!
Bon, maintenant , prends en un pour te le glisser dans la chatte!”
Elle glisse le tissus détrempé dans son vagin, docilement, en me regardant.
“l’autre maintenant! Dans ton cul!” là aussi, elle s’exécute docilement, toujours accroupie,
cuisses largement ouvertes, ses doigts poussent le bas trempé dans son petit trou serré,
moins facilement que dans son sexe mais inexorablement, il fini par disparaître presque
entièrement, ne laissant qu’un petit morceau de tissus à l’extérieur. Je me repositionne
face au miroir, jambes écartées, cul dressé vers elle et le buste penché en avant, en appui
sur mes mains de part et d’autre du lavabo..
“Reprends ton nettoyage maintenant! Remonte avec ta langue le long de mes jambes!”
Sa langue glisse habilement sur ma peau au goût salé et acide , parfumée de ma pisse et de
la mouille qui coule de ma chatte depuis un moment maintenant. Je savoure ses prouesses
linguales, me caressant la chatte ...Sa bouche arrive à mes fesses lorsque l’on frappe à
nouveau à la porte, la stoppant net!
“Excusez moi? Tout va bien? Vous en avez pour longtemps?”
Tout bas, je chuchote à Karine:
“ Réponds lui que tu es malade et que tu ne peux sortir pour le moment!
-Un moment s’il vous plaît, je ne me sens pas bien...
-dépêchez vous Mlle, il y a du monde qui attend!!!
-je ne me sens vraiment pas bien, je suis...malade!”
Puis elle reprend ma toilette , je sens sa langue remonter mon entre jambes, pour venir
laper ma minette poisseuse et trempée. Elle remonte maintenant le sillon de mon cul, se
faisant elle glisse sur le bijou ornant mon petit trou palpitant , je sens la pression de sa
langue sur l’objet qui est logé dans mon rectum....léchant la moindre goutte sur chacun de
mes lobes fessiers. Je lui demande de bien m’écarter les fesses, ce qu’elle fait aussitôt.
Je m’amuse à faire bouger le plug en jouant avec mes sphincters. Mes doigts se glissent
entre mes cuisses pour venir titiller mon clitoris à fleur de peau.
Sa langue glisse autour du bijou sur le renflement de chair provoqué par la partie
interne du plug.
“Prends le entre tes dents et retire le!”
Ses lèvres enveloppe l’objet et je sens ses petites dents se glisser délicatement entre
mon anus et la base du plug.
Elle commence à tirer dessus, je sens le jouet tiré vers l’extérieur et déformer mon
petit trou.
Je pousse pour l’accompagner et un gros “FLOP!” accompagne l’extraction .
“Aaahhhhhmmm! Nettoie le avec ta bouche maintenant!”
Je regarde le reflet du miroir et je la vois, accroupie derrière moi , suçant le plug comme
si c’était une friandise. Je me caresse toujours la chatte.
“Tu l’aimes ta sucette ma cochonne?
-Mmmmh oouii Lucie mmmlll
-Elle est bien propre ?
-Maintenant oui maîtresse...
-Mets la dans ton cul maintenant!
-oui, Lucie, tout se suite, tu veux que je retire le bas avant?
-Non, c’est plus rigolo comme ça, dis moi ce que tu fais!
-Oui, maîtresse, je le pousse doucement en moi, le bas me gêne, maîtresse...
-Mais non, insiste, le plug va le pousser un peu c’est tout
-Oui, maîtresse.. Huunnnn, ça entre maîtresse, ça fait un peu mal
-Pousse idiote! Pousse comme si tu voulais chier, ça va entrer tout seul!
-Huuuunnn, ça y est ... Oooh, il est dedans maîtresse!
-Bien ma cochonne, occupe toi de mon cul,nettoie le en profondeur avec ta langue alors!
Je sens à nouveau sa langue chaude et mouillée glisser le long de ma raie, mon anus palpite
“Enfonce la bien à l’intérieur! Je veux jouir avec ta langue qui m’encule !
