Les vacances particulières de Noémie


 

2. Un tour au marché

 

 
Nous remontons l'allée qui part du gîte pour rejoindre la route. L’arrêt de bus se trouve à
cinquante mètres sur la route . Tu nous devances de quelques mètres, un peu empotée.
Arrivées à l’arrêt de bus, nous attendons son passage. Nous chuchotons entre nous, bien
entendu tu ne parviens pas à comprendre quoique ce soit à ce que nous disons , mais tu te
doutes que nous parlons de toi. Tu nous vois rire, tu baisses la tête , honteuse.
Une vieille dame arrive à son tour à l'arrêt de bus, très rapidement ,elle sent l'odeur d'urine
qui se dégage de toi, tes vêtements ne sont même pas encore tout à fait secs , d’autant qu’il
fait chaud et que tu transpires. Tu rougis et ne sais plus où te mettre, tu aimerais disparaître
sous une pierre .Elle te regarde bizarrement et prends ses distances.
Le bus arrive enfin. La dame monte en premier, elle paye et prend sa place à l’avant du bus.
Tu montes avant nous, ( je t'ai donné de quoi payer ton ticket avant que nous ne quittions le
gîte ).
Le chauffeur te regarde lui aussi bizarrement mais il prend ta monnaie et tu vas t'assoir sur
la place la plus à l’écart du reste des voyageurs.
Après avoir payé nos billets nous avançons directement au fond du bus, mais nous ne te
perdons pas de vue.
Le bus repart.
Nous avons chacune des gourdes remplie de thé glacé et nous ne nous privons pas d'en
profiter. Il n'y a pas de clim dans le bus et toi, tu n’as rien à boire pour te rafraichir.
L'odeur devient de plus en plus forte, elle envahit l’intérieur du véhicule. Cette situation te
stresse et tu transpires encore plus.
Au fur et à mesure des arrêts le bus se remplie. Tu as de plus en plus soif et tu redoutes que
par manque de place , des gens viennent s’assoir juste à côté de toi.
D’ailleurs la dernière place vacante ne tarde pas à être celle juste à côté de toi.
Tu pries pour que personne d'autres ne monte.
Malheureusement, si quelques personnes descendent bien à l'arrêt suivant, autant remonte
dont un homme d’une soixantaine d'années qui n’a d’autre choix que de s’assoir à tes côtés.
Tu es rouge de honte. Curieusement il ne semble pas indisposé par ton odeur, au contraire, il
commence à te regarder d'une étrange façon, avec un étincelle de lubricité dans le regard.
Tu te retournes et tu nous lances un regard inquiet , implorant notre aide.
Nous , à l'arrière, on a remarqué son manège. Nous pouffons.
L'homme se permet de te dire quelque chose:
“Bonjour mlle!
- Bonjour monsieur..
- Il fait bien chaud aujourd'hui
- Oui monsieur"
Tu n’oses pas le regarder.
“ Si je peux me permettre une question?”
Tu ne réponds pas.
Nous discutons entre nous , je surveille de près, je n’aime pas la tournure que ça prend et je
me tiens prête à intervenir si ça dégénère trop mais la seule chose que tu comprends c'est
Samia qui dit "non, non, laisse, c'est trop drôle..."
Il reprend:
“ Vous portez quoi comme parfum ? Et son sourire ne laisse plus aucune ambiguïté sur ses
intentions lubriques
Tu rougis encore davantage et je regarde tes pieds sans pouvoir répondre quoique ce soit.
Il commence à sortir son sexe en érection de son pantalon. Tu détournes le regard.
Je prends une photo avec mon tel.
Heureusement, nous arrivons enfin au terminus, sur la place centrale du village.
Au moment de descendre, il te colle un peu, tu sens son souffle sur ta nuque, tu fais de ton
mieux pour l’ignorer. Je suis juste derrière lui, je lui dis , tout bas:
“ Si j'étais toi , vieux porc lubrique, je rangerais bien vite mon attirail à alevins, sinon...”
Je lui montre la photo.
“Je la publie sur le net et je suis certaine que ta femme sera vite au courant!”
Il devient blême, sans voix, devient rouge écarlate, honteux de s'être fait chopper et empli
de fureur intérieure. Il se faufile pour passer devant tout le monde et il disparait aussi vite
que possible.
Samia : "oh... Lucie, t'es pas drôle... ils étaient tellement marrant tous les deux...
