Séjour au gîte :
Premier chapitre : retrouvailles
Un ami artiste m’a prêté son atelier quelques jours pour que je puisse terminer un travail urgent et non prévu. La restauration d’une petite toile, début 20ème siècle, une valeur plus sentimentale que réelle mais d’assez bonne facture.
Je me suis donc absentée quelques jours cette semaine là et j’ai malgré tout beaucoup pensé à toi, je suis donc impatiente ce jeudi matin, au volant de la voiture de location qui me permet de te rejoindre au gîte.
Ma tenue est un peu négligée, j’étais seule pendant ces quelques jours passés à travailler, il n’y a pas de salle de bain dans l’atelier, juste un lavabo avec de l’eau froide, je me suis contentée de me rafraichir le visage. Je porte un vieux jeans tout troué et un débardeur pas beaucoup plus frais avec des taches de peintures un peu partout. Je ne porte ni soutien-gorge ni culotte et il fait bien chaud ce jour d’été, je transpire abondamment. Il y a un petit restaurant asiatique dans la vieille ville à quelques km de notre gîte. J’ai déjà eu l’occasion d’y venir plus jeune en compagnie de mes parents. J’ai passé un coup de fil après avoir trouvé leurs coordonnées sur les pages jaunes et je nous ai réservé une table tranquille pour le soir même.
Je t’ai appelée juste avant de partir pour que tu ais une idée de mon heure d’arrivée, maintenant me voici au lieu-dit où se trouvent les gîtes. Plus qu’un virage et le notre sera en vue.
Je me gare devant l’entrée. Je t’aperçois à la fenêtre, un grand sourire éclairant ton visage.
Le temps de descendre de la voiture que tu as ouvert la porte d’entrée et que tu viens à ma rencontre à quatre pattes, nue à l’exception d’une culotte en latex munie de deux godes internes qui te remplissent les orifices et ta laisse entre les dents.
Tu me fais la fête comme une bonne chienne fidèle qui retrouve sa maîtresse après une toujours trop longue absence. Je te caresse et te flatte la croupe. me penche pour t’embrasser sur la bouche, tu sors ta langue et je la suce. Puis je crache sur ton visage, plusieurs fois, y compris dans ta bouche ouverte. Tu remues ton postérieur et me remercie en savourant mon offrande.
« Comment vas-tu maîtresse ? Tu m’as tellement manquée !
-Tu m’as manquée toi aussi ma pissounette lubrique, j’espère que tu as bien fait tes exercices tous les jours en pensant à moi ?
-Bien entendu, maîtresse chérie, j’ai bien bu mon urine tous les jours et entraîner mes orifices pour qu’ils soient souples et disponibles à tes désirs. Je suis restée nue sauf pour aller faire les courses mais je ne portais que le strict minimum, un petit haut trop lâche, une jupe très courte et pas de culotte, un bijou anal et mes boules de geisha.
-Très bien ! Tu es une bonne Pissounette ! Maintenant, entrons ! Parce que je sens la vieille chèvre qui a passé trop de temps enfermée dans son étable ! J’ai grandement besoin d’une toilette intégrale et en profondeur ! » Je tire un peu sur ta laisse et mon sac de voyage en bandoulière nous passons la porte du gîte que tu refermes derrière nous. « Retire mes chaussures pour commencer !
-Oui tout de suite Maîtresse ! »
A peine as-tu retirée ma première vieille basquette montante que l’odeur très forte et désagréable de pieds qui ont macérés dans des chaussures de sport trop longtemps agresse tes narines ! Je ne porte pas de chaussette, j’ai donc largement transpiré à l’intérieur.
« Continue à me déshabiller, je suis en nage ! »
Tu t’acquittes de ta tache avec dévotion et je me retrouve nue devant toi dans la pièce principale. Il y a une petite kitchenette sur notre gauche, un coin salon sur la droite avec un canapé conversible, un grand tapis, une table basse et du carrelage sur le sol.
Au fond de la pièce, un petit escalier en bois qui monte à l’étage, une mezzanine avec la chambre et une salle de bain avec baignoire.
Je m’assoie sur le canapé et te donne l’ordre de venir me nettoyer avec ta bouche, en commençant par les pieds.
