VIRGINIE

 


 

 
Nous nous étions donné rendez vous à la terrasse d'un café samedi en
début d'après midi. Virginie est une brune avec une mèche argentée, ~1m72 ,
piercing arcade sourcilière gauche, narine, langue , nombril, mamelons et clito.
Elle aime bien les looks un peu déjantés, elle a eu une période gothique, punk et
elle aime les trucs un peu fun.
Je lui ai demandé de venir en jupe courte, leggings en lui précisant bien qu'elle
ne devait pas en choisir un auquel elle tient particulièrement car il risquait de
ne pas rester intact, un collier de soumission avec un anneau, pas de culotte ni
de sous tifs évidemment, un plug anal et la vessie déjà remplie (évidemment!).
Je me suis arrangée pour arriver la première, je suis donc assise en
terrasse, lunettes de soleil parce que malgré quelques nuages, le soleil est de
retour et c'est bien agréable! Je porte une jupe asymétrique en cuir, bottines
à talons, cuir également, chemisier noir avec transparences dentelles , en
dessous petit bustier, veste rouge sang en cuir. je porte des bas noir dim-up ,
un string rouge.
Je bois un thé en l'attendant, je l'aperçois à l'autre bout de la place qu'elle
traverse pour rejoindre le bar, me cherchant des yeux.
Son visage fermé s'éclaire d'un franc sourire lorsqu'elle me reconnaît.
Elle porte une sorte de blouson en cuir pour motarde , elle est bien en jupe
courte sur leggings bariolé, rayures flashy horizontales, bottes de motardes à
lacets. Sa mèche est rouge aujourd'hui!Elle mâche son éternel
chewing-gum !
On s'embrasse et je lui dit que je viens de nous commander deux demis , bière
blonde.
Elle roule des yeux ( ses lunettes noires sur son front) et me dit: " Ouhhlala
maîtresse, je lutte déjà pour ne pas me transformer subitement en fontaine
public , c'est pas raisonnable!"
Je lui rappelle que je ne lui ai pas demandé son avis ,que je sais que ce doit être
difficile et que ça n'est pas mon problème!
Je lui montre une poche dans laquelle il y a des friandises, boules de
chewing-gum , bonbons , carambars ...) en lui demandant si elle se rappelle
notre conversation au sujet mon weekend sur Paris avec mon amie Anne-Marie.
Elle rougit presque et son regard pétille, elle me dit:" tu... tu veux faire la
même chose ici?"
Je ris et je lui dit que c'est déjà fait, qu'un carambar et une boule de
chewing-gum l'attendait déjà bien au chaud dans mon cul!
Elle me répond que c'est cruel de ma part de jouer ainsi avec sa gourmandise
et que son dentiste va encore la sermonner!
je la vois se tortiller de plus en plus , ça m'amuse.
Elle se mord les lèvres,, sers les cuisses, se retient de me supplier.
Je prends mon temps pour savourer ma bière, tout en l'encourageant à
m'accompagner et à vider son verre.
Soudain elle devient toute rouge.
"Lucie, je crois que je ..."Psssss ... Oh! Oh! la coquine à des fuites.Une petite
flaque de forme sous sa chaise, Heureusement elle avait relevé sa jupe pour
s’asseoir directement sur son leggings. je lui dis de ne pas paniquer et de
stopper, elle y parvient.
"On va se faire jeter Lucie, c'est sûr!"
"Mais non, réponds je , personne n'a fait attention, je lui donne des mouchoirs
en papier pour essuyer la chaise en plastique puis je lui dis d'aller aux toilettes
l'air de rien, que je la suis , juste le temps de payer nos consommations à la
caisse .
Je dis au serveur que nous n'avons pas terminé nos verres mais que je viens
tout de même payer la facture.
Je descends l'escalier en colimaçon et j'arrive devant la porte des toilettes, il
y a trois cabines ( hommes et femmes et handicapés) je gratte à la porte de
la cabine "femmes" et Virginie m'ouvre.
sous la lumière crue, on voit encore mieux les traces humides sur son leggings,
heureusement elle n'a pas totalement lâché les vannes, je lui dis que ça va
sécher assez vite, il y a un peu de vent et du soleil.
Je lui dis de bien remonter sa jupe et de la tenir avec ses mains, cuisses bien
écartées.
