Séjour au gîte : 

 

 

CHAPITRE 4 :

 Le restaurant Chinois


Nous arrivons devant le restaurant, tu devrais finir le reste de ton thermos. Je te regarde boire mon urine encore tiède, tu ne me quittes pas des yeux. Je t'embrasse tendrement. Je caresse tes lèvres, tu ouvres la bouche et je crache dedans. Tu me remercies. Je pose une main sur ton bas ventre, il est un peu gonflé, je devine que ta vessie doit commencer à t'indisposer sérieusement!
Nous entrons dans l'établissement. C'est un petit restaurant asiatique discret et sympa, il y a un étage avec peu de tables où nous devrions être tranquilles.
Une jeune serveuse asiatique vient à nous et nous invite à la suivre. Je lui demande de nous placer à l'étage si c'est possible. Elle accepte en souriant et nous montons les escaliers en la suivant.
Je regarde ta croupe onduler au rythme des marches.
La salle est plutôt intime, lumière tamisée, décoration raffinée et un aquarium; il n'y a que quatre tables dont deux seulement d'occupées. Un couple d'une cinquantaine d'années et trois copines qui fêtent un anniversaire.
La serveuse nous installe à l’écart, dans le fond de la salle, près de la fenêtre. tu es face à moi, les autres tables sont dans ton dos et je suis devant la fenêtre.
Elle nous demande ce que nous voulons boire et je réponds du thé au jasmin pour accompagner le repas et deux bières blondes en guise d’apéro. Je commande également des bouchées vapeur ainsi que des rouleaux de printemps.
Elle nous apporte les bières, je trinque avec toi, tu me souris mais je sais que tu es au supplice. J’en profite pour réactiver la vibration et l'intensifier un peu. Je te demande de déboutonner davantage ton chemisier, tu libères un cinquième bouton. Je peux apercevoir tes seins dont les pointes se dressent fièrement. Tu transpires, la serveuse nous apporte les bouchées vapeur. C'est impossible qu'elle ne remarque pas ta poitrine, mais elle ne dit rien. Tu croises et décroises nerveusement tes cuisses. Je retire une de mes chaussures à talon et glisse mon pied vers toi, forçant tes cuisses à s'ouvrir. Tu bois ta bière, tu as dépassé la moitié du verre et moi aussi. à travers mes bas , mes orteils entre en contact avec ton entre jambes. Je sens le contact avec ta chatte malgré la barrière de ta culotte en latex. Je monte le volume des vibrations, tu soupires, halètent presque, tu as très chaud et tu sens ta minette mouiller comme les rizières
sous la mousson.
Je souris en finissant mon verre, je te prends le tien, il ne te reste qu'un quart de liquide. Je te fixe droit dans les yeux et je glisse discrètement ton verre sous la table. Je remonte un peu ma robe fendue sur le côté et dégage mes cuisses. J'avance mon bassin sur le rebord de la chaise et colle le verre contre ma chatte. Derrière nous les filles font beaucoup de bruit, elles ont entrepris de chanter les derniers tubes à la mode mais on se croirait plus à "secret story" qu'à "the Voice"!
Je remplie le verre avec mon propre champagne et le replace devant ton assiette. Tu me remercies et en dépit de ton embarra le porte aussitôt à tes lèvres pour le boire. Je prends un rouleau de printemps avec mes baguettes mais OOOPs! celui-ci tombe sur ma robe ! Quelle maladroite je fais te dis je en te souriant avec vice. Je récupère le rouleau et le frotte contre ma vulve déjà trempée, je le fais pénétrer sans difficulté dans mon vagin déjà occupé par les boules de geisha ! Hummm très agréable. Je fais mine de le récupérer avec les baguettes et te le donne à manger. La serveuse revient pour prendre la suite de la commande. je monte l'intensité du joujou qui vibre dans ton intimité à son maximum, tu lui réponds avec un peu de difficultés, la voix tremblotante : "un..un canard à l'ananas s'il vous... plait...." tu deviens subitement toute rouge, je comprends qu'il y a certainement eu un petit accident dans ta culotte! Je demande quand à moi un plat avec des st jacques et un peu de riz.
