Séjour au gîte : suite...
Second chapitre : shopping
Je suis au volant, tu es à côté de moi, robe entièrement déboutonnée et ouverte.
A chaque changement de vitesse, j’en profite pour venir te caresser et ouvrir tes cuisses et ta chatte trempée. J’avais acheté une barquette de fraises sur la route en venant ce matin, et je te demande de la prendre sur la plage arrière. Elle se trouve dans un petit panier avec d’autres fruits. Tu es obligée de te défaire de la ceinture de sécurité et te pencher entre les sièges avant pour atteindre le panier. Se faisant tu dresses ton cul que je dégage d’un revers de main pour qu’il soit bien visible pour qui croiserait notre route. Je joue avec le Plug tout en ne quittant pas la route des yeux.
Tu remues les fesses, je tire sur le Plug, il sort presque entièrement et je le repousse à l’intérieur. Tu regagnes ta place et remets ta ceinture, le panier sur les cuisses.
« Retire l’oeuf de son écrin de chair pour quelques instants. Sors la barquette et prends une fraise ! Enfonce la délicatement dans ta chatte baveuse, tu continues jusqu’à bien garnir ton gouffre à vice avant de me les donner à manger une après l’autre.
-Oui Maîtresse, tout de suite ! » Et tu ouvres tes lèvres en grand, ton vagin est déjà tout luisant et béant comme une bouche.
Tu enfonces le fruit délicat entre tes chairs roses et humides. Tu parviens à en introduire 5 ou 6, certaines étant plutôt grosses. Tu retires la première et me la glisse dans la bouche.
« MMMmmh c’est un délice ! Elle est mûre et parfumée à souhait, et le parfum de ta cyprine se marie à merveille avec sa saveur fruitée. »
Tu me regardes me régaler, je sais que tu en mangerais volontiers toi aussi mais tu n’oses me le demander. A la quatrième, je te demande si tu en veux toi aussi ?
Tu me souris et acquiesce avec gourmandise. Je mâche bien la fraise, l’imprégnant de ma salive, Je te fais signe de mettre ta tête sur mes cuisses, bouche ouverte. Heureusement pour notre sécurité la route n’est pas trop encombrée et plutôt droite.
Je recrache la bouillie obtenue dans ta bouche et attends la prochaine fraise. Nous terminons rapidement le contenu de la barquette et tu te rassoies sur ton siège.
Je te demande de sortir une banane du panier et te branler avec une fois épluchée.
Tu t’exécutes et bientôt tu commences des vas et viens avec le fruit dans ton vagin.
« Prends la thermos et sers toi une tasse de mon pipi, une fois désaltérée, je t’autorise à remplir la tasse de ton propre nectar, mais n’en mets pas partout et garde la banane à sa place.
-Merci ma Maîtresse, vous êtes trop bonne avec moi !
-Je sais ma chienne à pisse, ça me perdra ! » Te dis-je avec un sourire sarcastique.
Tu obéis et déguste mon urine comme si c’était un grand cru. Puis tu ouvres bien tes cuisses, avançant tes fesses jusqu’au bord du fauteuil et place la tasse de la thermos sous ta chatte d’où on peut encore apercevoir un petit bout de banane ressortir.
Tu écartes tes lèvres avec tes doigts et commence à pisser. La tasse se remplie rapidement et tu dois vite t’arrêter pour ne pas salir le tapis à tes pieds.
Du coup, tu as l’impression de ne pas t’être soulagée du tout en fait, ta vessie ne comprends pas pourquoi on lui ordonne déjà de fermer les vannes et sa pression se fait douloureuse. Tu me tends le récipient et j’en prends une gorgée que je savoure longuement sur mon palais avant de l’avaler.
« C’est bien, sors la banane maintenant, mais fais bien attention à ne pas l’écraser de trop ! » Nous sommes bientôt arrivées et il y a quelques virages avant d’atteindre les premières maisons de la ville. Je suis un peu frustrée ne pas pouvoir profiter du spectacle.
