Séjour au gîte : suite...

 

 

CHAPITRE 3 : Le SEX SHOP

 


Là nous avons une sacrée chance, ce n’est pas un gros type libidineux qui se trouve à la caisse mais une femme élégante, environ 35 ans, rousse, cheveux bouclés, très souriante mais on sent tout de suite qu’elle a l’habitude de gérer n’importe quel opportun un peu trop familier.
Nous discutons avec elle. Elle est sympa et détendue. Elle parle simplement de son métier comme si elle vendait des dragées pour un mariage. Elle nous raconte quelques anecdotes, nous précise que si un ingérable venait à se présenter, son frère qui est magasinier et travaille dans la remise du stock et l’entretient des cabines de projections interviendrait sans retard
Elle nous demande si nous fréquentons les boîtes libertines, je lui réponds que je suis exclusivement lesbienne et que tu es ma fidèle soumise. J’ai déjà été dans un club libertin en compagnie d’une amie et je reconnais que les femmes ne sont pas importunées, ce sont le plus souvent elles qui décident.
Cependant je préfèrerais un lieu dévolu aux plaisirs saphiques et sans tabous.
« Malheureusement il n’y en a pas ici, mais je connais un club privé à une trentaine de km d’ici, je peux me renseigner pour vous obtenir des invitations. »
Je la remercie et nous lui demandons si nous pouvons essayer un peu de lingerie dans sa boutique.
« Bien entendu ! Il y a une cabine, juste à côté des cabines de projections. Choisissez quelques modèles et installez-vous. »
Tu remarques que je me penche vers son oreille et lui demande quelque chose discrètement. Elle sourit en te regardant et acquiesce d’un signe de tête.
Je choisis un corset avec un entrelacs de chaînes et un ensemble en dentelles qui laisse libre d’accès tes orifices mais qui recouvre presque entièrement le reste de ton corps.
A peine es tu dans la cabine que je t’ordonne de te déshabiller entièrement. Un peu gênée, tu obtempères néanmoins et te voici nue comme un ver, les cuisses encore luisantes de ta mouille et le Plug visible entre tes fesses.
J’entre et je sors, allant chercher de nouvelles tenues à te faire essayer, ouvrant en grand le rideau à chaque fois. Je discute avec la patronne, elle te regarde par-dessus mon épaule, souriante.
Je lui dis que j’aimerais te faire essayer quelques accessoires mais nous ne pourrons pas tout acheter.
A ce moment là, un type un peu rondouillard, les tempes grisonnantes sort de la cabine de projection la plus proche de la cabine d’essayage.
Il est dans un premier temps extrêmement gêner d’avoir des femmes présentes dans la boutique témoins de sa petite habitude libidineuse de cinéphile très spécialisé.
Cependant il te remarque rapidement, fesses à l’air en train d’enfiler avec maintes précautions l’ensemble en dentelles. Son naturel de voyeur vicieux reprend vite le dessus sur la bien séance et il ne te lâche pas de ses yeux globuleux et avides. La patronne qui a toute l’expérience nécessaire trouve rapidement le moyen de le distraire, lui conseillant dvd et accessoires des plus onéreux que le client trop content du bonus de spectacle qui lui a été offert paye content avant d’être reconduit sans en avoir l’air vers la sortie par notre hôtesse.
« Grâce à vous je viens de gagner un habitué inconditionnel ! Puisque vous m’êtes agréables et que vous me portez chance, je vais vous donnez accès à mon stock personnel et vous pourrez les essayer ! » Et elle ouvre un placard où se trouvent de nombreux sextoys et gadgets divers et variés, du plus courant au plus insolite.
« Merci ! Je voulais aussi vous demander si vous auriez dans vos articles, une culotte en latex transparente ?
-Comme celle –ci ? Me montre t elle sur un présentoir d’accessoires SM.
-Parfait ! Nous la prendrons ! Elle remarque que mon attention est retenue par un Plug gonflable ainsi qu’un chapelet anal avec des boules particulièrement grosses, de la taille d’une balle de golf au moins.
-Vous voulez les essayer ?
-Ici ? Ça serait possible ?
-C’est moi la patronne ! me répond-elle avec un clin d’oeil complice. »
Je suis toute excitée et je te fais signe de venir nous rejoindre à quatre pattes afin que tu remercies notre hôtesse.
Tu te dandines et te frotte à elle comme la bonne chienne que tu es. La patronne joue le jeu à fond et te caresse la croupe.
Je lui montre à quel point tu m’es soumises et d’un signe tu comprends ce que j’attends de toi. Tu ouvres grandement la bouche et je crache plusieurs fois dedans.
Je la regarde et lui demande : « Voulez vous également… ?
-Je peux ? Merci, c’est fort généreux de votre part ! Je m’appelle Claudine au fait ! » Et elle crache à son tour dans ta bouche toujours ouverte et déjà pleine de ma salive.