Je sors une paire de ciseaux de mon sac , elle fait des yeux ronds , n'ose pas
me demander ce que je comte faire avec .
Je prends le tissus du collant entre mes doigts et je tire au niveau de l'entre
jambes, de découpe afin de dévoiler son pubis , sexe et je poursuis derrière
pour dégager ses fesses.
je lui donne les morceaux de tissus imbibés de pisse à sucer et je l'inspecte.
sa chatte est trempée et pas uniquement à cause de sa fuite involontaire, elle
sent aussi la fille excitée . son vagin est déjà ouvert et mes doigts se glissent
sans peine à l'intérieur.
je passe à son cul, j'écarte des fesses pour admirer le plug. Elle joue avec son
sphincter pour le faire bouger . "Huuummm!"
je tire dessus pour le faire sortir, je veux voir à quoi il ressemble! Elle pousse
et le jouet est expulsé de ses entrailles. Il est pas super gros mais à ma
surprise plutôt long . Je lui fais sentir, le passe sur ses lèvres, lui dis de
recracher le tissus dans ma main et de sucer le plug. Elle s'applique, le prenant
entièrement dans sa bouche en fermant les yeux.
En même temps je lui branle le cul avec trois de mes doigts qui n'ont eu aucune
difficulté à pénétrer son petit trou déjà assoupli .
je l'autorise à se caresser le clito simultanément et elle ne tarde pas à jouir,
ses cuisses tremblent et elle manque de tomber sur le carrelage des
chiottes.
Le jouet retrouve sa place dans son cul et elle me lèche les doigts.
Je sors une petite gourde de mon sac, je l'ouvre, lui ordonne de se tenir au
dessus de la cuvette et de la remplir.
Évidemment impossible de concentrer le flux dans le goulot de la gourde et
elle en met partout dessus, sa main également et l'intérieur de ses cuisses est
arrosé.
Sa pisse sent bon, ça m'excite , je sens ma chatte fondre.
la gourde est remplie, je lui dis de stopper sa miction avant d'être totalement
vide!
J'adore ce jeu de stop pipi! En plus c'est très bon pour le périnée !je tire sur
son marcel pour essuyer la gourde trempée, puis je porte la gourde à mes
lèvres.
Mmmmhhh! Je la félicite pour la saveur de son nectar, j'en avale deux rasades
puis j'en garde en bouche pour lui rouler une pelle .
je referme le couvercle de la gourde et la remet dans mon sac.
je lui dis: " à moi maintenant de me soulager un peu!"
je lui dis de mettre sa tête au dessus de la cuvette , bouche ouverte.
je fais glisser ma jupe à mes pieds, puis la retire, pour être plus à mon aise.
Je prends appuis avec un pied sur une des parois et je me place au dessus
d'elle, tirant sur mon string pour dégager ma minette .
Je pisse sur son visage , ça éclabousse pas mal, mais sa bouche se remplie, elle
avale ce qu'elle peut au fur et à mesure .
quelqu'un entre dans les toilettes. Je stoppe ma miction et nous retenons
notre souffle, avec une terrible envie d'exploser de rire.
La personne entre dans l’une des deux autres cabines, apparemment ce n'est
pas une femme et on entend l'équivalent des chutes du Niagara accompagné du
sifflement approximatif d'un tube à la mode.
Virginie, toujours à genoux , la tête au dessus de la cuvette ,dégoulinante
d'urine commence à me lécher la chatte et aspire le jus prisonnier de mes
replis intimes.
Je me mords les lèvres pour ne pas faire de bruit mais la laisse faire.
sa langue s'aventure maintenant sur ma rosette et cherche à s'y glisser . J'ai
très chaud et j'ai de plus en plus de mal à maintenir l'équilibre de ma position.
Le type se lave les mains , toujours en sifflant, semble prendre son temps
devant le miroir si bien que je me demande si il n'a pas entrepris d’ s'exploser
ses boutons d’acné!
La langue de virginie explore les profondeurs de mon rectum, je sens la sens
faire bouger les friandises que j'y avais dissimulées. Je pousse un peu , Elle
colle ses lèvres autour de mon anus et le carambar franchement ramolli passe
de mes entrailles à sa bouche gourmande.