Avec toutes les précautions du monde tu pousses sur le fruit en le tirant tout doucement pour le faire sortir. Il y a un croisement avec un feu tricolore qui passe au rouge. Un couple d’une cinquantaine d’années attend pour traverser. Nous sommes à l’arrêt et en première position, derrière nous un 4X4.
Tu m’implores du regard, je fais mine d’ignorer ton embarra et t’ordonne de poursuivre.
Docilement tu obtempères, tu continues à extraire le fruit un peu ramolli de ta vulve trempée .le couple traverse. La femme semble être une bavarde patentée et elle débite je ne sais quelles âneries sans même regarder son mari qui semble bien las. Cette lassitude fait rapidement place à une surprise lorsqu’il aperçoit quelque chose qui lui semble tellement insolite dans notre voiture. Il ne dit rien mais son regard semble scotché au spectacle que tu lui offres. Il suit docilement madame qui continue ses palabres mais manque de se tordre le cou.
Je te tends la tasse et te demande te tremper la banane dedans. Tu obéis et j’ouvre la bouche pour que tu m’en donnes une bouchée.
« MMmmh délicieuse ! Et je ne parle pas que de la banane ! »
Tu souris en rougissant et baissant les yeux. J’en mange la moitié et je mâche le reste que je recrache dans le reste de pipi contenu dans la tasse.
« C’est pour toi ma fidèle pissounette !
-Merci Maîtresse, merci ! » Et tu mets dans ta bouche la bouillie banane/salive/pisse.
Le type derrière nous s’impatiente et nous joue de son klaxon, le feu est passé au vert mais nous n’avions pas fait attention.
Nous nous garons sur un petit parking à l’entrée de la vieille ville. Il donne sur un parc avec un cours d’eau qui nous sépare de la ville, il y a une passerelle pour rejoindre l’autre rive. Il n’y a semble –t-il pas grand monde dans le parc, mais il est loin d’être désert. Nous marchons sous les arbres, au bord de l’eau, je te demande de marcher devant moi et de retrousser ta robe en la coinçant avec ta ceinture au dessus de tes hanches. Je coupe une petite baguette de bois tendre et souple, et je commence à t’asticoter les fesses. Il n’y a personne de notre côté, un ou deux pêcheurs sur l’autre rive mais ils semblent absorbés par le flottement hypnotique du bouchon de leur fil à pêche. Il y a un bruit de cascade assez fort, ce qui couvre en partie le bruit de claquement lorsque la baguette vient caresser tes fesses de manière un peu vive. Tu mouilles tellement que tu sens ta cyprine couler le long de tes cuisses. Tu te penches en avant, appuyée sur un arbre. Je cesse quelques instants et te demande de retirer le Plug et de le téter en bouche comme la sucette d’une petite enfant. Je reprends les coups et tu trembles sur tes jambes, tu mouilles de plus en plus, il ne te manque pas grand-chose pour jouir, tu sers les dents sur le jouet pour éviter de crier .
J’arrête soudain et jette négligemment la baguette dans l’eau.
« Continuons notre chemin, le shopping n’attend pas ! »
Un peu frustrée mais très excitée, tu baisses les yeux et approuves d’une voix faible. Je récupère le Plug, crache dessus et te l’enfonce à nouveau dans le rectum sans ménagement. Tu te réajustes un peu, refermes les boutons de ta robe jusqu’à ton sternum, laissant ton décolleté largement ouvert et tes seins facilement visibles.
Nous nous approchons de la passerelle et un groupe de filles très enjoué traverse à notre rencontre,
Elles sont déchaînées, on comprend aisément la raison, l’une d’elle est habillée de façon grotesque, une culotte sur la tête, un canard sextoy en amulette autour du coup ; Des collants bariolés, roses et jaunes. Une jupe léopard raz le panier, une couche culotte dessous et un body de bébé. La tenue parfaitement ridicule qui sied aux jeunes innocentes qui ont décidés de s’enchaîner à un boulet qui se mettra rapidement à picoler
de la bière entre potes devant un match à la télé pendant qu’elle s’occupera de la popote et de torcher les enfants. Enterrement de vie de jeune fille, le mot n’est pas trop exagéré !