- On a pas besoin d'un satyre pour s'amuser, n'est ce pas les filles?”
Samia et Yuriko répondent en coeur:
“ c’est clair que non Lucie! On se débrouille bien mieux entre filles!!”
Nous sommes maintenant sur la place principale, près du port, c'est jour de marché.
Il est onze trente et la chaleur devient encore plus pesante, si l’urine a séché sur tes
vêtements , ta transpiration a pris le relais et tu embaumes sérieusement l’atmosphère!
Tu nous vois boire sans modération à nos gourdes remplies de thé glacé. Tu as de plus en plus
soif .
Je m'adresse à toi : “ Nous allons faire le marché ,suis nous,tu porteras les sacs!
- oui maitresse"
Tu restes donc quelques mètres derrière nous, je remarque que tu regardes avec insistance
Samia qui boit à pleine gorgée à sa gourde. Je sais que tu as très soif mais je te fais languir
jusqu’à ce que tu ne tiennes plus et me demande la permission de te désaltérer.
Nous passons à travers les ruelles bondées de monde; parmi les merveilleux fruits et légumes
d'un marché balnéaire .
Nous choisissons de belles tomates, des courgettes, poivrons ... à chaque nouvel achat, je te
tends la poche négligemment. Viens le tour des fruits , fraises, nectarines, pêches, raisins,
bananes...
Alors que je te tends la poche des nectarines, tu prends ton courage à deux mains et me
demande:
"Maitresse, puis je en manger une s’il vous plait ?
- Non! Mais tu as soif j'imagine ?
- Oui , énormément, maitresse!
- OK! Samia ,où en es tu avec ta gourde?
- Plus une goutte ma chérie!
- Très bien!
- Suis Samia derrière cette petite ruelle!
- Mais.... pourquoi maitresse si sa gourde est vide?
- Tu as soif oui ou non?”
Tu baisses les yeux, fixant mes pieds "oui maitresse, bien maitresse"
Elle te dit:
“ Allez , suis moi petite pouffe! on va pas y passer la journée! et ça commence à presser!
- Oui mademoiselle, je vous suis.
Vous disparaissez dans l'ombre de la ruelle,derrière les poubelles d'un restaurant .
Samia regarde à droite et à gauche et te tend sa gourde ouverte ( mais vide) " ici ça sera très
bien!"
- Heu... qu'est ce qui sera bien mademoiselle?"
Elle se tortille en faisant baisser son short moulant , elle ne porte pas de culotte , et
s'accroupie derrière la poubelle
“ Baisse toi et place la gourde sous ma chatte !
- Oui mademoiselle"
Samia écarte les lèvres de sa minette pour bien dégager le méat urinaire.
Le premier jet loupe le goulot de la gourde et t'arrose les mains!
“Fais attention! Tu gaspilles là!
- Oui pardon mademoiselle"
Elle reprend sa miction et cette fois le jet entre bien dans la gourde.
Tu es à genoux derrière elle , la main sous ses fesses. Avec tout ce qu'elle a bu, l'odeur n'est
pas très forte. Tu tiens bien la gourde contre sa chatte pour ne pas provoquer son courroux
avec d’éventuelles nouvelles fuites.
Le bruit de la place du marché te semble lointain, seul l’urine qui remplie le récipient
résonne dans ta tête.
Samia gémit un peu de contentement.
“ Nettoie moi la chatte maintenant, je n'ai rien pour m'essuyer!
- Heu... je... je n'ai rien non plus mademoiselle!
- Avec ta bouche évidemment petite catin!
- Vous... vous pouvez vous redresser un peu s’il vous plait mademoiselle?
- Mets toi à genoux par terre idiote!”
Sa chatte sent fort, elle est sombre de pigmentation, poils bien noirs ,dense et frisés même
si bien taillés. Elle te prend par les cheveux pour te pousser le visage contre sa chatte.
Tu gémis quand elle te tire les cheveux mais tu la lèches sans hésitation.
“ Mmmh c’est bien! Tu apprends vite petite chienne , on voit bien que ça te fait mouiller
comme une folle de sucer des chattes pisseuses!
- Mais je sens très mauvais, mademoiselle....
- Tu sens ce que tu dois sentir, la chienne en chaleur parfumée à la pisse! Et pas n'importe
quelle pisse! La pisse de tes maîtresses alors soit plus respectueuse !
