RENCONTRES CANINES ENTRE CHIENNES - 1ère partie
PROLOGUE:
Virginie est passée me chercher avec sa voiture sur Angoulême , comme convenu dès 9h du matin.
Je suis encore en kimono de soie et je n’ai pas encore pris ma douche lorsque je l’accueille à la porte
de mon appartement.
Elle porte comme convenu une jupe super courte, un t shirt serré et assez court pour laisser apparaitre
son petit ventre rond , mettant en valeur son nombril avec un joli piercing.
Des chaussures ouvertes à lacets, sur talons . Sous sa jupe raz la moule, une culotte en latex
transparente, dans laquelle elle a visiblement déjà laissé échappé quelques giclées d’urine et un plug
anal profondément fiché dans son fondement!
Elle n’a évidemment pas oublié son collier de chienne, et je la félicite pour la justesse de sa
préparation.
Par contre je la gronde un peu pour s’être déjà oubliée un peu dans sa culotte :
“ Ohh la vilaine cochonne! J’ai bien eu raison de t’imposer le port de couche en latex , espèce
d’incontinente!”
Elle rougit et baisse la tête, ça m’amuse toujours parce que je suis plus petite qu’elle et que j’aime la
voir se comporter en petite fille honteuse.
Je lui ordonne de se pencher en avant , jupe remontée au dessus des hanches et je commence à la
fesser énergiquement. Mais je m’arrête assez rapidement:
“heureusement , je suis de bonne humeur ce matin et tu n’es pas en retard, parce que je me retiens
depuis que je suis réveillée et je vais enfin pouvoir me soulager moi aussi!
Mets toi à genoux et penche toi en arrière, en appui sur les mains!”
Nous sommes toujours dans l’entrée de l’appartement, heureusement, ma colloc est absente pour le
weekend et je n’ai pas à me soucier de préserver les apparences devant elle!
Je m’avance au dessus d’elle , debout, les jambes de chaque côté de sa poitrine, et je dirige mon bassin
au plus près de sa bouche.
Je n’ai pas à lui demander d’ouvrir toute grande sa bouche qu’elle l’est déjà, tel un oisillon affamé!
Je me suis tellement retenue que le jet part tout seul sans que je puisse contrôler l’intensité et le flux,
mon urine lui asperge le visage mais je rectifie la visée et ma pisse bien colorée et odorante du matin
lui remplit rapidement le gosier, ça mousse et déborde rapidement, je parviens à stopper mais son T
shirt est déjà bien maculé .
Je la laisse déglutir avant de reprendre ma miction et je poursuis le remplissage de son gosier en lui
ménageant des poses pour tout avaler, elle fait parfois la grimace , je sais que le goût peut peut être
assez fort et elle manque encore un peu d’habitude avec les pipi corsés.
Une fois ma vessie totalement soulagée, je me penche vers elle pour l’embrasser à pleine bouche et la
féliciter!
Je lui dis que je suis fière d’elle , elle a réussi à tout boire et à part les taches humides et odorantes sur
son t-shirt et son visage luisant d’urine, il n’y a que quelques traces sur le carrelage.
Je lui demande de s’allonger et de me faire jouir avec sa langue.
Je m’accroupis au dessus de son visage et elle commence par me manger le petit trou avec avidité.
Les prouesses de sa langue agile dans mon trou du cul me font défaillir, j’étais déjà trempée tellement
j’étais excitée de la voir boire mon urine matinale que ma minette coule littéralement d’une mouille
épaisse et gluante sur son nez qui me pénètre alors que sa langue fouille en profondeur mon rectum.
Je ne résiste pas à l’envie de me branler le clito et je jouis rapidement, en quelques minutes.
Malgré l’hypersensibilité de mon intimité post orgasme, je la laisse me nettoyer tendrement la chatte
de sa langue .
Je lui propose un thé pendant que je finis de me préparer. Après un passage aux toilettes pour vider
mes intestins, je prends une douche rapide puis je choisis une robe estivale rouge et noire .
J’hésite un moment, vu que nous ne sommes pas attendues chez Frédérique avant la fin de matinée
mais je me décide tout de même à m’introduire deux bonbons en forme de billes, assez gros dans le
trou du cul avant d’y introduire un rosebud, puis j’enfile un string rouge et motifs dentelles.
Virginie est assise sur mon lit, buvant son thé et elle me regarde m’habiller, Elle rougit en devinant à
qui sont destinées les deux friandises qui sont maintenant bien au chaud dans mon cul!