Je mange une ou deux bouchées vapeur. Je te demande si tu en veux, tu acceptes en me remerciant. J'en prends une dans ma bouche, bouchée crevette, la mâche un moment et te fais signe de me tendre la main. Je recrache discrètement dans le creux de ta main et tu t'empresses de lécher ta paume pour récupérer mon offrande. Mon pied reprend sa place contre ta minette, je sens bien qu'un liquide flotte prisonnier de la culotte. Du bout des pieds je sens que ce liquide a essayé de s'échapper de sa camisole transparente, ça suinte un peu aux jointures de tes cuisses. "Allons aux toilettes, le temps que le service nous apporte la suite !" Tu te lèves, plutôt embarrassées et toujours le teint écarlate. En traversant la pièce tu sens quelques minces filets humides glisser le long de l'intérieur de tes jambes. Tu entends le bruit de clapotis qui vient de ta culotte et ta démarche te semble atroce, tu es sûre que tout le monde doit remarquer ça. J'ai emporté mon sac avec moi; les toilettes sont au dernier étage, mais à cette période de l’année il n'y aura aucune table
occupée au second. FlicFLoc! En montant les escaliers le bruit se fait encore plus envahissant, je suis juste derrière toi et te regarde. Je sens une légère odeur d'urine flotter derrière toi et je souris avec désir. Nous entrons dans les toilettes. il y a une première salle avec un grand miroir devant les lavabos et deux cabines de toilettes non occupées. Tu es face au miroir, essayant de te recoiffer un peu, je me place derrière toi. Je déboutonne entièrement ta tunique et te libère de ta ceinture, je l'ouvre en grand, dévoilant ta nudité et la culotte transparente dont le fond est gonflé d'une poche de liquide doré dans lequel baignes tes fesses. Je malaxe la culotte faisant circuler ta pisse à l'intérieur. Quelques fuites suintes en effet sur les ouvertures des cuisses et de petites traces humides zèbrent le long des tes cuisses. Je t'embrasse dans le cou, mordille le lobe de ton oreille, te bave dans son creux. mes mains caressent tes seins, pince tes mamelons, ma main droite descend sur ton ventre , appuie dessus et se glisse sous l'élastique de ta culotte. Elle s'enfonce sous le latex et s'immerge dans le liquide chaud et odorant Je caresse ta chatte, pince doucement ton clito et de mon autre main, je viens titiller ton petit trou en appuyant sur le Plug. Je presse sur la pompe pour le faire gonfler davantage. Je sors ma main de ta culotte et te caresse le ventre et les seins avec ma main trempée, je remonte jusqu'à ta bouche en passant par ta nuque, ton cou. Tu me lèches et nettoie la main avec délectation. Nous pénétrons dans la cabine de toilettes prévue pour les femmes, je ferme le verrou. Penche-toi en avant au dessus de la cuvette, main contre le mur, cul dressé vers moi. Je commence par te fesser avec mes mains. La pisse s'agite dans sa poche et tu te mords les lèvres pour ne pas faire trop de bruits. Je remets les vibrations en marche, retire ta culotte mais essaie de pas tout renverser par terre!
Tu as les fesses rouges après la fessée et la pisse contenue dans ta culotte plastique n'a rien arrangé, ça te pique, te brûle un peu, ton anus te brule aussi, toujours bien occupé par la présence du Plug. Tu descends la culotte en prenant toutes les précautions possibles pour ne pas faire couler la pisse par terre. Malheureusement, si tu arrives bien à conserver la réserve qui déforme le sous-vêtement entre tes cuisses, tu ne peux empêcher le trop plein de ruisseler le long de tes cuisses jusqu'à tes pieds. L’odeur est très forte maintenant qu'elle n'est plus contenue par la barrière de latex. J'ouvre la bouteille thermos et la place au dessus de la cuvette pour que tu déverses ton liquide odorant dedans. Tu en mets un peu sur le rebord, ça coule le long de la bouteille et je te demande de la nettoyer avec ta langue. Tu refermes la bouteille et je la range dans le sac.
Je réactive les vibrations de l'oeuf dans ta chatte, tu gémis. je te demande de reprendre ta position au dessus de la cuvette, mains sur le mur et cul dressé vers moi. Je sors le Plug, il est tellement gonflé que son extraction n’est pas aisée et tu as l’impression qu’il va te déchirer. Il sort avec un gros «FLOC » et je te le mets en bouche. Tu sens mes doigts fouiller ton anus, tu gémis encore davantage, avec ton Plug en guise de bâillon entre les dents.