- Oui mademoiselle"
- Bon, je dois être assez propre maintenant, on rejoint les autres, et fait attention à ta
gourde !
- Oui mademoiselle"
Elle se redresse et remonte son short, tu rebouches la gourde.
“ Lèche les bords, que ça ne sente pas trop la pisse!”
Tu passes ta langue partout où l’urine a coulé . Vous sortez de la ruelle pour venir nous
rejoindre!
Samia nous dit '' elle apprend vite ! tu l'as bien choisie encore une fois Lucie, trop forte!
-Mmmmh je suis fière de toi Noémie, d'ordinaire Samia est plutôt avare en compliment !”
Tu baisses les yeux sans répondre.
“ Bon, tu avais si soif tout à l'heure et là tu attends quoi pour te désaltérer?Tu as une gourde
pleine toi aussi maintenant!”
Tu regardes la gourde dans tes mains mais ne bouges pas...
“ C’est comme ça que tu remercies Samia? en faisant encore la difficile?”
Tu ouvres la gourde et te mouille a peine les lèvres...
“ Ah non! mieux que ça jeune fille! sinon on va finir par croire que tu es une petite comédienne
qui faisait semblant d'avoir soif et tu sais ce qu'on fait aux vilaines filles, n'est ce pas qu'elle
le sait Yuriko?
- Oui, elle en a une petite idée! C’est certain Lucie mais je suis toute prête à lui rafraichir la
mémoire !" dit Yuriko avec un large sourire.
Tu portes à nouveau la gourde à la bouche et en boit une grande gorgée.
“ C’est mieux, on veut t'entendre et te voir déglutir, alors applique toi!”
Tu recommences et déglutis bruyamment pour nous satisfaire
“ Ah!!! C’est beaucoup mieux en effet ! C'est quand même idiot de se laisser mourir de soif
alors qu'on t’offre de quoi te désaltérer , n'est ce pas?
- Oui maitresse!”
Samia: "Alors bois encore sale putain!"
Et tu bois une gorgée de plus.
“ Si c’est la peur de tout boire et de ne plus rien avoir pour plus tard qui te bloque,rassure toi,
nous sommes toutes les trois aussi pleines que possibles et toujours prêtes à te faire le plein!”
Et nous rions toutes les trois, tu rougis et regardes les pieds de Samia.
“Allez, dépêche toi à finir ta gourde! nous ne voudrions pas que tes parents pensent qu'on te
laisse de déshydrater!”
Tu portes à nouveau la gourde a ta bouche et avale ce qui reste. ça fait beaucoup d'un coup et
tu as un renvoie.
“Burp!”
Yuriko: “Te voici avec une halène des plus fraiche ma chérie! hi hi hi!
- Maintenant que dis tu à Samia petite ingrate?
- Heu... m... merci...?
- Merci qui? merci mon chien?
- Merci mademoiselle Samia!
- C’est mieux ! Tu aimes les carottes?”
La question te surprend... "heu... ou... oui maitresse"
- Très bien on va jouer à un petit jeu et tu pourras en manger une! Tu auras peut être même
droit à une nectarine après!
- Merci maitresse"
Nous nous mettons autour de toi , pour que les passants ne remarque pas trop notre manège.
Yuriko sort une longue carotte, près d’une vingtaine de cm, assez fine mais un peu évasée
vers sa base.
“ Montre nous comment tu la suces!”
Tu la prends en main et commences a sucer le bout, juste quelques cm , timidement,
maladroitement.
“ Ooh c’est très timide ça ! je suis certaine que tu peux faire mieux !
Yuriko pousse le légume au fond de ta gorge, elle butte contre le fond de ma bouche, elle
force encore et tu as une réaction de reflux,tu salives abondamment et un peu de l’urine
présente dans ton estomac te remonte dans la bouche.
Tu recraches la carotte précipitamment et parviens à contenir cette nausée. La carotte est
toute gluante de bave.
“ C’est bon ! ça ira!
Samia: "mais il faudra qu'elle s’améliore quand même!...
- Tourne toi et remontes ta jupe sur tes hanches!”
Tu sens que l'une d'entre nous retire le plug de ton cul et le remplace aussitôt par le légume
phallique.Tu sens la carotte se frayer son chemin à travers tes entrailles, doucement ,
délicatement mais surement et jusqu'au bout. Tu te mords la lèvre inférieure pour retenir
tes s gémissements.