Le type se décide enfin à partir et je change de position, je suis debout
devant ma soumise , à genoux sur le sol, le visage encore tout humide de mon
urine, les cheveux défaits et à moitié collé sur sa peau, le bâton de caramel
entre ses lèvres. Elle a les yeux mi-clos et semble prendre beaucoup de plaisir
à cette situation .
je me penche , lèche le caramel et la pisse sur sa peau autour de sa bouche puis
je lui fais signe de l'ouvrir et je crache dedans. Elle finit de manger la
friandise et je l'aide à se relever, on a mis un peu de pisse sur les rebords de
la cuvette et sur le sol mais je ne veux pas lui demander de lécher ça dans un
lieu comme celui ci, trop de risque qu'elle choppe une saloperie .
Je remets ma jupe, et je l'aide à se réajuster au mieux, elle a des traces
humides un peu partout et elle sent fort la pisse, nous sortons de la cabine et
je fouille dans mon sac pour lui donner une brosse pour se recoiffer un peu, je
lui prête aussi mon maquillage pour se refaire une beauté ( même si j'adorerai
la laisser ainsi, sauvage , lubrique et sensuelle et accrocher ma laisse à son
collier ) . Je sors la première et je retourne m’asseoir mais je me tourne vers
l'intérieur du bar pour la regarder sortir et observer les réactions éventuelles
des autres clients. Virginie sort, la tête haute, comme si de rien était , elle
m'épate ! On dirait qu'elle se fiche complètement de ce que peuvent penser
les autres ! à moins que ça ne l'excite? Les clients , eux , dans leur ensemble ne
remarquent rien, ils ne font pas attention à elle, à exception d’une femme
d’une cinquantaine d’années qui se dirige vers les toilettes et qui se retourne
légèrement en faisant une drôle de grimace en la croisant , ainsi qu’ une table
de jeunes, filles et garçons, collégiens je pense . Lorsqu'elle passe juste à côté
d'eux , une fille fait la grimace, une autre interpelle le reste de la tablée en se
bouchant le nez et tous se mettent à rire et à jacasser comme des pies , je ne
comprends pas ce qu'ils se disent mais les noms d'oiseaux doivent fuser à
l'encontre de mon amie ainsi que diverses amabilités.
Stoïque, elle s'assoit à mes côté . Je verse le reste de la gourde dans nos deux
verres, elle reprend le sien et nous trinquons à notre douce perversion!
Une fois nos verres vides, je lui propose d'aller faire un tour au parc, et je lui
glisse entre les lèvres un petit cadeau.
" Un petit chewing-gum pour te féliciter ma chérie, tu te rappelles de lui?"
Elle me sourit , toujours une étincelle dans les yeux et elle me remercie comme
si je lui offrais une bague!
Elle le sent un moment, l'embrasse et fini par le prendre dans sa bouche pour
commencer à le mâcher.
Décidément, cette fille m'épate !
Nous arrivons au parc, après avoir marché un moment et discuté ensemble de
ma rencontre avec Frédérique, mais sans lui parler pour l'instant de l'épisode
canin , je lui demande de s'asseoir sur un banc, un peu isolé, devant un plan
d'eau ou quelques canards se chamaillent , je lui indique que je vais m'installer
sur un banc plus loin, mais que je ne la perd pas de vue et que je ne perdrais
rien du spectacle. Mes ordres sont clairs, elle doit ouvrir assez grandes ses
jambes, se caresser la chatte tout en pissant tout doucement. Je sais que je
lui demande beaucoup alors que nous ne nous connaissons que depuis peu de
temps mais son audace et son enthousiasme m'encouragent vivement à la
pousser toujours un peu plus loin.
Elle n'hésite pas une seconde , remontant même sa jupe. De là où je suis , je lui
tape des indications et des remarques via sms , elle garde son téléphone en vue
pour lire mes messages à chaque alerte tout en poursuivant sa masturbation.
Je lui écris que de ma place, je vois nettement sa belle chatte mise en valeur
par le trou découpé dans son leggings.
je vois un filet de pisse maintenant, ça coule sous ses fesses , à travers les
planches de bois du banc et commence à former une flaque de boue en dessous.
discrètement je me caresse moi aussi en serrant mes cuisses l'une contre
l'autre.
Deux vieilles qui se promènent , avec des poches de pain sec , probablement
pour nourrir les canards te surprennent , elles sont scandalisées et l'une d'elle
commence à injurier ma soumise ; l'autre parle de prévenir la police ou le
gardien du parc, je viens la récupérer, je leur dis de s'occuper de leur vieilles
fesses et de leur canards !