Ça me donne une idée et je te souffle à l’oreille de leur demander un service :
« Dis leur que toi aussi tu as un pari à honorer ; acceptes leur bonbons et préservatifs et en échange demande leur de t’écrire leur prénom sur les cuisses. » Tu es proche de l’écarlate et baisse encore plus la tête. Je m’assoie sur un banc, bien dans l’axe pour bien profiter du spectacle, tu avances vers le pont.
Lorsqu’elles arrivent à ton niveau, elles t’accostent bruyamment en riant aux éclats. Tu leur donnes une petite pièce et relève mon défi en leur soumettant ta requête particulière.
Apparemment l’idée les amuse et elles acceptent facilement, tu leur tends un stylo et remonte doucement ta robe. La première écris son prénom assez bas, mais rapidement les noms se font plus nombreux et tu remontes le niveau du tissus à mesure que la liste grimpe le long de tes cuisses. Elles ne peuvent pas louper la vue imprenable de ta chatte aux lèvres encore rouges d’excitations et luisantes. Une fois la dernière signature griffonnée sur ta chair elles t’offrent des bonbons et préservatifs et repartent en riant comme des folles !
Je te fais signe de me rejoindre, je quitte le banc et me glisse dans le bosquet de fleurs et arbustes qui se trouve sur la pelouse derrière.
Je crache dans ta bouche pour te féliciter et te demande un préservatif.
« Ouvre le et tiens le bien écarté sous ma chatte ! »
Tu souris en devinant ce que je m’apprête à faire.
Je pisse dans le préservatif qui se rempli, non sans en mettre un peu à côté, la chose n’étant pas des plus aisée. Ma pisse chaude coule donc sur tes mains et le préservatif est maintenant bien gonflé et a pris sa forme phallique. « Enlève l’emballage de quelques bonbons mous et plonge les dedans. » Tu obtempères, fascinée.
Je fais un noeud au bout du préservatif et te demande de te mettre à quatre pattes sur la pelouse, derrière les fleurs. Je dégage ton cul, que tu dresses fièrement vers moi. Je caresse ta raie avec le gode improvisé et ta chatte ne tarde pas à s’ouvrir comme une fleur carnivore ! Je l’enfonce dans ton vagin avide qui semble l’aspirer en toi et je commence une série de vas et viens. Tu ronronnes, tu sens le liquide chaud à travers le latex et les bonbons un peu plus dur qui flottent à l’intérieur. Je joue avec le Plug en accord avec le rythme imposé à ton sexe. Je le retire, le renfonce, crache sur ton cul ;
recommence. Tu gémis de plus en plus et cette fois ci ton vagin et ton anus se contractent dans une vague de plaisir qui explose dans ton ventre et tes tempes.
Je retire le préservatif et te le passe sur le visage, sur les lèvres, tu le lèches et le suces. Je le suspends à quelques centimètres de ton visage et je mords son extrémité pour faire une petite ouverture. Un petit jet concentré t’arrose le visage et tu ouvres la bouche pour t’en régaler. Je te le redonne à sucer, le niveau descend vite et le latex se ramolli. « Déchire plus le latex et récupères ce qu’il reste des bonbons, tu as bien mérité un susucre ma chienne pissounette ! »
Te voici avec les bonbons et le reste de pisse dans la bouche, je t’aide à te réajuster, t’embrasse et lèche ton visage. Tu me donnes un des bonbons dans un baiser torride et nous reprenons le chemin du centre ville.
Je t’emmène d’abord dans un magasin de chaussures. J’ai envie de te voir avec des chaussures plus fines et de plus hauts talons.