Samia te met le plug dans la bouche comme une sucette à une enfant, tu fais un peu la grimace
mais ne te révolte pas. Le gout est amer et l’aspect un peu poisseux en bouche.
Je fais aller et venir la carotte pour qu'elle se fasse un lit douillet dans ton cul,
puis je l'enfonce jusqu'à sa base, seule la fane sort de ton anus qui s’est refermé sur la base
du légume. Je rabaisse ta jupe sur tes fesses.
“ T’as intérêt à serrers tes petites fesses ma chérie! Parce que tu vas devoir la garder un
petit moment bien au chaud! Tu avais presque réussi à te faire à la présence du plug mais là, la
pression est très forte dans ton rectum et ça remonte beaucoup plus loin dans tes entrailles.
Tu essaies de marcher le plus normalement possible, c’est assez comique à voir . Nous passons
devant une boulangerie, je regarde les autres filles et on se sourit avec complicité.
“Tu vas entrer seule dans la boulangerie et acheter du pain, 3 baguettes , et 5 éclairs au café
et chocolat.
- Bien maitresse!"
Tu entre dans le magasin,il y a un peu de monde . Tu regardes le sol en attendant ton tour.
tu sens la pression dans ton fondement qui aimerait bien expulser cet intrus encombrant.
Tu résistes autant que possible à cette sensation, serrant fermement les fesses.
Avec cette chaleur intense, personne ne peut ignorer ta fragrance si particulière.
Les gens s'écartent autant que possible de toi , comme pour délimiter un périmètre de
sécurité.
Tu peux sentir les gens s'échanger des regards, d'autres chuchoter entre eux.
Rien de très compréhensible; juste des bribes '' tout de même c'est une honte!" " c'est
répugnant, inadmissible..."
Tu rougis et regardes fixement tes pieds. ton tour arrive , la vendeuse te regarde
bizarrement mais fini par te demander ce que tu veux.
"Bonjour mademoiselle, je voudrais trois baguettes et cinq éclairs café et chocolat s’il vous
plait"
Elle te sert sans commentaire et te donne le prix à payer. Tu règles la note.
Les gens s'écartent pour te laisser sortir, les commentaires fusent de plus en plus ,
volontairement plus audibles à mesure que tu sors de la boulangerie:
"Si c’est pas honteux, une jeune fille de son âge ! Mais que font les parents?”
Tu sors en marchant le plus vite possible compte tenu de tes fesses serrées , la tête basse.
Tu nous retrouves assises sur le rebord de la fontaine , en face de la boulangerie.
Ta démarche vaut vraiment le coup d’oeil !
“ Dépêche toi! nous n'allons pas attendre toute la journée!
-voila maitresse, désolée !
- Franchement , tu pourrais faire un effort quand tu marches, tout le monde va croire que tu
as fait dans ta culotte!”
Les deux autres éclatent de rire,
tu baisses à nouveau les yeux: "Désolée maitresse!
- Donne nous une baguette, on a une petite faim!
- voila maitresse"
Nous prenons chacune un morceau que l’on croque dedans devant toi.
"Je... heu... je peu en avoir un petit bout s’il vous plait maitresse?
- Bien sûr, approche!”
Je croque dans un morceau de pain, le mâche bien:
“ Ouvre la bouche!”
Tu te tiens devant moi, fixant la baguette dans mes mains. Tu ouvres la bouche. Je recrache la
bouillie obtenue dans ta bouche.
Tu grimaces un peu mais n'oses pas recracher. Tu restes sans bouger.
“ Qu'attends tu? Tu vas pas garder la bouche pleine pendant des heures avant d'avaler tout
de même! je t'épargne déjà l'effort de la mastication, je ne vais pas avaler à ta place en plus!
Tu déglutis d'un coup non sans une certaine difficulté.
“ Suis nous jusqu'au café là bas, on va prendre un thé avant de rentrer, le bus devrait être là
d'ici 15 mn.”
Tu nous suis comme tu peux... Lentement et maladroitement, fesses serrées , les cuisses en
sueur.
Il y a une petite table a l'ombre avec trois chaises où nous nous sommes installées. Tu
regardes les autres tables , cherchant une chaise que tu pourrais emprunter. Samia te dit ,
avec dédain :
“ Non, toi tu poses ton cul par terre , comme la chienne que tu es ! à genoux , près de nous; mais
pas trop, tu pues un peu trop avec cette chaleur!”