“Alors, Virginie, comment te sens tu à moins de deux heures de ta rencontre avec Fred et de son amant
canin?
- Excitée, maîtresse, mais un peu anxieuse aussi je dois le reconnaître!
-Tu auras toujours la possibilité de te servir du mot de sécurité si tu refuses d’aller trop loin, tu le sais?
-oui, Lucie, merci mais je n’ai pas l’intention de me dégonfler!
-J’ai envie d’apporter ce plug gonflable, je ne pense pas que notre hôtesse en possède et je crois qu’on
pourrait bien s’amuser avec !”
A la brillance de son regard, je devine qu’elle visualise tout à fait les possibilités de son usage.
Je lui demande si elle a repensé à ce qui l’attend, et ce qu’elle fera lorsque notre hôtesse nous fera une
démonstration de ses talents avec son amant à quatre pattes.
Elle me répond que plusieurs fois déjà elle s’est faite jouir en imaginant la scène et qu’au comble de
l’excitation elle rêve que je l’oblige à sucer la queue du canidé toute poisseuse de foutre et des
sécrétions de Frédérique. Je lui demande de m’aider à enfiler mes bottines en daim à talons.
Avant de prendre la route, je fais glisser ma main sous l’élastique de sa culotte hermétique et Elle
miaule alors que j’introduis un oeuf vibrant télécommandé dans son minou déjà tout ouvert. Lorsque
ma main ressort, elle est trempée et sent la pisse et la chatte, je goûte mes doigts et les lui fait lécher.
Le trajet en voiture est une épreuve pour elle, je lui avais fait retirer sa jupe, elle était donc en culotte
transparente et je m’amusais avec la télécommande du joujou qui ronronnait dans sa minette !
Malgré tous ses efforts , elle ne parvient pas à se retenir et la culotte gonfle à mesure que sa vessie se
libère de son trop de pression.
Ce genre de sous vêtement retient pas mal de liquide mais est loin de garantir les fuites et son siège de
conductrice en fait les frais. Nous avions prévu une serviette éponge heureusement, mais si les fuites
deviennent trop sérieuses ça risque d’être insuffisant!
J’admire tout de même sa performance, elle reste concentrée sur sa conduite, malgré l’empourprement
de son visage et l’incendie qui a pris naissance au plus profond de son ventre.
J’ai envie de pousser un peu plus loin le jeu et alors que nous traversons un petit village, je lui
demande de s’arrêter près d’un vieux monsieur qui est occuper à tailler sa haie, je lui ordonne de
l’interpeller pour lui demander si nous sommes sur la bonne route pour aller à C........, le village où
réside notre hôtesse. Bien entendu, je connais la route, mais je m’amuse à la voir demander son
chemin à ce brave homme, qui se retrouve aussi rouge qu’elle lorsque il découvre avec une certaine
gêne la tenue de la conductrice.
Il nous répond ma foi poliment bien que légèrement bégayant .
Nous le remercions bien vite et repartons en vitesse avant qu’il ne se ressaisisse et ne change de
réaction. J’éclate de rire, Virginie me suit et me traitant de folle! Je lui réponds:
“folle peut être ! Mais ose me dire que tu n’es pas encore plus excitée maintenant!
-J’avoue! Tu me connais un peu trop bien on dirait!
Les derniers km se passent plus silencieusement, mais je la regarde et je sais que dans sa tête c’est un
festival de pensées lubriques, mélange d’anticipation et de curiosité à ce qui l’attend.
Frédérique m’avait dit qu’elle laisserait le portail de la petite cour devant sa maison ouverte pour nous
permettre d’y garer la voiture. Néanmoins, je ne veux pas risquer un scandale si d’aventure un curieux
apercevait une jeune femme sortir d’une voiture en culotte transparente gonflée de pisse pour frapper à
la porte de leur si respectable voisine! J’aide donc Virginie à remettre sa jupe avant de sortir du
véhicule mais je lui attache également une laisse à son collier. La serviette blanche sur le fauteuil de la
conductrice est toute humide et tachée de pisse , je la lui fais respirer et suçoter puis nous nous
dirigeons toutes les deux vers la porte d’entrée qui vient de s’ouvrir sur Fred qui nous accueille en
peignoir avec un large sourire qui en dit long sur son enthousiasme à nous recevoir enfin!
à suivre...
Un grand merci à Mia Michaels et Bruce Morgan pour leur autorisation à utiliser leurs images et dessins pour illustrer mes récits.
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