Je te vois hésitante, il faut bien reconnaître que l’odeur de vieux fromage est des plus désagréables !
« Je n’avais aucune envie de me nettoyer à l’eau froide, je me suis dit que ta langue chaude et agile serait bien plus à même de s’occuper de ma propreté !
-Bien sûr, Maîtresse chérie, c’est un véritable honneur que vous me faîtes, c’est juste que….
-Que quoi ?? Tu me trouves dégoutante ??
-Non, bien sûr que non…
- Dépêche-toi ! Moi qui étais contente de te retrouver ! Pffff… » Et je te caresse le visage négligemment avec mon pied droit.
Tes yeux un peu rougis, tu t’empresses d’engloutir mon gros orteil dans ta bouche. Je te sens un peu écoeurée mais tu t’appliques autant que possible et ne négliges aucun petit espace entre mes orteils.
Je me penche en arrière, adossée négligemment sur le dossier du canapé, les bras relevés au dessus de ma tête, t’invitant sans attendre à t’occuper de mes aisselles.
L’odeur de sueur, là aussi est assez forte mais je sens ta langue glisser sur ma peau et me débarrasser des traces un peu acides et salées de ma transpiration.
Ta langue glisse en suite jusqu’à mes seins que tu lèches et suces assez longtemps. C’est très agréable et je ronronne presque… Je te tends mon pied sous toi et viens frotter entre tes fesses, pressant les godes monopolisant tes orifices intimes.
Ta langue reprend sa route sur ma peau, s’attardant quelques instants dans le creux de mon nombril pour arriver à sa destination initiale, mon pubis, dernier palier avant de pénétrer mon palais des délices.
Sauf qu’aujourd’hui, le palais de délices a des relents de marée basse…. Malgré tout ça ne semble pas amoindrir ton ardeur à la tache. Tu t’appliques à sucer et nettoyer chaque replis de chair tendre, ma vulve poisseuse ne tarde pas à couler de plaisir. Je gémis et m’ouvre autant que possible. Tu n’oublies pas pour autant mon petit trou du cul au goût plus âpre et fortement musqué qu’à l’ordinaire. Ta langue virevolte autour de ma rosette qui s’ouvre sous la caresse et palpite de plaisir. Elle pénètre facilement mon petit trou plissé et sensible. Ta langue reste ainsi un long moment en moi , j’ouvre mon cul au maximum et écartant mes fesses de mes mains. Elle bouge en moi , souple et ferme à la fois, fouillant mes entrailles en profondeur avec avidité. A l’aide de tes doigts tu branles ma chatte et titille mon clito jusqu’à ce que je jouisse bruyamment, ta langue toujours active dans mon cul.
Je reprends mes esprits et je t’embrasse à pleine bouche malgré quelques protestations de ta part, prétextant que tu es sale et que tu ne dois pas me souiller. Je ris et te claque les fesses vivement !
« J’ai une surprise pour toi dans le coffre de la voiture ! Va la chercher ! »
Tu y vas sans attendre, ta culotte toujours sur les fesses.
Dans le coffre tu découvres une grande bouteille de verre, contenance de 3 litres au moins ! Remplie en grande partie d’un liquide doré étincelant à la lumière estivale, un peu trouble tout de même. Tu devines que j’ai conservée toute mon urine de ces derniers
jours. Tu rougis mais ressens rapidement une grande fierté d’être celle à qui j’accorde pareil privilège !
Tu me rejoins à l’intérieur du gîte avec la bouteille mais je ne suis déjà plus au rez de chaussée, tu entends ma voix provenant de l’étage :
« Rejoins-moi vite dans la salle de bain !
-Tout de suite ma Princesse chérie ! »
Tu entres dans la salle d’eau, assez petite, mais avec un lavabo, miroir , petit meuble de rangement, un siège de toilette et une petite baignoire . J’ai mis le bouchon au fond de la baignoire. Je t’ordonne de retirer ta culotte à godes, sans omettre évidemment de nettoyer les phallus factices avec ta bouche. Celui qui occupait ton cul semble un peu suspect mais tu le suces comme un sucre d’orge.