Tu rougis , tête basse: "oui mademoiselle"
Tu t’assoies sur une des racines de l’arbre, une main sous tes fesses pour ne pas expulser ce
qui les encombre.
Une serveuse vient à notre table:
"Salut les filles ! alors , je vois que vous sortez votre nouveau toutou ! dit elle avec un
sourire complice!”
Tu la dévisages tellement tu es étonnée et déstabilisée par sa remarque.
Elle est rousse, avec beaucoup de taches de rousseur,belle poitrine , cheveux attachés mais
épais et bouclés.
Je lui réponds:” oui tu la trouves comment cette petite chienne? Bon, c’est pas une pure race,
mais elle a du potentiel non?”
Elle te dévisage, te jaugeant.
“ Mmouai,,, elle est docile?
- Pas encore suffisamment bien dressée mais elle va apprendre!
Son regard est dur , elle te scrute de la tête aux pieds, tu ne peux évidemment le soutenir,
te concentrant sur ses pieds.
“ Ah! Ah! Je te fais confiance là dessus , Lucie! je vous sers quoi les filles?
- Trois thés glacés et un lait spécial pour Pissounette !
- La gamelle, comme l'autre foi Lucie?"
- Oui la même ! celle réservée aux animaux de compagnie! “
Elle revient au bout de quelques minutes, avec nos verres remplis et la fameuse gamelle qu’elle
pose au sol devant toi.... Avec un peu de lait au fond mais pas tant que ça. Nous sommes
suffisamment à l'écart des autres clients, toi tu es derrière la table sous l'ombre de l'arbre,
peu exposée à leur regard comme celui des passants .
Elle s'accroupie au dessus,
elle est en jupe, ne porte pas de culotte, tu peux voir sa chatte rose aux poils roux et
courts.
Elle finit de remplir le reste de la gamelle avec une bonne quantité de liquide odorant et très
coloré.
Je lui dit: “ Elle en aura suffisamment pour le moment! Elle a déjà bu un peu tout à l'heure et
nous sommes toutes les trois prêtes à lui remplir son auge! Par contre , aurais-tu un peu de
pain dur, même rassi?
- Oui on doit avoir ça!” Et elle repart en cuisine .
Tu nous regardes implorantes et inquiète.
La revoici avec du vieux pain dur, qu’elle émiette dans ta gamelle pleine d’eau et surtout de
pisse . Tu fixes les morceaux qui flottent dans la mixture.
Tu jauges mon regard et tu comprends que tu ne pourras pas te dérober, tu prends un morceau
ramolli et bien gorgé de liquide entre tes doigts et le porte avec résignation à ta bouche.
“ Non! Non ! Pas comme ça! Tu es une chienne , tu manges comme une chienne!
Comme tu hésites, un coup de baguette de yuriko te cingle l'arrière train.
Tu réprimes un cri de justesse en serrant les dents, mais ton visage se tord sous la
douleur.J’interviens:
“ Allons, allons, mesdemoiselles, je suis certaine que notre invitée va s'empresser d'honorer
le présent qui lui est offert si généreusement! N'est ce pas ma chérie?”
J'essuie les larmes qui commencent à couler le long de tes joues.
Tu te penches lentement et plongent le bas de ton visage dans la gamelle , tu en bois deux
grandes gorgées.
“ Prends bien les morceaux de pain dans ta bouche, ils doivent être à point maintenant ,
gorgés à souhait!”
Tu dois plonger ton visage au plus profond pour les attraper,le pain est tout ramolli, comme
des morceaux d'éponges gorgés du mélange, la douceur du lait frais et l’acidité et l’amertume
salée de l’urine forte et odorante. Le tout forme presque une bouillie au fond du récipient.
Il est presque inutile de les mâcher avant de les avaler.
“ Ne manges pas si vite , allons! Tu vas finir par t’étouffer! Savoure! Allons!!”
Tu fais bien tourner les suivants dans ta bouche en mastiquant, tout en nous regardant.
“ C’est bien ma chérie! Vous voyez les filles? je vous l'avais bien dit qu'elle aimerait!
Tu déglutis.
Nous, nous sirotons notre thé en te regardant vider ton auge et en parlant fringues.
La serveuse est toujours là, . elle papote avec nous , mais elle doit bientôt retourner à son
service, elle nous dis en partant:
“ On se retrouve plus tard les filles?