« Enchantée Claudine, mon prénom est Lucie et voici ma Pissounette !
-Pissounette ? Quel nom intéressant, Je vois que vous aimez les fantaisies humides ! »
Je lui souris d’un air complice. « Vous souhaitez une démonstration ?
-Ma foi… pourquoi pas, j’avoue être assez curieuse de voir ça ! Vous avez besoin de quelque chose ?
-D’ordinaire, Pissounette a son écuelle personnelle mais n’importe quel récipient fera son affaire.
Elle se penche derrière son comptoir et en sort une sorte de saladier ou bol en inox.
« Posez-le devant elle, à côté du comptoir ! »
Tu me regardes, dans tes yeux, avalant la salive qui remplie ta bouche. Je sens le cruel dilemme qui a perturbe ton esprit. Tu sais ce que j’attends de toi, tu l’as déjà fait si souvent, mais là, dans un lieu public … Où des clients sont susceptibles d’entrer à tout moment…. Cette situation te terrifie et t’excite à la fois.
« Voulez vous que je le fasse ou auriez vous une envie de vous soulager ?
Je vois tout de suite son visage s’illuminer, elle n’aurait pas osé le demander, sans compter qu’elle n’a jamais du faire ce genre de choses mais la situation l’émoustille au plus au point apparemment et elle ne me le fait pas dire deux fois !
Un peu en retrait dans l’angle de son comptoir, elle baisse son pantalon en cuir et sa culotte par la même occasion. Elle porte des bottes munie de talons très hauts.
La voici accroupie au dessus du récipient et au bout de quelques instants, la cascade de son urine nous chante sa douce mélopée et l’odeur monte dans la pièce.
La couleur d’or du liquide chaud et un peu moussant étincelle de milles feux en se reflétant dans les rebords en inox.
Le bol a une bonne contenance, sûrement près d’un demi litre et elle avait apparemment une sacrée envie !
« Si vous le souhaitez, Pissounette peut également vous nettoyer.
-Mmmh , avec plaisir ! » Et à mon signal tu viens coller ta truffe de bonne chienne contre sa minette trempée et odorante. Elle a une belle toison bouclée, abondante et bien
rousse. Tes bruits de succions témoignent de ton application à la débarrasser de la moindre goutte d’urine. Elle semble largement apprécier ton savoir faire, et ne tarde pas à gémir doucement.
Une fois sa toilette terminée, tu penches ta tête vers le saladier rempli de pisse et commences sans tarder à laper le précieux nectar. Ta position est parfaite, cul dressé, le Plug bien visible entre tes fesses.
La porte s’ouvre ! Tu marques un arrêt mais comme je ne réagis pas, tu gardes la tête baissée, presque plongée dans le saladier et poursuis ta dégustation, un cruel mélange d’humiliation et de plaisir honteux fait monter un frisson glacial le long de ta colonne vertébrale.
Un couple entre dans le magasin, lui les tempes grisonnantes, allure sportive et assez classe et elle, pas plus de 25 ans, asiatique et habillée d’une petite robe moulante, très sexy, bas et chaussures à talons. Elle te regarde avec dédain et mépris. Lui semble plus troublé par le spectacle. Elle le prend par le bras et le pousse vers le fond du magasin,
Toi, tu continues à laper, mais ça ne va pas assez vite, son urine est beaucoup plus forte que la mienne et tu as un peu de mal alors je commence par te claquer les fesses pour te faire accélérer et tu aspires à présent la pisse avec avidité.
Claudine me propose un fouet à plusieurs lanières qui remplace avantageusement mes mains.
Tes fesses deviennent vite écarlates et tu les sens bouillir. Je cesse quelques instants la pluie de coups qui en est la cause. Je souffle doucement sur tes fesses endolories et je les caresse.
« Ecarte les avec tes mains ma chienne !
-Ouiipp… Maîtresslllurp ! Je les écarte en grand, slurp ! » Réponds tu le visage toujours plongé dans l’urine de Claudine. Celle-ci semble comme envoutée par le spectacle !
Je retire délicatement le Plug de ton cul, Tire sur tes cheveux pour redresser ta tête et te l’enfonce dans la bouche.
Je fais signe à Claudine de me passer le chapelet d’énormes boules en silicone mais elle me suggère autre chose. Elle ouvre une boîte rangée dans son placard, il y a tout un ensemble, avec des chaînes fines munies de pinces , un collier ainsi qu’une autre chaîne reliée à un crochet en argent terminé par une boule.
Elle vient m’aider à te passer l’équipement. Les pinces sont au nombre de quatre. La première paire se fixe sur les lèvres de ta chatte, elle-même est reliée par une chaîne à
la seconde paire que l’on fixe sur tes mamelons. La chaîne remonte à ton cou pour se fixer à ton collier de chienne pour redescendre dans ton dos le long de la colonne vertébrale. Au bout de la chaîne, le crochet, je la laisse te l’enfoncer dans le rectum.