Nous en sélectionnons quelques unes et nous cherchons une place pour les essayer. Je fouille dans mon sac et te glisse quelque chose dans la main. Il s’agit de l’oeuf vibrant télécommandé. Sans besoin de plus de précision, tu le glisses sous ta robe et l’enfile dans l’écrin soyeux de ton vagin. Je fais mine d’aller regarder d’autres chaussures et te fais signe de demander à une vendeuse de t’aider.
« Bien sûr, je vous en prie Madame, je vois que vous avez sélectionné de très jolis modèles ! Ils ont un succès fou.
De ma place, je ne rate rien, je te regarde, un peu gênée, presque tremblante à l’idée qu’elle a toutes les chances de découvrir ton entre cuisses nu et humide. J’enclenche le mécanisme du jouet qui se trouve bien au chaud dans ta minette. Tu sens les vibrations, les entends même, tu as l’impression que tout le magasin les entends.
Ta chatte, déjà bien trempée se met rapidement à couler, tes doigts se fond maladroits sur les lanières de la chaussure et la vendeuse s’accroupie pour te venir en aide. Tu es rouge écarlate. Assise sur le tabouret, tu sens le Plug profondément encré en toi et ta cyprine dégouliner de ta vulve en feu.
« Ces chaussures sont faites pour v… » Le regard de la fille a du croiser le haut de tes cuisses, car elle ne termine pas sa phrase et penche la tête, hyper concentrée sur ton pied. Je m’amuse de nombreuses minutes de votre embarra et puis j’interviens et montre la paire de chaussures que j’avais déjà choisie du premier regard.
Nous passons en caisse et à peine sommes nous sorties que la vendeuse s’empressent de faire des commentaires scabreux à sa patronne qui nous dévisage outrée à travers la porte.
Nous nous éloignons, et je te regarde l’oeil complice. Nous éclatons de rire !
Nous passons sur une petite place. Il y a une fontaine et une petite église .Je m’assoie sur un banc, et je te demande de t’assoir sur celui d’en face, en emportant avec toi la bouteille thermos. Tu dois non pas t’installer sur le siège mais t’assoir sur le bord du dossier, jambes suffisamment ouvertes. Tu ouvres la bouteille et te finis son contenu.
Quelques passants traversent la place, tous ne font pas attention à toi mais tu es certaines que les jeunes un peu plus loin non rien louper de ton anatomie , un peu trop offerte au regard sous ta robe .
Je me lève et te fais signe de venir me rejoindre. Tu arrives à moi et je mange tes lèvres, crachant dans ta bouche. Les ados, avec leurs scooters aux abords de la place ne doivent pas en revenir. Je te dis que tes nouvelles chaussures sont déjà sales, tu as du laisser tomber une goutte sur elles, grosse cochonne !
« Penche toi, jambes droites et nettoie moi ça tout de suite ! » Tu t’exécutes, offrant un bouquet final au spectacle qui a subjugué les gamins depuis notre arrivée sur la place.
Les ados nous invectives lorsque nous nous éloignons, le plus branleur de tous ne tardent pas à t’affubler de charmants sobriquets donc le manque d’imagination et la vulgarité fait pathétiquement résonnance avec leur manque insondable de culture et d’imagination.
Malheureusement la lâcheté se noie régulièrement dans la force du nombre et nos lascars sont maintenant dans notre sillage et ça n’augure rien de bon….
Je bifurque dans une rue commerçante et nous disparaissons dans la foule d’un samedi après midi ensoleillé. Nous entrons dans une librairie, par chance, il y a une seconde entrée qui donne dans une autre rue derrière.
Là nous passons devant un sexshop, je te regarde malicieusement, te souris et t’invite à pousser la porte.
Un grand merci à Mia Michaels et Bruce Morgan pour leur autorisation à utiliser leurs images et dessins pour illustrer mes récits.
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