Nous lui faisons un signe approbateur de la tête et je lui dis :
- Oui , rejoins nous au gîte après ton service!
- OK, je viendrais peut être pas seule, tu te souviens de Doody?
- Bien sûr! Il est adorable, je suis certaine qu’il s’entendra bien avec Pissounette!
- Super! Je fini mon service dans une heure"
Je m’adresse à toi:
“As tu finis ta gamelle?
- Oui, maitresse... ( le visage dégoulinant)
- Très bien! Alors, viens sous la table!
Tu avances à quatre pattes sous la nappe, j'écarte les cuisses , je ne porte toujours pas de
culotte.
“ Tu m'as excitée, te voir ainsi comme une bonne chienne docile me fait mouiller, viens
t'occuper de moi!
- Si vous le permettez,je voudrait aller aux toilettes avant s’il vous plait, maitresse?
- Ta vessie te fait souffrir?
- Oui, maitresse.
- C’est bien mais ce n'est pas encore le moment!”
Tu restes sous la table sans bouger.
“ Grouille toi! Ma chatte est en feu!
- Oui, maitresse!"


 

Ton visage se glisse entre mes cuisses et je sens ton nez contre ma minette. Ta langue
commence à me caresser tendrement les grandes lèvres, puis tu lapes ma vulves de bas en
haut, insistant sur mon clito déjà gonflé et très sensible.
Sous la table les pieds des filles te tripotent , te bousculent un peu, te malaxent les fesses,
appuient sur la carotte dans ton cul qui essayait de s’échapper.
Ta langue s'insinue entre mes lèvres, je gémis,tu masses délicatement mon bouton d’amour
avec elle. Je suis tellement trempée que ton visage est tout recouvert de mouille visqueuse.
Tu sens qu’une des filles a réussi à relever ta jupe au dessus de tes fesses , tu as le cul à
l’air , la fane en guise de décoration qui te sort du petit trou. Tu es trempée, tu sens ta propre
mouille sur les pieds et les mains qui te tripotent. Tu as de plus en plus de mal à garder la
carotte en place, mais à chaque nouvelle expulsion un pied ou une main la repousse dans tes
entrailles. Des orteils te triturent la minette, on te malaxe les fesses.
Samia dit '' elle est mouillée comme une truie en chaleur la garce!"
La main de Yuriko fait aller et venir la carotte dans ton cul pendant que le pied de Samia
cherche à te pénétrer. Tu commences à avoir sérieusement mal au cul , tu gémis , te tortilles
et mouille encore plus sur le pied qui force ton vagin.
Je t’ordonne de m’ enfoncer deux doigts dans les fesses et de sucer mon clito.
Tes deux doigts longs et fins bien lubrifiés par ma mouille pénètrent délicatement entre mes
fesses. Ta bouche lovée sur mon clito l’aspire et le suce avec application. Tes doigts ondulent
lentement et en profondeur en moi. Mmmmh le plaisir monte...
Tu me masses l'anus de l’intérieur.
Les orteils de Samia s’amusent à frotter le légume à travers la mince paroi de chair qui sépare
ton vagin de ton cul. Mais un de ses ongles te griffe un peu, ce qui ne t’empêche pas de mouiller
encore davantage. Tu gémis et te tortilles de plus en plus . Plus elle te malmène plus tu gémis
entre mes cuisses.
Ta vessie est sur le point d'exploser, tu as beau résister autant que tu peux , l’urine finit par
trouver la sortie sans ton autorisation . Surtout que yuriko active le va et viens de la carotte
dans ton cul et que tu es toujours prise en étau par le pied de Samia qui laboure ta chatte.
Un geyser de pisse i arrose le pied de Samia et la main de Yuriko.
“ Ooh la garce! Elle nous pisse dessus!
- Ici, en ville !!!
Samia attrape ton clito entre ses doigts et le pince violemment
Tu cries de douleur et te cognes la tête sous la table. Ce qui ne manque pas de la faire bouger
et d’attirer l’attention des gens assis aux tables voisines.
Je te prends la tête et la presse contre ma chatte pour étouffer tes cris.
Yuriko enfonce la carotte encore plus profondément, ses doigts poussant à l'intérieur de ton
cul.
“ Tais toi et arrête de pisser, tu nous fais honte!”