Elles reste cois quelques instants, je la prends par la main et nous nous
éloignons d’un pas ferme mais sans précipitation.
Elles recommencent vite à jacasser entres elles et à nous traiter de sales
petites garces lubriques !
Nous nous regardons et nous voici prises toutes les deux d’un fou rire
libérateur! La tension est passée et nous poursuivons notre ballade.
Une jeune femme promène son chien, il semble jeune lui aussi et très joueur.
Elle adore son animal , c’est évident . À un moment , elle s’accroupie pour le
caresser et se laisse lécher le visage par son très affectueux compagnon à
quatre pattes.
Je vois là l’occasion de parler des plaisirs défendus de Fred, je commence par
lui dire “ tu crois qu’elle le laisse la lécher partout comme ça?
- ça je sais pas Lucie, mais à mon avis une langue comme ça doit faire un sacré
effet! ( oh!oh! Voici une réponse qui laisse entrevoir certaines possibilités!)
-ça tu l’as dit! Et si ça se trouve elle ne se contente pas de se faire lécher!
-Hi!Hi! Oui je la vois bien avec sa tête de gentille petite fille modèle se faire
prendre en levrette par son clebs !
-Tu as déjà vu ce genre de choses?
-quelques fois sur des vidéos, oui...
-ça t’a fait quelque chose? Dégoût ? Envie?
-j’ai trouvé ça rigolo!
-tu sais quoi? Tu te rappelles que je t’ai dis que Fred m’avait réservé une
surprise à laquelle je ne m’attendais pas?
-Oui? Tu ne m’en avais pas dis plus...
-et bien figures toi que la miss entretien une relation des plus intimes avec son
gentil toutou!
-Whaaaooo! C’est vrai??Elle te l’as dit ou tu l’as vue?
-Les deux, elle m’a fait une démonstration!”
Et je lui raconte tout en détails, je scrute ses réactions, aucun signe de
dégoût, un peu d’amusement, de la curiosité et je décèle presque un début
d’excitation!
“Tu crois qu’elle pourra nous faire une démonstration lorsque je viendrais avec
toi?
-Bien entendu! “
Bingo! La voici clairement intéressée, pas de précipitation, j’improviserai le
moment venu et je verrai si elle se contente de regarder ou bien si elle est
prête à participer!
Et là elle me raconte un truc auquel je ne m’attendais pas !
“Tu sais Lucie, ça me rappelle des souvenirs...”
Et elle me raconte que lorsque elle était ado, ils avaient un chien, un Épagneul
Breton, elle et lui étaient inséparables, elle l’a chouchouté lorsqu’il était chiot
et le chien lui rendait bien son affection.
Elle était fascinée de le voir s’exciter tout seul lorsqu’il eut atteint sa
maturité sexuelle et un jour elle osa toucher ce sexe qui l’intriguait.
Elle avait déjà masturbé un mec avec qui elle sortait à l’époque, en fait , ils
n’ont jamais couchés ensemble, elle n’a jamais vraiment été assez motivée pour
le faire , mais il lui faisait un peu de peine, il était doux et patient, alors elle a
accepté de le branler pour compenser.
Elle a voulu voir si elle pouvait faire jouir son chien et elle l’a masturbé!
Celui ci était un peu nerveux au départ et passait son temps à venir lui lécher
la main ou le visage mais elle a réussi à le relaxer et elle a commencé à le
caresser. Il lui fallu un certain temps mais elle parvint à le branler
correctement et à le faire jouir, elle avait de la semence plein les mains et ça
l’avait même un peu aspergée , son T-shirt était taché et ça sentait assez fort.
Elle alla même jusqu’à me confier qu’elle avait gouté le sperme sur ses doigts.
À ces mots, mon esprit ne fait qu’un tour et j’envisage la rencontre de mes
deux soumises sous un angle beaucoup plus clair!
Je lui dis que si elle le souhaite, elle pourra aider Fred et même participer.
Sans refuser , elle se contente de me dire qu’elle ne sait pas, qu’elle verra ,
selon comment ça se passe et si elle en a envie.
Puis elle me dit, maintenant , tu peux aussi très bien ne pas me demander mon
avis! Je suis ta soumise et je te dois obéissance absolue!
Je lui réponds que ça n’est pas tombé dans l’oreille d’une sourde et que je
saurais lui rappeler en temps voulu!