La chaîne n’est pas extensible et le moindre mouvement de tête en avant ou en arrière tire sur les pinces ou bien sur ton anus.
Je prends parmi les accessoires une sorte de tapette plate avec un long manche très souple. Je reprends une nouvelle série de coups sur ton postérieur et tu pousses de petits cris. Claudine se place accroupie à tes côtés et prends la gamelle entre ses mains pour la porter à tes lèvres et t’aider à finir ton breuvage.
Au fond du magasin, le type ne tient visiblement plus et il négocie à voix basse avec la minette qui l’accompagne. Celle-ci se fait un peu prier mais apparemment il finit par trouver les bons arguments parce qu’elle se ravise et s’agenouille devant lui. Déboutonne son pantalon et sort son pénis déjà dressé.
Elle le branle quelques instants et finalement le prends en bouche.
Toi tu les regarde, le goût amer de la pisse de Claudine toujours dans ta bouche. Chacun de tes mouvements entraine une douleur supplémentaire, sans compter les coups sur ton cul. Mais tu sens ta chatte couler d’une abondante cyprine et tes sens sont proches de la fusion !
J’actionne les vibrations de l’oeuf bien au chaud dans ton vagin et tu es bientôt prise de spasmes, le plaisir et l’excitation dépassant les douleurs.
Tu finis par jouir en hurlant malgré le Plug qui te bâillonne toujours la bouche.
L’homme ne tient pas plus longtemps et il éjacule dans la bouche de sa compagne qui ne semble pas du tout apprécier le cadeau surprise !
Elle l’engueule et sort précipitamment du magasin, il la suit en courant pour la rattraper , le pantalon encore ouvert et sa chemise défaite.
« Vous l’avez merveilleusement bien dressée votre Pissounette !
-Merci Claudine, mais elle montrait de parfaites dispositions, je n’ai fait que les révéler davantage ! » Je remarque que la fille a recraché la semence de son jules sur le carrelage.
« Elle est bi, si vous le souhaitez, elle peut même nettoyer les cochonneries du couple de malotrus qui vient de sortir ! » Claudine sourit, apparemment l’idée la séduit et je te conduis à la tache blanchâtre et visqueuse abandonnée sur le carrelage.
Toujours à quatre pattes, et malgré les tiraillements de ton accoutrement , tu baisses ton buste et ton visage pour lécher le sol souillé.
« Lucie, je suis admirative ! Je suis persuadée que le club privé dont je vous ai parlé sera plus qu’enchanté de vous compter toutes les deux parmi ses invités. Je vais prendre vos coordonnées et vous tenir rapidement au courant !
-Merci Claudine ! » je me penche pour te libérer de tes chaînes et pinces. Tu grimaces lorsque les mâchoires mécaniques s’ouvrent pour libérer tes chairs enflammées.
Nous vous remercions pour votre accueil et votre générosité, je vais vous prendre ce Plug gonflable (en le disant, je te l’introduis avec précaution dans ton anus déjà pas mal malmené depuis ce matin.) Il nous faut également une culotte transparente et suffisamment hermétique ainsi que le chapelet de boules en silicone. Nous prendrons également le corset avec les chaînes et un spéculum.
-Et moi je vous offre la parure de chaînes et le crochet anal, ce n’est pas tous les jours que je rencontre de pareilles clientes ! »
Tu te rhabilles, enfile la culotte en latex et je presse un peu sur la pompe pour gonfler le Plug.
Claudine nous fait la bise et nous promet de nous tenir rapidement au courant pour la soirée dans le club privé.
Il nous reste encore un peu de temps avant l’heure de la réservation.
Nous entrons dans un bar pour boire une bière et pour que je remplisse à nouveau ton thermos aux toilettes. Évidemment tu portes toujours ton collier de soumise. Nous marchons dans la vieille ville. Ta vessie doit commencer à t'indisposer grandement si j'en juge ta démarche moins assurée. Par moments, j'active les vibrations de l'oeuf lové dans ta minette. Je profite d'une porte cochère pour te rouler un énorme patin, je passe ma main sous ta jupe pour vérifier l'état de la culotte, j'en profite pour appuyer sur l'extrémité du Plug à travers le latex.
Nous continuons notre route à travers les petites rues, tu te dandines davantage, je sors la télécommande de l’oeuf de mon sac et actionne les vibrations. Cela ne tarde pas à te faire de l'effet, tu as les joues rouges, tu dois sentir la chaleur t'envahir et ton ventre prêt à fondre et tu ne pourras résister très longtemps sans libérer un tant soit peu ta vessie! 

  


Un grand merci à Mia Michaels et Bruce Morgan pour leur autorisation à utiliser leurs images et dessins pour illustrer mes récits.    

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