Bâillonnée par ma minette , tes cris et protestations ne font que se perdre en vibrations
sourdes qui résonnent dans mon ventre et font monter mon plaisir. J’ondule pour me frotter
contre ton visage en pleurs.
“Ressaisis-toi! Et ne te crois pas tirée d'affaire, tu verras à notre retour au gîte!”
Tu te reprends et te calme , je relâche la pression de mes cuisses et tu poursuis tes caresses
buccales.
“ Fais moi jouir rapidement et puis tu nettoieras Yuriko et Samia que tu as copieusement
arrosées de ta pisse , elles ne vont tout de même pas sentir la pisse pour rentrer à la maison
Ta langue s'active, tes doigts s'agitent,ta bouche aspire mon bouton d’amour,je suis tellement
excitée que je ne tarde pas à jouir avec un cri étouffé en manquant de t'étouffer entre mes
cuisses.
C’est surtout maintenant que tu prends conscience de la flaque de pisse sous tes jambes
partout autour .Les doigts de yuriko triturent ton anus , tirant de chaque côté pour l'ouvrir,la
carotte toujours au fond. Un réflexe involontaire de ta part la propulse comme un missile et
elle atterri dans la marre de pisse sur la terrasse.
Je te laisse te dégager de mes cuisses, je suis pantelante.Tu as le visage plein de mouille et de
larmes.
“ Ramasse la carotte entre tes dents!
- Snif... oui maitresse"
Elle n'est plus très propre, l’extrémité est même sérieusement encrassée!
“ Très bien! Voici ta punition pour ne pas t'être retenue , commence par la sucer!Reste sous la
table! On s’est déjà assez faites remarquées comme ça!
- Ooh non maitresse!! Je vous en prie pas ca..." ( mais tu ne dis toujours pas le mot de
sécurité)
Samia qui intervient : “fallait te retenir! Magne toi , grosse truie! C’est toi qui l'a salie cette
carotte après tout!”
tu baisses les yeux et des larmes coulent derechef quand tes lèvres se referment sur le
légume souillé.
“ Active toi ! allons mieux que ça !!!
Tu t’appliques autant que tu peux pour la satisfaire.
Tu sens un talon forcer sur ton cul.
“ Oh! Oh! Vous avez vu les filles? Avec un peu d’encouragements elle montre un sacré talent de
suceuse en fait! Je crois qu’elle préfère quand le goût est plus épicé! Ah!Ah!Ah!
Le légume phalique va et viens entre tes lèvres, les traces brunes ont presque toutes
disparues, remplacées par une bave bien visqueuse.
“ Mange la maintenant!”
Tu croques un bout puis le mâches et avales.
Le talon s'enfonce un peu plus dans ton cul.
“ Aïe!, doucement,s’il vous plait! ça griffe!
- Tu parles ! elle bouge elle même son croupion sur le talon de Lucie, elle prend son panard la
garce!
Tu termine de manger , il ne reste que la fane qu’on t’oblige à manger également.
“Nettoie le pied de Samia maintenant! Et remonte le long de sa jambe partout où ta pisse l'a
éclaboussée!
Tu saisis son pied délicatement d'une main et commences à le lécher tendrement, suçant ses
orteils avec application. Elle ronronne de plaisir. Sa plante de pied est assez sale, elle l'avait
posé par terre dans la flaque, elle te voit hésitante à y passer franchement la langue:
“Nettoie tout! je ne veux pas remettre mes sandales avec les pieds dégueu !
- Puis-je essuyer en dessous avec une serviette en papier avant s’il vous plait?
- Tu veux pas du savon pendant que tu y es? Ta langue est là pour ça ma chienne! Grouille-toi
on va louper le bus!
- Mais c'est très sale mademoiselle...
_ Comme tu veux!
Et elle s'essuie alors grossièrement le dessous du pied sur ton visage , sans ménagement.
Tu te recules d'un coup et t’enfonce l’intégralité de mon talon dans le cul. Tu sursautes et
pousses un petit cri! ça te brûle le fondement et tu lâches le pied de Samia. Elle t'attrape par
le bout du nez en le pinçant fort et elle enfonce son pied dans ta bouche qui s'ouvre pour
reprendre ta respiration. Tu essaies vainement de repousser sa main.
“ Ne lutte pas, on ne va pas y passer la journée! Le bus n'attendra pas! Tu nettoieras de
toutes façons, autant le faire de ton plein gré!
Yuriko intervient: surtout que tu vas devoir sucer le talon de Lucie maintenant !”