Tu t’installes maintenant dans la baignoire, en tailleur. Je prends la bouteille, l’ouvre, une odeur forte de vieille pisse envahit l’atmosphère et je monte sur un tabouret pour déverser lentement le contenu sur toi. Je te douche les cheveux, le visage, la poitrine et une flaque se forme vite sur la faïence blanche entre tes cuisses. Tu ouvres la bouche et elle se remplit de mon liquide doré au goût beaucoup plus fort et amer que l’urine fraiche. Tu avales une bonne quantité après t’être gargarisée le fond de la gorge avec cette décoction particulière. Tu te laves le corps, frottant tes seins, ton ventre, ta chatte et ton cul sous cette douche parfumée. Tu te roules dans le flaque jaune qui recouvre une partie de la cuvette de la baignoire. Tu te mets à quatre pattes, cul dressé et tu aspires l’urine à même la faïence. Je commence à te fesser et tu gémis, visage dans la pisse, cheveux trempés et collés à ta peau. Je prends un fouet à plusieurs lanières et je t’assène une vingtaine de coups sur le postérieur qui rougit comme le visage d’une nonne qui surprendrait deux de ses consoeurs bouche à cul.
Tu te branles le clito alors que le fouet active la circulation de ta croupe en feu et tu ne tardes pas à jouir.
Epuisée par la violence de ton orgasme tu t’allonges dans le fond de la baignoire. Je te caresse doucement et tendrement le visage et ouvre ta bouche avec mes doigts. Je crache de longs filets gluants de salive dans ta bouche aussi béante que le bec d’un oisillon affamé. Tu me remercies. Je prends le pommeau de douche et te rejoins dans la baignoire. Je retire le bouchon et l’urine s’échappe par les canalisations. Nous prenons une bonne douche fraiche ensemble, nous lavant mutuellement avec la crème de douche parfumée et hydratante.
On se retrouve sur le lit, en 69 , nous léchant mutuellement chatte et cul avec tendresse et gourmandise. Ta langue semble avoir pris goût à mon cul car je la sens me fouiller très profondément et délicieusement.
Nous prenons deux verres pour trinquer à nos retrouvailles, échangeant les saveurs si particulières de nos champagnes intimes.
Allongées sur les draps, il fait trop chaud pour se mettre dessous, on somnole et je te parle de notre soirée.
Je te dis avoir réservé deux couverts dans un petit restaurant asiatique pour 21 heures. Ce qui nous laissera le temps de farnienter encore un peu enlacées avant de partir pour la ville proche faire un peu de shopping dans l’après midi.
Nous nous assoupissons environ une heure, je te réveille en léchant la raie de tes fesses offerte et je te dis qu’il est l’heure de se préparer !
« Tu porteras ta robe chemisier noire, celle qui se déboutonne entièrement sur le devant, une ceinture à la taille, des bas, pas de culotte pour le moment mais un plug dans ton petit trou. Pour ta chatte, j’ai pensé à ton oeuf vibrant et sa commande sans fil à distance !
-Pour le moment ? Que veux-tu dire Maîtresse ?
-Tu verras ! Dis-je en souriant. Pour moi, j’ai choisi une robe noire moulante, avec des motifs orientaux en arabesque en découpe sur le dos et sur la tranche des bras, cheveux attachés en natte, à la chinoise. Boules de geisha pour ma minette et chapelet anal, pas de culotte. »
On continue à se préparer en buvant un thé au jasmin et en grignotant de petits sandwichs en guise de déjeuner. Je prends mon grand sac à main dans lequel je range discrètement quelques surprises.
« Apporte-moi une bouteille thermos ! »
Tu me l’apportes aussitôt et je te demande de la tenir ouverte sous mon entre jambes. Je la remplie de mon jus d’or en te précisant que tu devras en boire régulièrement pendant l’après midi, nous boirons aussi d’autres liquides tout au long de la journée mais si moi je pourrais me soulager un peu, notamment en remplissant à nouveau ton thermos , je reste la seule maîtresse de ta vessie et tu devras maîtriser tes besoins.
(à suivre...)
J'adore illustrer tes histoires super excitantes... bravo et plein de bisous comme sur le dessin juste au dessus de nous...
RépondreSupprimerMmmmmh Merciiii Mia, ma minette en ronronne de plaisir!
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