Tu es tellement ouverte que je pourrais aisément te fister entièrement, j'ai déjà trois doigts en toi et je sens tes parois prêtes à en accueillir davantage, tu pousses ton cul sur ma main. J'accélère le rythme des vibrations tu trembles. Je retire mes doigts, il y a quelques traces, je reprends ta sucette d'une main et te donne l'autre à nettoyer. Tu t'y appliques avec enthousiasme.
Je te redonne le Plug et me replace derrière toi, je fouille dans mon sac.
J'en sors le petit fouet à plusieurs lanières et commence à te caresser les fesses avec. Ma caresse se fait moins douce et je t'assène plusieurs coups qui font rougir encore davantage ton postérieur luisant d'urine. La brûlure doit être assez cuisante maintenant. Les vibrations de l’oeuf sont à leur paroxysme et tu es au bord de l'orgasme. Soudain on entend la porte des toilettes s'ouvrir...
J’arrête les coups. La personne voit que notre cabine est occupée, apparemment ce doit être une femme. Elle fait couler l'eau du lavabo et décide sûrement de se remaquiller en attendant que la cabine se libère.
Tu me regardes, Plug toujours en bouche, ne sachant quoi faire. Je te souris et te dis tout bas que si toi tu as pris tes aises dans ta culotte moi je n'ai toujours pas pu me libérer un peu la vessie. je replace ton joujou entre tes fesses.
Tu t'installes en équilibre sur les pieds et les mains, tête au dessus de la cuvette des toilettes, bouche ouverte. Je te chevauche et viens me placer au dessus de ton visage. Je remonte bien ma robe et tu as une vue bien dégagée de mon entre cuisses. Ma chatte sent la mouille et la pisse, mon chapelet anal toujours en place dont tu peux apercevoir la cordelette et l'anneau dépasser de mon petit trou.
Je commence à pisser, de l'autre côté de la porte, la femme doit s'impatienter parce qu'elle commence à faire les cents pas. Ta bouche se remplie rapidement, je fais des poses régulières pour te permettre d'avaler. Elle finit par perdre patience et elle se décide enfin à entrer dans l'autre cabine, réservée aux hommes. La pisse mousse en remplissant ta bouche. De minces filets coulent à la commissure des tes lèvres et le long de ton visage, vers tes oreilles et ton cou. Je décide que ça suffit, nos plats chauds
doivent être servis et je n'aime pas manger froid. Tu me nettoies la chatte avec application. Tu en profites pour titiller mon petit trou en tirant un peu sur la cordelette et en l'asticotant du bout de la langue. Mais ce n'est pas le moment, je me dégage et me réajuste. Tu te redresses à ton tour, tu es un peu défaite, tu sens la pisse et l'excitation t'a faite transpirer. Tu refermes ta robe chemisier, remets ta ceinture. Tu tires sur la chasse d'eau alors que je sors de la cabine pour me refaire une petite beauté devant le lavabo. Tu sors à ton tour, alors que la chasse d'eau de l'autre cabine se fait entendre. Je t'embrasse à pleine bouche avant de me remettre du rouge à lèvres. Tu te recoiffes comme tu peux, la femme sort et lorsqu'elle nous voit, baisse les yeux et sors de la pièce sans attendre le lavabo. On se regarde et on éclate de rire.
Nous rejoignons notre table. La serveuse devait guetter notre retour parce qu’aussitôt assises à notre place, elle vient à nous avec les plats.
Je te demande de reprendre la théière et de la mettre entre tes cuisses pour la remplir de ton nectar tout chaud. Tes joues sont à nouveau rouges écarlates lorsque le doux sifflement caractéristique de ton pipi remonte de dessous la table. Une fois la théière à nouveau sur la table, je te demande d’arroser copieusement nos assiettes.
Nous nous régalons de notre repas. Au dessert , je regrette de ne pouvoir te faire mettre sur la table , jambes par-dessus la tête , cuisses bien écartées et cul surélevé pour te tartiner la chatte et le cul de glace à la mangue et au fruit de la passion.
A la place, je me contente de petites pâtisseries chinoises trempées dans ta mouille alors que de mon côté, j’enfonce les tiennes dans mon vagin pour les laisser mariner jusqu’à notre retour au gîte. 

 

 

 

Un grand merci à Mia Michaels et Bruce Morgan pour leur autorisation à utiliser leurs images et dessins pour illustrer mes récits.    

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