Je la sens se glisser dans mon rectum avec délectation, je suis encore plus excitée et
j’accélère le rythme de ma masturbation. Quelle divine sensation cette langue qui me
fouille en profondeur alors que mes doigts s’activent entre les lèvres de ma chatte!
Je pousse pour m’ouvrir encore davantage à cette langue fouisseuse.
Mon plaisir monte... Je remue le bassin, me plaquant le plus possible contre sa bouche, sa
langue s’active en moi, je dégouline. J’entends ses gémissements, ses bruits de succion.
Une voix derrière la porte:
“Melle? Vous voulez qu’on appelle un médecin?”
Karine essaie vainement de répondre mais ses gémissements sont inintelligibles. Je ne la
laisse pas se libérer de mon emprise! Je suis au bord de l’orgasme!
Je jouis bruyamment et j’explose en lui pissant dessus , me retenir depuis tout à l’heure
n’a fait qu’accroître mon excitation et la pression de mon jet est tellement violente qu’elle
la surprend !
“Vviiiite colle ta bouche contre ma fontaine!!”
Elle se colle à mes lèvres intimes qui déversent sans répit un flot continue d’urine chaude
et odorante. Je l’entends déglutir, elle essaie d’avaler comme elle peut mais manque de
s’étouffer,avale de travers et l’urine lui sort par le nez, elle tousse et recrache! Je
contrôle mieux le flux pour qu’elle puisse reprendre sa déglutition sans perdre ce qui
reste. J’ai l’impression qu’un second orgasme me saisit!
Je n’avais pas remarqué mais la coquine se masturbait elle aussi depuis un moment et je
l’entends jouir à son tour alors que les dernières salves d’urine s’échappent de mon sexe.
Je n’ai plus rien dans la vessie mais ça n’est pas son cas et j’entends soudain qu’elle ne se
contrôle plus et qu’elle pisse à même le sol.
Ma jouissance a été violente, je suis pantelante, je tremble... Il me faut quelques
minutes pour reprendre mes esprits, elle est assise au sol, baignant dans une mare
d’urine , bien visible sur le carrelage et elle est trempée de la tête au pieds.
Je me redresse, réajuste mes vêtements, remets mes bottines, me passe de l’eau sur le
visage, me recoiffe et me remaquille.
“Moi aussi Lucie, il faut que je me refasse une toilette!
-Peine perdue ma pauvre! Tu vas avoir du mal à ne pas passer pour une grosse chienne
lubrique! Attends, viens là!
Je l’aide à se relever, retire la culotte de sa tête, elle veut retirer les bas et le plug des
orifices intimes mais je lui interdis. Sa robe à l’origine blanche est maculée de taches, elle
est à tordre et elle pue la pisse et la femelle à plein nez. Je la réajuste autant que
possible, elle est à la limite de pleurer, je lui caresse tendrement la joue, l’embrasse, lui
demande si elle pense qu’on a été trop loin.
Elle me répond, les yeux encore larmoyant que non, elle a adoré mais qu’elle appréhende un
peu de sortir même si l’idée que les gens la dévisage l’excite beaucoup paradoxalement.
“ Tu es très belle, lui dis-je, je me fous de ce que les autres vont penser, tu me plais
comme ça!”
Elle me sourit, les joues écarlates, les yeux mouillés et je l’embrasse longuement et
passionnément. Je la prends par la main et j’ouvre la porte.
Une femme, la quarantaine, nous dévisage en nous voyant sortir, deux autres, plus jeunes
attendent elles aussi et se marrent en se faisant des messes basses.
Je passe devant elle fièrement , tenant toujours Karine par la main , elle, tête baissée
et ma culotte en boule dans sa main droite.
Nous remontons les escaliers et je me dirige vers le vestiaire pour demander nos
affaires .
Une fois dehors , nous traversons le centre ville encore fréquenté et nous prenons le
dernier tram pour rentrer chez elle.
La suite de la soirée est une autre histoire!
Merci à Mia Michaels et Bruce Morgan pour leur autorisation à utiliser leurs images pour illustrer mes récits.
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