Pour seule réponse elle m’embrasse sur la bouche!
Le temps passe et notre après midi fond comme neige au soleil, je lui propose
de trouver un endroit plus tranquille. Elle me propose de prendre sa voiture.
Nous voici maintenant hors de la ville, en pleine campagne . Elle me dit
qu’elle connait un petit coin de nature , au bord de l’eau qui n’est que rarement
fréquenté, nous ne devrions pas être importunées.
J’ai remonté sa jupe et je la caresse, elle sent toujours la pisse et je suis
trempée.
Un quart d’heure et quelques petites routes et chemins plus tard, nous voici
près d’un petit pont de pierre.
Nous y laissons la voiture et ses vêtements , elle est nue et je retire mon
string que je roule en boule pour lui mettre dans la bouche. Je prends un plaid
qui se trouve dans le coffre et une laisse que j’accroche à son collier.
Nous descendons sur un côté du pont puis nous suivons le lit de la rivière.
L’endroit est boisé et charmant, manquerait plus que nous ne tombions sur des
pêcheurs!
Heureusement, personne à l’horizon et une fois à l’abri derrière quelques
arbres, je recouvre le sol avec la couverture.
Elle est à quatre pattes, son cul dressé expose son intimité ainsi que la base du
plug et là je regrette que ce ne soit pas une queue d’animal postiche.
Je lui dis qu’elle est ma chienne et que je vais la marquer de mon odeur.
Je relève ma jupe et je lui pisse dessus , fesses , dos , épaules, nuque pour
finir par ses cheveux et son visage.
Je m’allonge sur le plaid en écartant bien les cuisses:
“Montre à ta maîtresse la bonne chienne affectueuse que tu es ! Lèche moi
comme un animal !”
Elle me renifle et lape mon sexe pisseux et plein de mouille comme une chatte
son bol de lait .
Ses doigts fouillent mon cul et elle alterne maintenant coups de langue et
succion et je défaille, je la traite de chienne en chaleur lubrique buveuse de
pisse et je jouis bruyamment!
Je souffle un instant puis lui ordonne de se placer en 69, je ne veux pas qu’on
se quitte sans m’enivrer de ses saveurs intimes et sauvages.
Je lèche sa peau si douce et encore parfumée d’urine, le goût de sa cyprine
prend le dessus et j’enfonce ma langue entre ses lèvres.
Je joue avec le plug , elle gémit , tout en poursuivant ses coups de langue sur
ma minette en feu.
J’aspire maintenant son clito et joue avec son piercing.
Je sors entièrement le jouet de son cul, il n’est plus très propre... Je le remets
en place et la branle avec.
Elle me crie qu’elle voudrait que je la fiste, ça ne serait pas pour me déplaire
mais pas ici, je lui promets pour la prochaine fois.
Nous jouissons une fois de plus et je lui demande de me pisser dans la bouche
une dernière fois avant que nous ne reprenions la route et qu’elle me ramène à
ma voiture ( enfin celle qu’on m’a prêtée ).
Elle pisse par saccades , assez bien maîtrisées, j’en ai un peu sur le visage et le
coup mais j’en bois la plus grande partie.
Elle s’allonge un peu à mes côtés et je l’enlace, je l’embrasse tendrement et
lui dit qu’elle m’a vraiment impressionnée aujourd’hui.
Elle me remercie de lui donner l’opportunité de vivre ce genre de choses;
qu’elle en rêve depuis longtemps et qu’elle a l’impression de vivre un rêve
éveillé.
Nous aimerions que cet instant s’éternise mais le temps passe et nous sommes
attendues chacune de notre côté. Qui plus est, elle commence à avoir froid, sa
peau se couvre de chair de poule et elle tremble un peu, je l’enveloppe dans la
couverture et nous retournons vers la voiture.
Avant le dernier baiser de la journée, devant ma voiture où elle me dépose, je
lui promet de voir avec Fred pour arrêter une date pour les réunir toutes les
deux.
Elle m’embrasse avec fougue et je démarre la voiture. Je la vois dans le
rétroviseur qui ne me lâche pas des yeux tant que je suis dans sa ligne de vue. 




 
 
Un grand merci à Mia Michaels et Bruce Morgan pour leur autorisation à utiliser leurs images et dessins pour illustrer mes récits.

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