" Oh non! Mesdemoiselles, s’il vous plait! C'est vraiment sale! ... Maitresse, je vous en prie..."
- Magne toi le cul , tu as cinq minutes! Après on te laisse la dans ta pisse si tu fais la difficile!
- Je vous en supplie mademoiselle Samia... Ne faites pas ça !
- Tu te débrouilleras pour te justifier quand on s'apercevra que tu te caches sous une table ,
dans une flaque de pisse, et sentant la pisse de la tête au pieds!
- Ooh non! Mademoiselle Samia, pas ça!! Je vous en supplie, ne me laissez pas!!
- j'ai confiance en toi, Noémie, je sais que tu vas t’acquitter bien sagement de ta tâche et
nettoyer tout ça rapidement, dis je en essuyant tes larmes avec mon pouce.
- Oui maitresse...
- C’est bien, applique toi mais ne perds pas de temps!”
Tu reprends son pied et passes la langue en dessous.
“ Aaaah! Elle me chatouille! fais gaffe pauvre nulle!
- Allons Samia , soit plus gentille tu vois bien qu'elle fait des efforts! Il faut l'encourager au
contraire, elle s'améliore vite tu vois?
- Mmmmh oui! C’est mieux!
Après avoir nettoyé Samia, tu passes à la main et l'avant bras de Yuriko, puis enfin mon talon .
Je te caresse le visage et les cheveux pour te féliciter.
Nous nous levons et tu sors discrètement de sous la table, tu es toute défaite, ta jupe
froissée et trempée encore au dessus de tes fesses, je te réajuste. Nous nous dirigeons vers
la sortie, il faut traverser l'intérieur du bar ( le coin terrasse se trouvait à l’arrière de
l’établissement).
Tu nous précèdes de plusieurs mètres , comme ça on te regarde avancer à travers les tables
où sont attablés de nombreux clients, en croisant la serveuse tu baisses les yeux , les joues
écarlates.
Elle te jette un regard pervers , en te glissant à l'oreille:
“ à tout à l'heure petite trainée!”
Tu ne lui réponds pas et poursuis ton chemin. Les gens se retournent à ton passage, tu entends
des réflexions désobligeantes, des mecs à une table parle de toi entre eux:
”z'avez vu la salope !! Elle pue la pisse ou quoi?
- Ouaip ! à croire qu'elle prend son bain dans une baignoire de pisse!”
Par reflex , tu te tournes vers eux furieuse puis te ravises, comment les démentir? Et tu
baisses la tête en reprenant ton chemin vers la sortie. Ils se marrent!
" Eh z'avez vu ça ? le regard qu'elle nous jette? Tu te prends pour qui , sale truie? "
Tu rougis et marches en regardant le sol. En passant devant leur table, Samia les bouscule
l'air de rien, le mec se renverse son café sur les parties.
“ OOOps je suis maladroite! “
Quand il nous voit, il n'ose pas trop la ramener, il veut faire son macho qui n'a pas mal et qui
serait prêt à nous payer un verre et plus si affinités.
Nous nous éclipsons sans les calculer, lui et ses potes.
Nous nous retrouvons sur la place ou stationne le bus, nous te laissons monter la première,
chargée par les sacs de provisions . Tu les poses pour payer ton ticket, le chauffeur te
regarde avec dédain puis tu te trouves une place isolée, les gens font la grimace à ton
passage et détournent les yeux Tu surprends certains commentaires :
"Pauvre fille"
"Comment peut on laisser monter quelqu'un comme ça avec les gens normaux ?!?"
“ C'est un scandale!"
Tu t’assois en silence, fixant tes pieds. Il fait chaud, pas de clim dans le bus...l'odeur se fait
entêtante.
Nous montons à notre tour et reprenons notre place à l'arrière du bus, une dame, la
soixantaine qui est montée juste après nous , nous interpelle en te désignant:
"Mesdemoiselles, vous savez d’où elle vient?!?
- Non, répond Samia, on dirait qu'elle sort d'un chenil! ah!ah!ah!"
Elle nous regarde scandalisée , déjà par ta présence , puis par notre insolence.
Le trajet se passe sans anecdotes particulière, mais te paraît interminable.

à suivre....

 

Un grand merci à Mia Michaels et Bruce Morgan pour leur autorisation à utiliser leurs images et dessins pour illustrer mes récits.

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